Lors de la célébration de la Sainte-Barbe à Châtel, la retraite avec le grade de sergent honoraire de Jean-Marc Leglaive a été actée. Il a dû prendre cette décision pour raisons médicales après trente-quatre années de service.

Le lieutenant Georges Dulot alors chef du centre de secours de Vaxoncourt l’avait sollicité en 1988 avec deux copains pour rejoindre le centre. Avec l’autorisation de ses parents puisqu’il n’avait que seize ans, il a débuté sa carrière, au fil des ans, il a suivi toutes les formations obligatoires, il assurait volontiers les gardes. Il était présent à la naissance de Chanovax (Châtel sur Moselle-Nomexy-Vaxoncourt), il a vu la construction de la caserne actuelle à Châtel, puis le changement de nom, Chanovax devenant le centre de secours de Châtel sur Moselle.

La relève est assurée puisque, après une période de découverte, Lucas qui va bientôt avoir 18 ans, le fils de sa sœur Céline elle-même adjudant-chef au centre de secours de Châtel et de son beau-frère Nicolas Emeraux lieutenant et chef du centre de secours s’est engagé récemment chez les sapeurs-pompiers de cette caserne.
Jean-Marc n’abandonne pas ce qui a marqué une belle période de sa vie, ayant apprécié l’esprit d’équipe et le bon esprit qui règnent parmi les sapeurs-pompiers de Châtel sur Moselle, il reste adhérent de l’amicale.

Valéry Duchaine a procédé à la distribution des lots de bois aux affouagistes, habitants du village, par tirage au sort. Signe des temps, vingt personnes se sont inscrites alors qu’ils étaient seulement sept les années passées.

Il s’agit de réaliser des éclaircies dans les chênes rouges plantés après la tornade dans la parcelle 15 du Ban des Fourches. L’exploitation devra être terminée pour le 15 mars 2023, le stérage pour le 15 avril et l’enlèvement pour le 15 août après la réception qui sera faite à partir du 15 avril et le paiement à la Trésorerie. Le Code Forestier indique que " au-delà de cette date, les bois redeviendront propriété de la commune et seront vendus en cession amiable ". Le bois de chauffage est strictement destiné à un usage personnel, en aucun cas, il ne pourra en être fait de commerce. L’exploitation, le stérage et l’enlèvement des bois sont interdits les dimanches et jours fériés. Les branches devront être éparpillées au sol, le bois de chauffage devra être stéré le long des cloisonnements d’exploitation ou des lignes de parcelles et pas contre les arbres non destinés à être coupés. Le port des éléments de sécurité est obligatoire.
La taxe d’affouage est fixée à 11 € par stère (diamètre supérieur à 10 cm fin bout). Les arrhes de 50 € par lot versées à l’inscription seront déduites de la facture délivrée à l’issue du cubage.

Saint-Nicolas et Père Fouettard ont reçu plus de 50 enfants et leurs familles du village et d’autres aussi. Les photos devant le char de La Médiévale, un drakkar, ont été nombreuses. Les enfants du village de moins d’un an ont reçu une peluche, les 2 et 3 ans, un puzzle et jusqu’à 10 ans un sachet de friandises, les enfants extérieurs des papillotes. Tous ont promis à Père Fouettard d’être sages.

Ils étaient plus nombreux que les années passées, 14 exposants avaient réservé une vingtaine de tables au marché de la Saint-Nicolas, des particuliers qui proposaient leurs créations, des associations comme le club de couture de Châtel qui, outre ses réalisations, brodait à la demande sur place, le Foyer rural et ses gâteaux et crêpes, le Secours Catholique de Nomexy avec des objets réalisés par les bénévoles, la Ré-création du Durbion (anciennement les Amis de l’école) avec les objets fabriqués par les enfants et la boîte aux lettres pour le Père Noël, la Bibliothèque de Châtel qui renouvelle ses livres ou encore Damien Trompette, un enfant du village avec son miel de la Poirouse.

Les visiteurs venus nombreux ont trouvé un large éventail d’idées-cadeaux originales et ont pu rencontrer Saint-Nicolas et Père Fouettard qui, entre deux séances de photos avec les enfants devant le drakkar de la Médiévale ont fait plusieurs fois un petit tour dans la salle pour distribuer des papillotes.

Le Syndicat de Pays d’Epinal avait donné l’occasion aux communes situées à proximité du Canal des Vosges d’inviter les cyclistes sur leur territoire en imaginant des boucles au départ de la Voie bleue. Frédéric Dulot avait alors demandé à Christiane Vermeulen de réfléchir à un parcours dans le village et elle avait imaginé un itinéraire, des panneaux explicatifs ont été mis en place par le Syndicat de pays en différents endroits : mairie, église, pont, ancien moulin, anciennes boutonnerie et grange aux dîmes, étang Jean-Paul Valentin… Créé en 2012, il est également disponible sur le site de la commune.
Par la suite, la commune a été sollicitée pour réaliser un totem à apposer à l’écluse n°23 dite de Vaxoncourt, Christiane a participé à sa finalisation.

Plus récemment, au moment de la création du RPIC du Durbion en 2016, Frédéric Dulot lui a demandé de travailler sur l’historique de l’école. On se souvient qu’avant l’entrée des élèves de Vaxoncourt dans l’école actuelle au 190 Grand’Rue dans les années 60, deux écoles accueillaient les élèves, celle des filles devenue une maison d’habitation au 60 Grand’Rue et celle des garçons devenue la salle polyvalente de la mairie, mais elles étaient devenues mixtes bien avant le transfert dans ce lieu unique.
S’étant prise au jeu, Christiane a continué ses recherches sur le village et elle a accumulé énormément de documentation, elle l’a confiée à Robert Chopat, gérant de la Sarl Studios Graphiques Chopat installée à Saint-Michel sur Meurthe qui réalise Causons-En, " un magazine 100 % vosgien ", qui, chaque mois, traite d’une commune vosgienne. Vaxoncourt figurera dans le numéro de mars. Près de 200 communes vosgiennes plus ou moins importantes ont déjà fait l’objet d’un numéro mis en vente en kiosque.
Ainsi, même s’il ne sera jamais fini, ce travail sera mis en valeur et conservé, de nombreuses rubriques traiteront de l’histoire et des spécificités de Vaxoncourt, des cartes postales anciennes montreront son évolution.

Le tout jeune Foyer rural de Vaxoncourt avait comme objectifs, entre autres, de créer du lien social et d’offrir l’occasion aux habitants de toutes générations de faire des choses ensemble. C’est ainsi que le président Pierre Bouaziz et le bureau ont souhaité mettre en place des soirées-jeux et détente mensuelles.
La première a eu lieu en novembre et les organisateurs peuvent être satisfaits puisque près de quarante personnes sont venues participer aux activités proposées, que ce soit les différents jeux de société -anciens et nouveaux- ou les jeux de cartes. La deuxième aura lieu mi-décembre.

Les adultes ont joué à leurs jeux habituels ou se sont essayés à des nouveautés, certains parents ont joué avec leurs enfants, un excellent moyen de tester de nouveaux jeux avant de commander les cadeaux à Saint-Nicolas et au Père Noël ! Des ados ont été heureux de partager un moment entre eux ou avec des adultes. Pour tous, un excellent moyen de passer une soirée tranquille et conviviale.

Situé en plein centre-bourg, le projet de parking de la place de la mairie bénéficie du soutien de l’Etat dans le cadre de la lutte contre l’habitat dégradé, en effet, un vieux hangar en bois a été démoli et un jardin en friche supprimé pour pouvoir mener à bien cet aménagement.

Les travaux avaient débuté en juillet et depuis quelques jours, les grilles empêchant l’accès ont été enlevées. Les habitants du quartier ont déjà saisi l’opportunité de se garer sur l’une des 17 places dont une PMR (personne à mobilité réduite). Des pavés enherbés laissent les eaux de pluie s’infiltrer dans le sol, des espaces verts ont été créés, l’auge qui était devant le mur du jardin a été mise en place dans le nouvel espace.
Ce parking répond à un réel besoin au centre du village d’autant plus qu’actuellement, des travaux sont réalisés dans le secteur pour l’extension du bâtiment-mairie. Il permet également de relier la place de la mairie à la rue des Petits sabots.

Le dernier dimanche de novembre est traditionnellement réservé au " repas du plus bel âge " pour les habitants de 65 ans et plus. Mais la Covid a supprimé ce moment attendu des aînés pendant deux ans. Toutefois, en 2020 et 2021, un repas leur avait été offert et livré à domicile par les membres du Centre Communal d'Action Sociale.

La situation permettant enfin de se retrouver pour un moment festif, une quarantaine de personnes, dont le père Jean Belambo le nouveau prêtre desservant la paroisse Saint-Laurent des trois rivières, les deux doyens du jour, Danièle et Georges Graff et le benjamin Alain Dupont, se sont retrouvées avec grand plaisir au restaurant scolaire et ont passé un bon moment, les discussions sont allées bon train. Dans son mot de bienvenue, Frédéric Dulot a dit le plaisir que lui et les membres du CCAS avaient de recevoir tous leurs invités et il a demandé à chacun d'avoir une pensée pour les nombreuses personnes décédées depuis le dernier repas et les personnes malades ou hospitalisées. Il a rappelé que " l’organisation de ce repas ne repose en rien sur une quelconque obligation comme semblent le croire quelques-uns de nos aînés. Son organisation relève d’une réelle volonté pour le maire, les élus et les membres du CCAS de maintenir un lien d’amitié et de reconnaissance en entretenant un lien privilégié avec chacun des aînés. " Il a également listé les travaux récemment réalisés ou en cours dans la commune et a terminé son discours en disant que " une commune vit si elle a des projets, sinon elle végète et se meurt à petit feu ! ".

Le repas apprécié de tous était préparé par Cuisine d'un jour traiteur à Pouxeux, le service était assuré par les membres du CCAS. Preuve que tout le monde était heureux de se retrouver, il faisait déjà bien nuit quand la salle s'est vidée de ses convives.

En début d'année, la commune a répondu à un appel à manifestation d'intérêt (AMI) lancé par la Région Grand Est visant à soutenir la création et le développement de tiers lieux. Basé sur le développement de la culture et du numérique en milieu rural, ce projet a été pensé en partenariat avec le service culturel de la Communauté d’Agglomération d’Epinal et a bénéficié de l’appui administratif et des conseils du service Ingénierie du PETR du Pays d’Epinal Cœur des Vosges.

Une fois le cap du dépôt de candidature franchi, la commune a été autorisée à déposer la version finale de son projet définitif " Tiers lieux numérique et culturel de Vaxoncourt ". Récemment et à sa grande satisfaction, le Maire a été officiellement informé de la décision de la Région Grand Est, de retenir la commune de VAXONCOURT comme « lauréate de l'Appel à manifestation d'intérêt régional 2021-2022 ». Ce Tiers-lieu sera développé dans l'espace qui sera créé dans le cadre de l'extension arrière du bâtiment de la mairie. Une salle de 35 m² lui sera dédiée. Elle est modulable et peut s’agrandir selon les besoins jusqu’ à plus de 100 m², sans oublier un espace de convivialité distinct et qui sera créé dans l’extension du bâtiment.

A l'échelle de la CAE, une étude du territoire montre clairement une déficience d’équipement culturel dans le secteur nord. Aussi, l'objectif est de favoriser le bien vivre ensemble en aménageant un espace convivial, de détente et culturel où pourront être animés des ateliers lecture pour les enfants et les malvoyants, en favorisant l'accès au numérique pour tous afin de lutter contre illectronisme, en organisant des conférences et des débats, en offrant un lieu de rencontre tout simplement. Tandis que la grande salle sera équipée de nouveau mobilier, d'une sono, la salle supplémentaire sera dotée de mobilier adapté à la lecture, de matériel informatique et multimédia, d'un écran numérique interactif mobile. Le projet bénéficie de plus de 21 000 € d'aide ce qui représente 50 % des dépenses d'équipements.

Les activités qui ont déjà lieu comme les rencontres conviviales initiées par le CCAS et poursuivit par le Foyer rural de Vaxoncourt, l'atelier-théâtre de la Compagnie des Joli(e)s mômes, l'atelier informatique pourront s'y dérouler. D’autres viendront compléter le panel existant tel que la création du « Petit rapport » autour d’enfants dans le cadre de l’élaboration du bulletin municipal. Toute initiative personnelle est la bienvenue. Toute demande peut être formulé auprès de M. le Maire.

Un beau projet et une reconnaissance pour le bien vivre ensemble des habitants et de ceux qui animent la commune.

Pierre Bouaziz, président du tout jeune Foyer rural de Vaxoncourt, avait proposé à Anne-Françoise Kopp, la maîtresse des CP et CE1, une rencontre avec ses élèves consacrée aux jeux. Les habitués des rencontres conviviales bimensuelles ont donc rencontré les huit élèves de CE1 pour une heure de partage autour de jeux comme les petits chevaux, le Trionimo ou le 1 000 bornes. Un moment intéressant, offrant une autre manière d’apprendre aux enfants, qui a passé bien vite et qui a été vécu avec beaucoup de plaisir par tous. Quand les enfants ont regagné leur classe, les adultes ont retrouvé leurs jeux habituels, Scrabble, belote…

Les deux prochaines rencontres conviviales se dérouleront les jeudis 1er, 15 et 29 décembre. La prochaine sera à nouveau partagée pendant une heure avec une moitié des 15 CP et la suivante le sera encore avec l’autre moitié du groupe CE1.

Encadrés par Cédric et Jérôme de l'association Jeunesse et Cultures basée à Epinal, quatre jeunes hommes de Mirecourt -Daytona, Jad, Quentin et Samuel- ont travaillé plusieurs jours à consolider la berge du Durbion le long du sentier de la Boutonnerie. L'opération s'est faite à la demande de Michel Balay et la Fédération de pêche, elle a été financée par le Conseil départemental et le FSE (Fonds social européen) pour le volet social et par la Fédération de pêche des Vosges et l'Agence de l'eau pour la partie technique.
L'équipe est d'abord allée chercher des saules Alba à Rambervillers et elle a créé une fascine pour protéger la rive gauche. Tous vêtus de " waders " qui leur permettent d'entrer dans l'eau jusque plus haut que la ceinture, ils ont mis des piquets en quinquonce et y ont tressé des fagots de saules pour retenir la terre végétale de la commune apportée par le Gaec de la Côte rouge. Ils ont ensuite planté près de 100 boutures de saules qui vont s'enraciner.  

Tous les ans entre avril et novembre, une centaine de jeunes de 16 à 25 ans suivent une session de deux semaines dans l'association, ils travaillent sur les cours d'eau de tout le département. Ils ont un contrat de travail et sont rémunérés à raison de quatre à cinq heures par jour. Dans l'association, on les remobilise, on leur redonne un rythme de travail, on les accompagne dans leur recherche d'emploi, de formation, de stage, ou encore leur retour vers la vie scolaire...

Depuis plusieurs années, c’est en partenariat avec le Conseil départemental des Vosges que la commune offre un brassard fluorescent aux jeunes qui viennent de faire leur entrée au collège. Discret et maniable, cet objet coloré peut se ranger facilement dans un cartable pendant la journée. En le portant à cette saison où la luminosité diminue lors de leur trajet pour aller à l’arrêt du bus ou en revenir, ils seront mieux vus des automobilistes.

Cette année, les nouveaux collégiens sont au nombre de six, quatre d’entre eux, Enzo, Lisa, Savannah et Soline, sont venus chercher leur brassard en mairie un samedi matin en réponse à l’invitation du Maire, certains en compagnie de leurs parents. Les deux autres peuvent toujours aller retirer le leur en mairie.

Voir ensemble est une association nationale qui regroupe des mal-voyants, des non-voyants et des personnes voyantes qui les accompagnent dans leurs activités, la section vosgienne est présidée par Christelle Grandmougin. Tous les mardis durant la belle saison, les membres vosgiens se retrouvent pour une marche dans un endroit du département dont l’itinéraire est proposé par une personne locale, chaque année, ils viennent à Vaxoncourt en automne

Habitant le village, guide depuis plusieurs années, Blandine Fimbry avait préparé une boucle de 8 km autour du village à laquelle ont participé 33 personnes dont plusieurs Vaxoncurtiens et des habitants de communes voisines.

Par une météo clémente, les marcheurs sont partis du nouveau parking de la place de la Mairie qui a été bien montré son utilité, ils ont descendu la côte, franchi le pont sur le Durbion pour remonter vers le Trial et rejoindre Zincourt avant de revenir par l’ancienne auberge de Pallegney et enfin traverser la forêt de Fourches afin de revenir à leur point de départ, de l’avis général, un beau parcours avec un peu de dénivelé qui convenait à tout le monde. Avant de se quitter, tout le monde a partagé un goûter chez la guide d’un jour.
Christelle Grandmougin insiste " Nos appels ne sont pas entendus, nous sommes toujours à la recherche de bénévoles dans le secteur de Charmes où deux personnes ne peuvent plus participer à nos activités faute de chauffeurs pour aller les chercher et les reconduire à leur domicile. On peut me contacter au 07 84 15 27 63. " Et elle complète " Outre ces marches hebdomadaires, nous organisons chaque mois des activités manuelles à Epinal, mais aussi des sorties raquettes en hiver, des sorties tandem, des séjours en été. En 2022, nous sommes partis dans le Jura et dans le massif des Bauges, en 2023 nous irons dans les Vosges du Nord. "

C’était une première pour les Amis de l’école présidée par Margaux Simon-Joubert et ce fut une réussite. Ayant prévu de fêter Halloween, durant deux après-midis, les bénévoles ont invité parents et enfants du RPIC du Durbion à préparer des décors pour la salle de la mairie où aurait lieu le goûter le 31 octobre. Ainsi, ce lundi, une centaine de personnes dont plus de cinquante enfants ont participé au goûter. Puis ils sont partis par petits groupes dans les rues du village à la quête de bonbons.
Tous ces petits monstres, déguisés et maquillés comme il se doit, s’en sont donné à cœur joie et ont été bien accueillis par les habitants. La collecte a été bonne et le partage a fait des heureux.
Margaux adresse " un énorme merci aux parents qui ont préparé des gâteaux et autres friandises ou partagé un moment ensemble ! " et donne rendez-vous à l’occasion de Noël.

Depuis quelques années, les projets de la commune tiennent compte, à la fois, de la réduction de sa consommation énergétique et du développement des énergies renouvelables. En 2021, lors de la construction du nouveau restaurant scolaire pour le RPIC du Durbion, les communes de Domèvre sur Durion et Vaxoncourt ont décidé d’installer des panneaux solaires permettant la production d’eau chaude sanitaire.

Actuellement, la commune de Vaxoncourt bénéficie d’une démarche financée par la Communauté d’Agglomération d’Epinal pour étudier le remplacement, par des énergies renouvelables, des deux dernières chaudières fioul de la commune installées à l’école et à l’ancien presbytère. Le projet de réhabilitation et d’extension du bâtiment-mairie inclut des travaux d’isolation et l’installation d’une chaudière bois qui permettra de chauffer, via un réseau de chaleur, à la fois le secrétariat de mairie, la salle polyvalente et le logement communal situé au premier étage.

Face à l’augmentation des coûts de l’énergie, mais également afin de répondre à l’objectif du plan de sobriété énergétique du gouvernement qui a pour but de réduire de 10 % notre consommation, les élus ont pris plusieurs décisions, notamment celles d’éteindre les luminaires de l’aire de jeux en dehors de la période estivale et de ne pas installer les illuminations habituelles dans les rues du village cette année. Seuls deux sapins (place de la mairie et devant l’école) et quelques décors aux abords de l’église seront illuminés. Les élus réfléchissent également à faire évoluer les plages horaires d’extinction de l’éclairage public, actuellement éteint de 23 h à 5 h (sans allumage le matin en été), il pourrait l’être de 22 h à 6 h.

Delphine Jacquot pour les petites et moyennes sections et Laetitia Deruytter pour les grandes sections ont organisé une matinée jeux pour leurs deux classes réunies dans la salle de motricité de l’école. Elles avaient préparé plusieurs ateliers tournants pour des groupes mêlant les trois niveaux afin que les plus grands aident les plus petits. Il s’agissait de différents jeux : de coopération, de construction, de memory, de discrimination visuelle, dominos et un atelier pâte à modeler avec des modèles à refaire par étapes.
Si les enfants ont vraiment aimé toutes les activités proposées, les mamans venues aider au bon déroulement de la séance ont apprécié le moment passé au milieu des enfants.

Après avoir été élève à l’école de Vaxoncourt devenue depuis le RPIC du Durbion (regroupement pédagogique intercommunal concentré des communes de Domèvre sur Durbion et Vaxoncourt), Stecy Comte y a effectué son stage de troisième. Puis dans le cadre de ses études, elle y est venue plusieurs semaines en stage. Elle avait déposé un dossier d’emploi civique pour l’Education Nationale qui a été accepté. Depuis le mois d’octobre, elle est donc en service civique pour neuf mois au RPIC. Stecy est chargée d’assister au quotidien dans leurs fonctions Delphine Jacquot, la directrice et maîtresse des petites et moyennes sections, et Marie-José Lemercier, l’Atsem (agent territorial spécialisé des écoles maternelles).
" Je suis contente d’avoir obtenu ce travail près de chez moi. Je retrouve l’école, les enfants, tout ce que j’aime et je voudrais travailler avec les enfants. " confie-t-elle.

Il y a plusieurs années, le CCAS (centre communal d'action sociale) a décidé d'offrir le cadeau destiné à la doyenne et au doyen de la commune le jour de leur anniversaire et non plus en fin d'année. Ainsi, récemment, Frédéric Dulot a rendu visite à Sina Robert et lui a offert un joli bouquet de fleurs, elle en a été ravie. Dans quelques jours, il rendra visite à André Keltz et lui remettra un panier gourmand.

Par ailleurs, le CCAS renoue avec la tradition du repas destiné aux habitants de la commune de plus de 65 ans et leurs conjoints. Le repas du " plus bel âge " aura lieu le dimanche 27 novembre, il sera servi au restaurant scolaire en raison des travaux en cours dans le bâtiment-mairie.

Anny Morel de Domèvre sur Durbion intervient ponctuellement bénévolement à la cantine. Et comme elle en a pris l’agréable habitude pour fêter des vacances, elle a préparé des friandises de circonstance pour les 57 enfants du RPIC du Durbion (Domèvre sur Durbion et Vaxoncourt) qui mangeaient à la cantine à la veille des vacances de la Toussaint.

Les jeux interrues ont eu lieu en juin dernier. Destinée à redynamiser le village, cette journée festive a marqué le renouveau des activités dans le village après la Covid. Ce samedi consacré aux jeux sur le thème de " la cuisine en folie " a permis de rassembler les habitants, appelés à faire partie d'une équipe de quartier ou à venir encourager les joueurs. " Des liens ont été consolidés, voire créés. C'est aussi une nouvelle génération, de nouvelles associations, beaucoup de nouveaux habitants, un mélange d'anciens et nouveaux qui veulent s'impliquer dans la commune. Le repas du soir a rassemblé près de 200 convives, avec une grande partie de Vaxoncurtiens. " témoigne Jean-Luc Ferry qui a coordonné la manifestation.

Les responsables des cinq associations locales qui y ont participé -La forme sous toutes ses formes, l'amicale des Pêcheurs, Cheval débardage, la Médiévale, les Amis de l'école - et ceux de chacun des secteurs découpant le village pour former six équipes se sont retrouvés à la salle de la mairie à l'invitation de Jean-Luc Ferry et Sophie Remy, la présidente de " La forme sous toutes ses formes ".

La réunion était l'occasion de faire le bilan. Certains étaient venus aux jeux interrues " un peu en observateurs " avouent-ils et devant le succès rencontré, ils veulent s'investir à nouveau, tout le monde est prêt à renouveler ce genre de manifestation, même si quelques points sont à améliorer. Le bilan financier a montré des bénéfices, ils ont été répartis équitablement entre les cinq associations.

Quelques dates sont déjà connues pour 2023 : le dimanche de la Pentecôte, une fête médiévale proposée par la Médiévale et le dernier dimanche du mois d'août, le renouveau de la marche gourmande avec la Forme sous toutes ses formes. Par ailleurs, les jeux intervillages supprimés depuis la Covid devraient avoir lieu à Hadigny les Verrières.

La semaine du goût vient de se terminer. Api, le prestataire de la cantine a " souhaité remplacer la semaine du goût par les rencontres du goût sur une année complète avec un calendrier de repas à thème afin de faire découvrir chaque mois une spécialité culinaire. "

La lecture du menu spécial " Halloween " servi à la veille des vacances était prometteuse : marmite de potion magique (potage de légumes verts), tarte à la citrouille à l'emmental, peau de crapaud (salade verte), tome aux orties, régal de vampire (smothie fraise) et biscuit aux crottes de souris (cookie). 55 enfants ont partagé ce repas.

Cette année, l’association Les Amis de l’Ecole organise la fête d’Halloween avec trois séances consacrées à ce thème.

Elles sont ouvertes à toutes les familles ayant des enfants scolarisés au RPIC du Durbion (1 € par séance pour les adhérents et 2 € pour les non-adhérents). Lors des deux premières séances, les enfants font des activités manuelles. La première a eu lieu le mercredi 12 octobre dans la salle polyvalente de la mairie, de 14 h à 16 h 30. 16 enfants et 5 parents y ont participé, pour la seconde, le mercredi 19 octobre, 22 enfants et 9 parents sont attendus.

Les objets réalisés serviront à décorer la salle polyvalente le lundi 31 octobre pour la journée spéciale Halloween qui débutera à 16 h 30 avec un goûter offert par l’association avant un défilé costumé dans les rues du village à la quête de bonbons auprès des habitants.

L’adhésion à l’association est possible tout au long de l’année, 8 € par famille, quel que soit le nombre d’enfants scolarisés au RPIC.

Contact : Margaux Simon-Joubert, la présidente, au 06 88 27 72 65 ou amisdelecole88330@gmail.com

La commune a entrepris un gros chantier qui consiste à rénover et agrandir le bâtiment-mairie. Les travaux sont réalisés par des entreprises lorraines.

Dans un premier temps, l'ancien système de chauffage au gaz a été remplacé par un chauffage au bois, les deux citernes qui alimentaient la mairie et l'appartement de l'étage ont été enlevées durant l'été. Maintenant vont se succéder la réalisation d’une extension de 80 m² à l'arrière du bâtiment et la rénovation de la salle polyvalente et du secrétariat de mairie.

Les travaux de fondation de l’extension par la société TES Technifor, sous-traitant de l'entreprise Batiplus en charge des travaux de gros-œuvre, viennent de démarrer. TES Technifor est spécialiste en fondations spéciales, elle met actuellement en œuvre 13 micropieux de 25 cm de diamètre et de 6,5 à 9 m de profondeur qui appuieront l'extension sur le sol calcaire porteur afin de pallier au manque de solidité des couches de remblais et de limons présentes derrière la mairie, leur épaisseur a été détectée par une étude de sol réalisée par la société Fondasol.

Les micropieux sont réalisés par forage dans le sol, on insère des armatures métalliques qui sont scellées par des injections de ciment. Pour valider le succès de l’opération, leur mise en œuvre fait l’objet d’enregistrements sous le contrôle d’un géotechnicien de Fondasol.

Après avoir disposé des longrines (poutres béton) sur ces pieux, Batiplus pourra construire l’extension.

Trois associations, VALA (Vôge autos légende ajolaises), VW Band (Coccinelle, Combi Volkswagen) de Domèvre sur Durbion et l’Amicale des pêcheurs de Vaxoncourt (pour la partie buvette) s’étaient unies pour cette première, une exposition de voitures anciennes, Youngtimer et Volkswagen. La cour de l’école était remplie de véhicules de même qu’une partie du terrain de foot. Un nombreux public, dont Frédéric Dulot et Bernard Morel les maires de Vaxoncourt et Domèvre et les marcheurs de l’association La forme sous toutes ses formes, est venu admirer les véhicules. Les visiteurs du village se sont mêlés à ceux de l’extérieur, ils sont venus entre les averses du matin mais l’après-midi s’est montré plus propice aux sorties.
En fin de journée, Damien Richard, le Vaxoncurtien à l’origine de cette manifestation, membre de VALA qui exposait sa voiture personnelle et les autres organisateurs affichaient un large sourire. Les commentaires étaient positifs : " C’était une première sympa, tout le monde a joué le jeu, on a eu un turnover de voitures intéressant, les associations ont été solidaires. Manifestement, les gens éprouvent de l’intérêt pour ce genre d’exposition. C’est une opération à renouveler. "

Lors d’une assemblée générale bien suivie, Alain Capella a fait le bilan des activités de l’association depuis le début de l’épidémie du Covid qui l’avait mise en sommeil, mais le réveil est bien là. Elle a participé à des manifestations dont plusieurs organisées par l’Association du Vieux Châtel, un week-end à Granges sur Vologne, un autre à Dommartin les Remiremont. Et belle reconnaissance pour elle, plusieurs de ses membres ont été choisis pour participer à un film.

De 9 adhérents à son début en 2018, ils sont maintenant 43 qui se mobilisent pour tout ce que la Médiévale entreprend. Le campement qu’ils ont construit de leurs mains est maintenant opérationnel, il fait l’objet de l’intérêt des visiteurs à chaque sortie. Actuellement, les entraînements, danses et combats, continuent et un drakkar est en cours de fabrication.

Le rapport financier a été présenté par Yannick Argency, il montre des finances saines et a été approuvé à l’unanimité. La trésorière a fait part de sa démission pour raisons personnelles, elle sera remplacée par Clément Gousset dont plusieurs membres de la famille font partie de l’association.
Depuis plusieurs mois, l’association prépare sa première fête à Vaxoncourt prévue le dimanche 28 mai 2023, elle permettra, entre autres, de retracer la vie d’un jeune couple de paysans. Alain Capella a sollicité les bénévoles des autres associations et invite ceux qui le souhaitent à les rejoindre
(06 83 26 47 46).

Les pêcheurs de Vaxoncourt étaient inquiets de la poussée d’algues dans l’étang Jean-Paul Valentin depuis le printemps dernier, elles envahissaient environ 3 des 12 hectares sur le pourtour de l’étang et ne cessaient de proliférer, se développant même sur les berges. Ils avaient décidé de se retrouver en septembre pour tenter d’en enlever le maximum. Mais le travail s’est fait sans eux " Avec la petite montée d’eau, toutes les algues ont crevé " constate avec un certain plaisir Michel Fayolle, le président de l’amicale.

Mais il restait du travail. C’est la période du carnassier, les amicalistes, armés de débroussailleuses, ont fait des emplacements pour les pêcheurs le long du chemin qui mène à la centrale électrique et, de l’autre côté, ils ont rendu le chemin propre. " Nous respectons au maximum la nature et tenons à conserver le caractère sauvage des lieux. Ici, nous observons de nombreuses espèces d’oiseaux et les cygnes, les canards, les sangliers, les chevreuils sont habitués à notre présence. On peut faire de belles prises mais aussi de superbes photos, le site est connu pour ça " continue Michel Fayolle.

Cette année, une perche de 0,68 m, un brochet de 1,23 m et un silure de 1,58 m ont été pris.

Dans l’association, l’ambiance est conviviale, après le travail de nettoyage, les épouses ont rejoint les maris autour d’un barbecue.

La Communauté d’agglomération d’Epinal mène une politique en faveur de la petite enfance sur l’ensemble de son territoire. Les objectifs sont de répondre aux besoins des familles, permettre aux parents de concilier vie professionnelle et personnelle, soutenir la fonction parentale, promouvoir la mixité sociale et accueillir les enfants en situation de handicap.

La CAE a créé ou aménagé plusieurs crèches dont elle assure l’entretien et la gestion, elle soutient également les crèches associatives en collaboration avec la CAF des Vosges. Les équipes accueillant les enfants sont composées d’agents qualifiés issus de différentes filières médico-sociales et sanitaires (puéricultrice, infirmière, éducatrice de jeunes enfants…).

Tout en soulignant les difficultés de recrutement dans ce secteur, Marie-Laure Allain, la directrice cohésion sociale et petite enfance à la CAE, a présenté les actions et les structures petite enfance aux élus du G8 (14 communes autour de Châtel-Nomexy).

Avec une capacité d’accueil d’assistants maternels, hommes et femmes, à leur domicile d’environ 2 000 places, le Relais Petite Enfance (ex relais d’Assistants Maternels) rayonne sur tout le territoire. Sept animatrices accompagnent les parents-employeurs et les assistants maternels libéraux, elles organisent des temps d’éveil et des espaces de jeux.

Il existe trois sortes de structure sur le territoire. " Les crèches en régie " : à Epinal, le multi accueil du Pôle petite enfance avec 80 places et la crèche familiale d’une capacité de 40 places, à Thaon les Vosges Les doudous 40 places, à Golbey Les Premiers Pas 40 places et à Xertigny Les Petits Crocos 19 places. " Les crèches gérées par délégation " : Pain d’épices à Deyvillers 24 places, Les Loupiots à Dinozé 20 places, Sucre d’Orge à Pouxeux 20 places et Coccinelle à Charmes 36 places. Enfin, " Les crèches soutenues par la CAE " : à Epinal, Pousse-poussette 25 places et Boutchou 20 places. Un accueil régulier ou occasionnel est proposé dès l’âge de 2 mois jusqu’à 6 ans, avec une grande amplitude d’accueil puisque de 6 h 30 à 19 h 15 et une capacité d’accueil d’un peu moins de 450 places.

Les pêcheurs de Vaxoncourt étaient inquiets de la poussée d’algues dans l’étang Jean-Paul Valentin depuis le printemps dernier, elles envahissaient environ 3 des 12 hectares sur le pourtour de l’étang et ne cessaient de proliférer, se développant même sur les berges. Ils avaient décidé de se retrouver en septembre pour tenter d’en enlever le maximum. Mais le travail s’est fait sans eux " Avec la petite montée d’eau, toutes les algues ont crevé " constate avec un certain plaisir Michel Fayolle, le président de l’amicale.

Mais il restait du travail. C’est la période du carnassier, les amicalistes, armés de débroussailleuses, ont fait des emplacements pour les pêcheurs le long du chemin qui mène à la centrale électrique et, de l’autre côté, ils ont rendu le chemin propre. " Nous respectons au maximum la nature et tenons à conserver le caractère sauvage des lieux. Ici, nous observons de nombreuses espèces d’oiseaux et les cygnes, les canards, les sangliers, les chevreuils sont habitués à notre présence. On peut faire de belles prises mais aussi de superbes photos, le site est connu pour ça " continue Michel Fayolle.

Cette année, une perche de 0,68 m, un brochet de 1,23 m et un silure de 1,58 m ont été pris.
Dans l’association, l’ambiance est conviviale, après le travail de nettoyage, les épouses ont rejoint les maris autour d’un barbecue.

La Foresterie est une forêt d’environ 240 ha sur le territoire de Vaxoncourt achetée à la ville d’Epinal en 2006 par quatre co-propriétaires : les communes de Bayecourt, Girmont, Pallegney et Vaxoncourt. Le président actuel est Jean-Pierre Philippe, maire délégué de Girmont (Thaon les Vosges) avec un emprunt jusqu’en 2036. Chaque commune est représentée par deux personnes : Jean-Claude Chaumont et Jean-Luc Perrin pour Bayecourt, Jean-Marie Philippe et François Grandvallet maire délégué d’Oncourt (Thaon les Vosges), Michel Emeraux et Bernard Gillot pour Pallegney, Valéry Duchaine et Bernard Jacobé pour Vaxoncourt. La Foresterie est gérée par l’ONF avec Charline Bontems.

200 ha sont de jeunes arbres issus de la tornade de 1984 qui ne donnent pas beaucoup de revenus dans l’immédiat. 70 ha sont plantés de chênes sessiles, 50 d’épicéas qui sont touchés par les scolytes, le reste en pins sylvestres. L’aspect économique et l’aspect écologique se rejoignent, les semenciers doivent avoir les pieds au soleil et on espère une régénération naturelle, régulièrement, des éclaircies sont effectuées, les arbres qui n’ont pas d’avenir sont coupés pour apporter de la lumière aux plus beaux. Les pins sylvestres et les épicéas touchés par les scolytes sont coupés et vendus à la tonne, ils seront transformés en plaquettes et en trituration, il n’y a pas de bois d’œuvre.

Jean-Pierre Philippe explique " Une forêt ça s’entretient, il faut l’accompagner, donner une chance aux plus beaux arbres. La gestion de la forêt est devenue plus difficile, elle ne donne plus les mêmes revenus qu’il y a quelques années, mais on espère néanmoins des rentrées d’argent à court terme. "

La cantine a commencé avec quelques enfants seulement. Depuis la rentrée de septembre, le restaurant scolaire fonctionne régulièrement avec une cinquante enfants le lundi et soixante le reste de la semaine avec des pics à 62, sur 91 enfants qui sont inscrits à l'école. Deux services se succèdent, d'abord les enfants de Maternelle puis les autres. Betty Le Banner est responsable de la cantine, elle suit une formation en interne. Elle est assistée par les employées communales. Il est appréciable que les enfants n'aient plus à parcourir le village, surtout avec les pluies que nous connaissons certains jours.

L’atelier-théâtre organisé par la Compagnie des Joli(e) s mômes en partenariat avec la commune et la Communauté d’Agglomération d’Epinal a repris à la mi-septembre, il a lieu de 20 h à 21 h 30 dans la salle de la mairie. C’est la seconde année qu’il est animé par Leni Gueusquin, artiste, metteur en scène, comédien et dramaturge. A la fin de la précédente saison, les jeunes acteurs ont présenté le spectacle qu’ils avaient créé sur le thème du travail à leurs familles et au théâtre d’Epinal, cette année, ils travailleront autour des insectes. " Nous reprenons le travail annoncé l’an dernier dans un atelier ludique. Il faut créer l’esprit de troupe, canaliser l’énergie, apprendre à s’écouter, donner l’envie de s’extérioriser et de participer " confie Leni.

Le groupe est formé de quatre anciens et six nouveaux acteurs en herbe, Thomas qui vient pour la troisième année de Dogneville, Enge, Enzo, Jules, Léo, Valentin, Lana, Lisa, Luna et Rose qui viennent du village. Il reste encore cinq places, ceux qui sont intéressés peuvent se présenter sur place. Tous les renseignements sur cette activité peuvent être obtenus auprès de la Compagnie des Joli(e) s mômes.

En mars, c'était une première en France organisée par Face Vosges et l'AFPA Grand Est avec le soutien du député Stéphane Viry et des maires des communes concernées. L'opération " le bus de de l’emploi et de la formation " visant à faire se rencontrer des employeurs et des personnes en recherche d'emploi s'est déroulée sur deux sites, le matin à Vaxoncourt pour le secteur du G8 (14 communes autour de Châtel-Nomexy) et l'après-midi pour le secteur de Rambervillers. Un bus avait pris les demandeurs d'emploi sur leur lieu de vie et les avait acheminés sur les deux sites. Plus de 100 personnes sont venues sur l'un des deux sites, 30 d'entre elles avaient profité du bus et 60 entreprises et des organismes les ont accueillies sur l'un ou l'autre site. 129 personnes ont eu un entretien, 40 candidatures ont été retenues et 20 personnes ont trouvé un emploi grâce à cette opération.

"Cette opération ne pouvait se faire sans les maires, Pôle Emploi, la Misson locale et Cap Emploi. Les entreprises ont rencontré des gens vraiment motivés. En milieu rural, il faut aller vers eux, ils n'ont pas de moyen de locomotion pour se rendre dans les organismes. Rencontrer des chefs d'entreprise dans un lieu atypique leur convient mieux. " souligne Thierry Poulet directeur de Face Vosges.  

L'opération sera renouvelée dans les deux secteurs, pour le G8, ce sera le 16 février 2023 au RPIC de Vaxoncourt comme la première fois, mais de 13 h 30 à 17 h.

Lors de sa dernière assemblée générale qui a eu lieu au printemps, l’association " La forme sous toutes ses formes " a acté une nouvelle activité : une marche mensuelle. Chaque premier dimanche du mois, elle donne rendez-vous sur le parking devant l’école pour une marche d’une dizaine de kilomètres autour du village. La cotisation annuelle est fixée à 2 €, elle permet de régler l’assurance des participants.
La première a eu lieu le dimanche 4 septembre. Une douzaine de personnes y ont participé, membres de l’association, habitants du village et autres. Marche plaisir, mais aussi démarche écologique, elles s’étaient munies de sacs poubelle pour ramasser ce que d’autres déposent sans vergogne dans la nature.
Pour cette première édition, les organisateurs avaient choisi un itinéraire d’une heure trente dans le village avec passage par le quartier du Moulin et le chemin du Breuil récemment rénové, dans des ruelles ou sentiers que certains marcheurs, même Vaxoncurtiens, ne connaissaient pas et les deux lavoirs.
Rendez-vous pour la prochaine marche le dimanche 2 octobre à 9 h devant l’école.

Michel Antoine tient sa vigne de son grand-père qui l’avait plantée, les frères Vauthier de Moyement ont acheté la leur à Bernard Jacobé il y a déjà cinq ans, elles sont toutes deux dans le prolongement l’une de l’autre à la Poirouse. Pour la première fois, ils ont fait les vendanges en même temps -et même ensemble- entraînant avec eux, comme de coutume, famille et amis.

" Nous avons trois à quatre semaines d’avance cette année, le raisin est extra sucré, les grappes sont belles et les grains bien serrés, ce sera une bonne année. Il y en a bien plus que l’an dernier qui n’était pas une très bonne année, nous remplirons tous les tonneaux que nous avons prévus. La cueillette manuelle durera toute la matinée, les meilleurs moments des vendanges, c’est le casse-croûte de la matinée et le repas de fin. Il faudra attendre pour avoir le plaisir de goûter notre vin… "

Heureusement, les rangées de ceps avaient été protégées par des filets, les oiseaux ont épargné les grains, mais les guêpes étaient nombreuses autour des vendangeurs qui s’étaient organisés en trois équipes : les cueilleurs, les porteurs qui transportaient des seaux de 10 à 12 kg et les égraineurs qui écrasaient les grappes sur une grille pour séparer les rafles et les grains qui tombaient dans un tonneau, le tout dans la bonne humeur.

Chaque année, les nouveaux habitants et les mains vertes de la commune étaient invités ensemble par la mairie au moment du Beaujolais nouveau. Les années Covid ont empêché cette cérémonie en 2020 et 2021. Pour 2022, les nouveaux habitants, sur la période 2020, 2021 et 2022 ont été reçus en mairie. Ce format s'est montré plus satisfaisant car les invités qui ne se connaissent pas ont plus facile à échanger entre eux et les élus sont plus disponibles. 32 nouvelles familles étaient concernées. Frédéric Dulot leur a présenté le village et les travaux récemment réalisés ou en cours avant le partage du pot de l'amitié.

Si quatorze enfants viennent de faire leur première rentrée au RPIC du Durbion en petite section dans la classe de Delphine Jacquot, en juin, huit élèves - Antoine, Calvin, Enzo, Léo, Lisa, Savannah, Soline et Timéo - ont quitté le CM2 et leur enseignant Sébastien Haschar pour rejoindre le collège Louis Pergaud de Châtel en bus. Six d’entre eux -Calvin, Enzo, Léo, Lisa, Savannah et Soline- habitent Vaxoncourt, les deux autres -Antoine et Timéo- sont domiciliés à Domèvre sur Durbion.

Le jour de la pré-rentrée, Frédéric Dulot et Bernard Morel les maires des deux communes du RPIC du Durbion (Vaxoncourt et Domèvre sur Durbion) ont rencontré les membres du personnel communal affecté à l’école, Valérie Masson, Rachel Gérardin, Amandine Louis-Jacquet et Betty Le Banner. Ils leur ont donné leur emploi du temps et leur ont expliqué l’organisation des services, cantine et animations périscolaires. Elles ont également rencontré l’équipe enseignante.

Betty Le Banner était en charge de la cantine et de la garderie du matin depuis la retraite de Martine Jacobé, à présent, elle suit une formation sur la restauration et son organisation, le projet est soutenu par Pôle emploi. Pour cette première période, Valérie Masson et Amandine Louis-Jacquet sont également affectées dans la classe de Laetitia Deruytter en charge des quinze Grande section. Marie-José Lemercier, Atsem (agent territorial spécialisé des écoles maternelles, assiste Delphine Jacquot, la directrice, (24 élèves, 14 petite et 10 moyenne sections). Anne-Françoise Kopp (23 élèves, 15 CP et 8 CE1) et Sébastien Haschar (25 élèves, 9 CE2, 8 CM1 et 8 CM2) complètent l’équipe enseignante qui est stable.

Claire Barcik est vacataire au Pays d'Art et d'Histoire du Pays d'Epinal Cœur des Vosges, elle a effectué tout un travail sur Vaxoncourt avec Frédéric Dulot et Christiane Vermeulen afin de proposer, en ce dernier dimanche d'août, une promenade dans la rue principale du village sous forme de rallye. A l'aide d'un livret qu'elle avait fabriqué, chaque famille ou groupe a résolu quelques énigmes, déchiffré un rébus, répondu à des questions " Quel nom a été donné à la grange aux dîmes après son incendie en 1633, quel arbre voit-on dans la côte, quel oiseau piscivore figure sur un vitrail à l'église, combien d'affluents compte le Durbion etc. Plus de trente personnes venues de Vaxoncourt, mais aussi d'Aydoilles, Rehaincourt, Bouxières aux Bois, Hadigny les Verrières, Dignonville... se sont prises au jeu et ont cherché (et trouvé !) les onze réponses. Même les Vaxoncurtiens ont fait des découvertes sur leur village, ils n'avaient jamais vu certains éléments pourtant bien visibles.

Pas de premier, ni de dernier, tous les groupes ont rempli la grille de mots fléchés et trouvé le mot mystère. Et chaque participant a reçu des goodies " Epinal la Belle Image " offerts par la Communauté d'Agglomération d'Epinal. Le partage du verre de l'amitié à la salle de la mairie a été l'occasion de continuer à partager sur l'histoire et les anecdotes du village. " C'était intéressant, c'était sympa, j'ai passé un bon moment, j'ai appris des choses. " entendait-on à la fin.

Frédéric Dulot " remercie Claire Barcik et Christiane Vermeulen qui se sont investies pour cette journée. C'est encourageant pour une première fois. Les énigmes étaient originales et intéressantes, elles offraient un moyen ludique de (re)découvrir la rue principale de notre village. "

La rentrée arrive à grands pas. Pendant que les employées communales font le ménage dans les locaux scolaires et à la cantine, Rémi Démoulin, l’agent communal effectue des travaux d’entretien, il a passé de l’huile de lin sur le bois du préau, réinstallé les rampes de rangement des vélos et effectué des petits travaux dans les sanitaires. Les effectifs de chaque classe ayant changé, il a mis en place du nouveau mobilier, descendu des tables et chaises du grenier qu’il a adaptées à la taille des enfants selon les cours. Le marquage au sol du terrain multisports dans la cour a également été refait.

Une animation gratuite de deux heures conciliant divertissement, balade et exploration est proposée par le Pays d'Art et d'Histoire d’Epinal le dimanche 28 août à 14 h.

Pour (re)découvrir de manière ludique le village, on parcourra librement la rue principale depuis le terrain de foot lieu du rendez-vous (290 Grand'rue), jusqu'au pont sur le Durbion en bas du village. Un livret proposera des énigmes relatives à quelques points d'intérêt, lieux emblématiques du village. Observation et réflexion seront nécessaires pour évoluer dans le parcours et les épreuves ludiques : au fur et à mesure, il s'agira de résoudre une dizaine d'énigmes et de noter les solutions sur une grille de mots fléchés (se munir d'un stylo).

Une activité d'environ deux heures à faire en famille, à partir de 8 ans qui se terminera par une collation. Si elle est proposée par le Pays d'Art et d'Histoire d’Epinal, le livret est le fruit d'une collaboration entre Claire Barcik vacataire au Pays d'Art et d'Histoire d’Epinal, Frédéric Dulot maire de la commune et Christiane Vermeulen qui prépare un opuscule suite à ses recherches sur l'histoire du village.

Depuis le 18 juillet, les travaux relatifs à la création d'un parking de 17 places dont une PMR (personnes à mobilité réduite) au centre du village se déroulent normalement. Il était prévu qu'ils tiendraient compte des nouvelles directives relatives à la gestion intégrée des eaux pluviales, cette gestion visant à infiltrer au plus près de l'endroit où la goutte d'eau tombe permet notamment de ne pas traiter inutilement de l'eau claire dans les stations de traitement, cette approche environnementale contribue également à la recharge des nappes phréatiques. Dans le cadre de l'aménagement du présent parking, l'entreprise IDVERDE pose actuellement des pavés enherbés qui permettront d'assurer l'infiltration des eaux de pluie dans le sol. On peut déjà voir à quoi ressembleront les lieux, des places de parking de chaque côté et une voie au milieu qui améliorera la desserte de la rue des Petits sabots.

Le coût de l'aménagement du parking s'élève à 103 289,45 € HT et bénéficie de subventions de l'Etat, de la Région " Grand Est ", du Conseil départemental des Vosges ainsi que de l'Agence de l'eau.

Depuis son classement en voirie communale par délibération du 22 décembre 2006, la VC du Breuil, environ 350 ml entre le pont sur le Durbion et la RD10, n'a jamais été revêtue. Lors des travaux sur le pont de la RD10F relatifs à l'élargissement de l'ouvrage sur le Durbion, la VC du Breuil avait été utilisée comme raccourci pour les habitants du village ce qui a induit d’importantes dégradations sur sa structure. Le conseil municipal a décidé sa remise en état et l'apport d'une couche de roulement.
Depuis toujours, les crues du Durbion submergent la partie basse de la voie, aussi il était indispensable de la traiter différemment de la partie haute et de la conforter préalablement. Depuis le 16 août, l'entreprise Colas est sur le site, elle a effectué le décaissement qui s'imposait sur près de cent mètres tout en conservant la même largeur de voie. Une nouvelle structure a été ensuite mise en œuvre avant la pose de deux couches d'enrobés. En partie haute, la VC a été remise en forme avec un apport de matériaux concassés avant la pose d'un enduit bi-couche et la mise à niveau des accotements en matériaux terreux.
La commune a bénéficié du service Assistance à Maîtrise d’Ouvrage de la Communauté agglomération d'Epinal. Le coût estimatif des travaux s’élève à 21 947,74 € H.T, le Conseil départemental des Vosges lui a accordé une subvention de 3 773,25 € et elle a sollicité un fonds de concours auprès de la CAE.

Au vu des arrêtés successifs pris par le Préfet des Vosges dont le dernier place " le Bassin amont Moselle et Meurthe au niveau crise sécheresse ", les élus ont pris la décision de ne plus arroser les fleurs et massifs dans le village. Des jardinières garnissent toujours des endroits spécifiques comme le pont, la mairie et l'église. Au fil des années, des vivaces, moins gourmandes en eau, prenaient de plus en plus de place dans les massifs. Frédéric Dulot s'interroge "sur l'avenir à court terme du fleurissement des communes". Question que peuvent également se poser les particuliers pour leur maison.

On s'aperçoit que l'eau n'est pas une ressource inépuisable. Nous devons tous nous sentir concernés et restés vigilants pour préserver l'eau potable qui nous arrive à notre robinet.

La commune a saisi l'opportunité de réaliser un parking au centre du village qui répondra à la fois au manque de stationnement autour de la mairie et de l'église ainsi qu'au désenclavement de l'impasse des Petits sabots. Il pourra éventuellement soulager le mur de la rue de La côte.

Les travaux ont débuté le lundi 18 juillet et devraient durer six semaines. 17 places de stationnement dont une PMR (personnes à mobilité réduite) seront créées. Le parking tiendra compte des nouvelles directives relatives à la gestion des eaux pluviales qui s'infiltreront directement dans le sol, les places seront recouvertes de pavés enherbés et des espaces verts sont prévus.

Les travaux sont effectués par l'entreprise paysagiste Idverde d'Eloyes, la maîtrise d’œuvre étant assurée par Idp Consult. La partie éclairage de cet espace revient à Citeos, une gaine électrique offrira, si le besoin s'en fait ressentir, d'installer par la suite une borne électrique. La place de la mairie a déjà un autre aspect.

Depuis 1997, Martine Jacobé s'occupait des enfants à la cantine et à la garderie. A la fin de l'année scolaire 2020-2021, elle a fait valoir ses droits à la retraite. Les enseignants et les parents lui avaient offert des cadeaux et les deux maires, Bernard Morel et Frédéric Dulot des fleurs. Mais en raison des contraintes sanitaires, aucun moment convivial en son honneur n'avait pu être organisé.

C'est fait depuis l'inauguration de la cantine, au cours de la réception qui a suivi, un beau bouquet de fleurs lui a été remis par le Préfet des Vosges au nom des deux communes du RPIC du Durbion, comme Anny Morel qui vient à la cantine bénévolement chaque fois qu'on fait appel à elle.

Comme chaque année, la Communauté d’Agglomération d’Épinal finance des représentations de la Compagnie des joli(e)s mômes sur son territoire. C'est une façon de transporter la culture dans des communes qui ne possèdent pas de théâtre ou de salle de spectacles... C'est ainsi la seconde fois que la Compagnie des joli(e)s mômes se produit sur le terrain de foot du village, les décors sont plantés à l'ombre d'un arbre.

Sa pièce " Combien de nuits " a attiré entre 120 et 130 personnes sous un beau soleil couchant. La grand-mère (jouée par Louise Fetet directrice artistique de la troupe), d'un genre plutôt bourru, accueille ses quatre petits-enfants. Elle les occupe comme elle peut, même si les activités ne leur plaisent pas, leur raconte des histoires de lapins. Et le temps paraît bien long, combien de nuits va durer leur séjour et surtout, où sont et que font leurs parents ? Des enfants qui entrent dans le rêve de leurs frères et sœurs, se chamaillent, un père soucieux de l'écologie, une mère engagée, prompte à manifester. Une grand-mère qui a un amoureux et qui, au final, s'adoucit et finit par montrer son amour pour ses petits-enfants.

Dans le jeune public, certains ont certainement envié le petit déjeuner, des bonbons en l'occurrence, et retenu des mots qui ne sont pas à mettre dans toutes les oreilles...

Les comédiens de la compagnie des Joli(e)s Mômes mettent beaucoup d’énergie pour préparer et de talent pour animer la soirée pour son public.

A l'issue du spectacle, les participants ont été invités à partager le verre de l'amitié offert par la municipalité. Le maire Frédéric Dulot s'est dit ravi de cette opération qui permet aux habitants de la commune et des alentours de se retrouver pour une soirée à la fois culturelle et conviviale.
Les spectateurs ont eu la surprise de voir Vosges Télévision capter le spectacle, d'ailleurs quelques-uns d'entre eux ont été interviewés et ont pu se voir dès le lendemain à la télé.

Frédéric Dulot avait invité les maires et adjoints du G8 (14 communes) pour une réunion d'information. M. Thomas Louis de la Direction Habitat et Aménagement Durable a informé les élus sur les programmes mis en place par la Communauté d'agglomération d’Epinal en matière de rénovation énergétique à destination des communes.

Le premier programme, " Substitution des énergies fossiles ", avait pour objectif de réaliser des études de faisabilité dans le but de remplacer les systèmes de chauffage utilisant du fioul ou du gaz propane. Ces études seront réalisées par un bureau d’étude thermique externe et proposeront des solutions alternatives renouvelables, telles que l’implantation de chaudières biomasses ou de pompes à chaleur géothermiques. Huit communes ont répondu à l’AMI (Appel à Manifestation d’Intérêt) pour douze sites étudiés, la consultation du bureau d’étude est en cours.

La seconde partie de la présentation abordait le programme LEEA, " L’Efficacité Energétique Autofinancé ". Il a pour objectif de réaliser des audits énergétiques simplifiés sur les bâtiments ciblés afin de préconiser des travaux à faible temps de retour sur investissement, comme par exemple, la mise en place d’un thermostat d’ambiance ou l’isolation de combles perdus. Le principe est de générer des économies d’énergie sur une courte période pour rembourser l’investissement initial. Les bouquets de travaux sur ces audits énergétiques ne dépasseront pas douze ans. Lors de la présentation au G8, l’AMI aux communes membres pour ce programme n’était pas encore terminé et plusieurs d’entre elles y ont répondu par la suite. La consultation du bureau d’étude est à ce jour en cours pour un total de trente bâtiments étudiés.
A noter que pour ces deux programmes, les études sont entièrement financées par la CAE.

Habitant du village, Gabriel Jeudy est né en 2001. Depuis 2012, l’année où il est monté dans une caisse à savon pour la première fois et où il a fait sa première course, à Vaxoncourt, il est passionné par ce loisir. Licencié au Colocas (comité lorrain de caisses à savon), il fait une dizaine de courses par an et possède déjà une belle expérience forte de 120 à 130 courses. Comptant une centaine de licenciés avec presqu’autant de pilotes, le Colocas est l’un des plus importants comités français.

Gabriel courait après le titre de champion de France ! Depuis qu’il a 19 ans, il court dans la catégorie « adultes », la C4, la catégorie reine de la caisse à savon. Début juillet, il est devenu champion de France alors que 149 caisses étaient engagées sur le championnat qui se déroulait sur deux journées. A Lézigneux, dans la région lyonnaise, il a enfin réalisé son rêve après avoir fait de nombreux podiums par le passé.
Il a déjà fait le Championnat d’Europe et la Coupe d’Europe où il est monté plusieurs fois sur le podium. Maintenant, il est sélectionné pour le championnat d’Europe 2022 qui aura lieu en Allemagne. La Covid n’empêche plus le déroulement du calendrier !

Le Colocas avait engagé 27 pilotes au Championnat de France, il compte deux autres champions de France 2022 également vosgiens, en C3 avec Tom Briantais (ados) et en C5 (sidecars) avec Jean-Charles Pierrat et François Drouillot.

Bien sûr, la famille Jeudy suit son champion, sa maman Isabelle court toujours (dans la même catégorie que son fils), son papa Jean-Michel et sa sœur Caroline ont délaissé la course, mais son papa s’occupe des deux caisses, lorsqu’il y a de la casse…

Les loisirs, une passion, c’est une chose. Côté professionnel, il a eu son BTS de technicien d’usinage à l’issue de son apprentissage et il a déjà trouvé du travail. Une belle année pour lui.
A noter que Gabriel cherche des sponsors, on peut le retrouver sur Facebook

Joël Raze, architecte de Vosges Architecture qui s’est vu attribuer le marché de réhabilitation et d’extension du bâtiment de la mairie, et Frédéric Dulot ont présidé une réunion préalablement au début de chantier. Les travaux qui dureront plusieurs mois, débuteront par la réhabilitation des anciennes toilettes de l’école des garçons qui seront transformées en chaufferie. Un local pour le stockage des pellets sera construit contre cet bâtisse. Par la suite, un réseau de chaleur permettra de chauffer le secrétariat de mairie, la salle polyvalente et le logement situé au 1^er étage du bâtiment. Quant aux travaux d’extension de l’actuelle salle, ils débuteront dès lors que les deux citernes de gaz situées à l'arrière de la mairie dans l'ancien jardin de l'instituteur seront enlevées. Pendant la durée des travaux, le secrétariat de la mairie restera ouvert. Des aménagements seront toutefois nécessaires.

Mathieu Clément, Candice Hanclot et leur fils Aaron habitent Vaxoncourt depuis septembre 2019. Sapeur-pompier depuis dix ans, d’abord au Centre de secours de Thaon les Vosges et maintenant à Châtel sur Moselle, il est sergent depuis un an. Elle est sapeur-pompier depuis quatre ans au Centre de secours de Châtel sur Moselle. Le couple, engagé au service des autres donc, s’est connu sur une intervention !
Lors de la cérémonie du 14-Juillet à Nomexy, Frédéric Dulot a eu l’honneur de remettre la médaille d’honneur pour dix ans de service échelon bronze au sergent Mathieu Clément. Nos félicitations.

Afin de pérenniser une école rurale de proximité, depuis 2017, des travaux de réhabilitation et d’extension de l’école communale ont permis la création d'un Regroupement Pédagogique Intercommunal Concentré, le RPIC du Durbion, entre Domèvre sur Durbion et Vaxoncourt qui accueille depuis les élèves de Domèvre. En 2020, des travaux s’imposent à la cantine, la question de sa réhabilitation se pose. Les deux municipalités décident de construire un bâtiment fonctionnel proche de l’école apportant sécurité et confort aux enfants et de se répartir pour moitié le coût des travaux HT après déduction des subventions, soit, pour un coût estimé à 467 143,01 € HT, un reste à charge pour chacune estimé à 75 000 € HT.
Ils sont entre 40 et 50 à manger dans le bâtiment opérationnel depuis février. De nombreuses personnalités -le préfet des Vosges, le sous-préfet à la ruralité, Stéphane Viry député des Vosges et conseiller départemental représentant le Président Vannson, le sénateur Hingray, Sylvie d'Alguerre conseillère régionale réprésentant le Président Rottner, Emilie Sivadon représentant le sénateur Grémillet et Mme Bizé inspectrice de l’Éducation Nationale représentant le DASEN, de nombreux maires du secteur, beaucoup d'habitants de Vaxoncourt et de Domèvre sur Durbion- plus de 150 personnes ont été accueillies par Frédéric Dulot et Bernard Morel, les deux maires liés par le RPIC du Durbion.

Une plaque d'inauguration marquant l'évènement a été dévoilée. Tous les intervenants ont souligné l'importance et la force de la ruralité.

Il n'y avait pas que des familles pour célébrer ce moment important dans la vie des deux communes, pour les enfants, pour une école rurale disposant des mêmes moyens qu'en ville. Les habitants étaient là eux aussi. Lors de la visite du nouveau bâtiment, on n'a entendu que des compliments. Tous sont satisfaits que les enfants ne subissent plus les aléas de la météo et les dangers de la rue.

Le partenariat entre les deux communes est bien ancré, il montre leur dynamisme, leur vision de la ruralité, le partage des valeurs, leur envie de se tourner vers l'avenir.

Pour marquer la fin de l’année, les élèves des deux classes maternelles de Delphine Jacquot et Laetitia Deruytter sont allés pique-niquer dans un pré en bout du Chemin sur la Roche. Puis pendant la sieste des plus petits, les classes de Laetitia Deruytter, Marie-Françoise Kopp et Sébastien Haschar sont allés vers les étangs. De quoi respirer la nature avant d’aborder les vacances.

Un premier DAE (défibrillateur automatisé externe) a été installé dans la cour arrière de la mairie en 2020, un second vient de l'être près de la porte du restaurant scolaire. Guy Carly de la société alsacienne Cardia Pulse a présenté l'appareil, le matériel que contient la valise et il a fait une démonstration devant les enseignants, les agents communaux et des parents avec leurs enfants. Il a expliqué et montré comment utiliser le DAE, comment masser selon que la victime est un adulte, un enfant ou un nourrisson,

L’appareil est équipé d’une trousse de secours, d’une paire d’électrodes pour enfants et une pour adultes qui doit être changée après chaque utilisation et tous les trois ans. Tant que le DAE est ouvert, une alarme retentit. L’utilisateur doit suivre les instructions données oralement par l'appareil.

Chacun doit avoir en tête « Protéger, alerter, secourir » et quatre numéros de téléphone le 15 (Samu), le 18 (sapeurs-pompiers), le 112 (appel d’urgence européen) et -on l'ignore souvent- le 114 (appel d’urgence européen pour les sourds et malentendants qui peuvent alerter par SMS).

Le premier salon de la pêche de Vaxoncourt a été organisé par Sébastien Fayolle Le Pêcheur François et l’Amicale des pêcheurs de Vaxoncourt à l’étang Jean-Paul Valentin. Des marchands sont venus de Lorraine dont un Meusien qui fabrique lui-même les cannes à pêche qu’on trouve sur son stand, d’autres sont venus de plus loin comme depuis la Normandie ou le Sud-Ouest.

Les pêcheurs ont trouvé tout ce qui concerne la pêche, toutes sortes de matériels en majorité de fabrication française : des cannes à pêche, des leurres artificiels, de l’amorçage, des vêtements… Ils avaient la possibilité de tester ce qu’ils souhaitaient acheter et pouvaient prendre une carte à la journée pour pêcher. De nombreux poissons ont été pris dont une belle carpe de 17 kg. Ce type de salon était une première dans le département.

L’association " les amis de l’école " a organisé un concours de dessin en marge des jeux interrues. Les œuvres enfantines ont été classées selon l’âge des enfants en quatre catégories, le jury a désigné quatre gagnants, Eleanor (représentée par son papa Jean-Christophe), Tom, Soline et Robin lesquels ont reçu un cadeau en clôture des jeux.

Qu’il revête son costume de gros nounours pour attendrir et amuser les enfants ou qu’il devienne un Ecossais plus vrai que nature, vêtu d’un kilt et jouant de la cornemuse, Christophe Médina, membre de l’association locale Cheval débardage ne passe pas inaperçu et met de l’animation partout où il passe.
Ainsi, lors des récents jeux interrues dans lesquels son association était partie prenante, malgré la chaleur, il a apporté un plus inattendu pour tous les enfants présents et il est vite devenu la mascotte des plus jeunes.

Alors que les plus grands sont allés au Centre d’animation de la Préhistoire à Darney, les élèves de maternelle des classes de Delphine Jacquot et Laetitia Deryutter sont allés découvrir les animaux de nos régions au NaturOparc de Hunawihr dans le Haut-Rhin qui œuvre pour la conservation des espèces locales et la sensibilisation à la préservation de la biodiversité. Une visite pleine d’intérêt pour les jeunes enfants qui ont pu voir à la fois des animaux de la faune sauvage locale et des animaux de la ferme.

Pour marquer la fin de l’année, les élèves des deux classes maternelles de Delphine Jacquot et Laetitia Deruytter sont allés pique-niquer dans un pré en bout du Chemin sur la Roche. Puis pendant la sieste des plus petits, les classes de Laetitia Deruytter, Marie-Françoise Kopp et Sébastien Haschar sont allés vers les étangs. De quoi respirer la nature avant d’aborder les vacances.

Claire Bouilly effectue actuellement une mission ponctuelle pour le Pays d'Art et d'Histoire, du Pays d'Epinal, coeur des Vosges. En collaboration avec Romaric Duchêne, animateur du Pays d'Art et d'Histoire, Frédéric Dulot et Christiane Vermeulen qui prépare un livret sur l'histoire de Vaxoncourt, elle proposera un rallye-découverte pédestre sous forme ludique le dimanche 28 août prochain.

Il faudra trouver des indices afin de résoudre les énigmes proposées et de (re)découvrir de manière ludique Vaxoncourt. Muni de sa feuille de route, on parcourra les rues principales et on accédera aux lieux " emblématiques " du village. Le sens de l'observation et la réflexion seront requis pour évoluer dans le parcours et réussir les épreuves ludiques. Cette animation concilie divertissement, balade, et exploration, elle pourra être suivie à partir de 8 ans. Le rendez-vous est donné à l'école de Vaxoncourt à 14 h.

Quand la Covid en a enfin laissé la possibilité, soutenues par le maire Frédéric Dulot, quelques personnes ont émis le souhait d'animer le village. Ils ont ressorti des cartons les jeux qu'ils avaient imaginés sur le thème " la cuisine en folie " pour des jeux inter-rues prévus, avant la crise sanitaire, pour juin 2020. La cérémonie d'accueil des nouveaux habitants n'ayant pu avoir lieu ces dernières années, l'idée était de permettre à tous les habitants de se retrouver pour une journée conviviale et chaleureuse autour d'activités ludiques.
Le village a été divisé en six zones, six coaches ont été désignés et chargés de trouver dix personnes. Les jeux ont eu lieu samedi sous le soleil. Le premier des six jeux était le dessert, chaque équipe est arrivée avec un gâteau qui a été jugé sur son aspect par les autres équipes. C'est l'équipe " Garde la pêche " qui l'a emporté, avec un gâteau représentant le nouveau pont, inspiration logique pour le secteur du pont.
Un lancer d'œuf cru, le déroulage de botte de foin dans un couloir, la construction d'un puzzle avec des morceaux cachés dans la paille, un lancer de fausses crêpes avec une poêle en guise de raquette, une course en sac étaient les autres jeux. Chaque équipe avait la possibilité de jouer son joker sur le jeu de son choix pour doubler ses points. Des joueurs de belote ont joué toute l'après-midi pour le fil rouge.
C'est l'équipe " Garde la pêche " qui a gagné à la fois le trophée qui sera remis en jeu lors de nouveaux jeux inter-rues et la coupe du fairplay.

Plusieurs associations du village se sont groupées pour organiser la manifestation, ajoutant quelques animations, concours de dessins, danses médiévales, mascotte, au cours de l'après-midi. Les crêpes des pêcheurs, la buvette, la petite restauration et le repas champêtre du soir ont eu beaucoup de succès.
Les nouveaux habitants en particulier étaient ravis de pouvoir enfin faire connaissance avec leurs voisins et les autres : Quelle belle journée !

Il ne leur reste que quelques semaines d’école avant de quitter leur enseignant, Sébastien Haschar et le RPIC du Durbion. Antoine, Calvin, Enzo, Léo, Lisa, Savannah, Soline et Timéo, les huit futurs collégiens ont pris le bus pour passer une matinée au collège Louis Pergaud de Châtel qu’ils fréquenteront après les vacances d’été.

Ils ont d’abord été reçus par la principale, la conseillère principale d’éducation et l’infirmière. Puis encadrés par les professeurs, avec les 6èmes, ils ont assisté à un cours de sport avec athlétisme, badminton, gymnastique, à un cours d’allemand où ils ont appris en quelques phrases à se présenter et ont découvert le CDI où ils ont utilisé différents dictionnaires. Pour finir, ils sont allés au self pour prendre leur repas.
Pendant toute leur présence dans l’établissement, ils ont été accompagnés avec bienveillance par deux élèves de 4ème qui ont servi de guides et ont répondu à leurs questions. Une matinée qui a passé bien vite. Leur enseignant qui les accompagnait les a trouvés " ravis de leur matinée et prêts à entrer au collège. "

Comme pour beaucoup d’autres choses, le permis piéton des CE2 a été perturbé par la crise sanitaire, il n’a pas pu avoir lieu durant les deux dernières années. Aussi pour réparer ce manque, les 23 élèves de Sébastien Haschar ont passé ce permis piéton cette année, qu’ils soient en CE2, en CM1 ou en CM2.
Cette opération se fait en collaboration avec la MAIF et la Sécurité Routière. Le gendarme Mérel de la brigade de Thaon les Vosges est d’abord venu rendre visite à la classe, il a présenté le permis et a remis à chacun les documents sur lesquels il a pu travailler avec ses parents avant de le faire avec l’enseignant. Puis il est venu faire passer l’examen, douze questions sous forme de quiz à choix multiples. Enfin, il est revenu proclamer les résultats, tous ont bien travaillé puisque tous ont été reçus, il leur a remis leur diplôme à l’école en présence de leurs parents. Il n’a pas manqué de les féliciter et de leur rappeler que les piétons ont des droits mais aussi des devoirs. Il les a encouragés à continuer de parler de ce sujet avec leurs parents, il en va de leur sécurité.

Depuis longtemps, le stationnement est problématique dans le centre du village. Déjà, la commune avait acheté une partie d’une parcelle privée que les propriétaires laissaient jusque-là à la disposition des automobilistes, ainsi la place a été agrandie officiellement. Mais aucune place n’était matérialisée, puis une place pour handicapés a été marquée. En 2020, la commune a saisi l’opportunité d’acheter une partie de parcelle attenante à la mairie. Ainsi, elle pouvait à la fois lutter contre l’habitat dégradé en démolissant un vieux hangar en bois et aménager un parking de 17 places, dont une PMR, adapté au centre du village, proche de la mairie, de l’église et de la salle polyvalente, et pouvant de plus désenclaver une impasse, la rue des Petits sabots qui dessert les maisons et terres agricoles derrière la mairie.

Le projet s’inscrit dans la dynamique de la collectivité qui est, dans ce projet, assistée par Sylvain Veber technicien à l’assistance à maîtrise d’ouvrage de la CAE, il bénéficie de subventions de la part de l’Etat, la Région, le Département et l’Agence de l’eau Rhin Meuse. Après une mise en concurrence, c’est ID Verde d’Eloyes qui va aménager le site pour environ 103 290 € HT, le maître d’oeuvre étant IDP Consult.
Les travaux doivent commencer avant le mois de juillet.

Lisa Duchaine a eu 18 ans en ce début juin. Pour la première fois, elle a donc pu participer à une élection. C’est son père, Valéry Duchaine adjoint au maire qui a enregistré son premier bulletin de citoyenne. A voté a-t-elle entendu de la bouche de son père !

Préparant un CAP Petite enfance, après un stage en crèche, Stecy Comte a effectué un stage de plusieurs semaines au RPIC du Durbion, elle a secondé Delphine Jacquot la directrice et maîtresse des petites et moyennes sections. Enfant du village, c’est à Vaxoncourt qu’elle a fait toute sa scolarité primaire et elle a d’ailleurs été l’élève de sa maîtresse de stage et d’Anne-Françoise Kopp. C’est là aussi qu’elle avait fait son stage de classe de troisième. Fortement motivée et impliquée, elle passera bientôt l’épreuve. Souhaitons-lui bonne chance.

Les jeux interrues auront lieu samedi 18 juin à partir de 13 h 30 sur le terrain de foot et dans la cour de l’école. Les derniers détails pratiques ont été réglés entre les organisateurs, les associations participantes et le coach de chacune des six équipes, chacune d’elles qui représentent un secteur du village est composée de dix membres, hommes, femmes, enfants à partir de 8 ans. Elles s’affronteront dans des épreuves ludiques, huit jeux, sur le thème de " la cuisine en folie ", la belote sera le fil rouge.

Des jeux pour les enfants, une restauration rapide, une buvette ainsi qu’un repas à partir de 20 h sont prévus sur le site.

Le chemin du Breuil relie le secteur du moulin à la RD 10. La commune a prévu de le refaire car faisant partie d’un itinéraire de déviation pendant les travaux de rénovation du pont sur la RD 10 F, il a été fortement dégradé par l’intensité de la circulation pendant quelques mois. De plus, il comporte une partie basse détériorée par les crues successives.

Frédéric Dulot a convoqué sur place les propriétaires des terrains en bordure du chemin. Avec Anthony Leroy, technicien Voirie Réseaux Divers à la Communauté agglomération d’Epinal, et Valéry Duchaine, un adjoint, il leur a expliqué les travaux qui sont prévus sur toute la longueur de la voie soit 250 mètres.

Avec Michel Fayolle, président de l’amicale des Pêcheurs de Vaxoncourt, quelques pêcheurs ont nettoyé les abords de l’étang Jean-Paul Valentin à la veille de la journée de la pêche programmée traditionnellement le premier dimanche de juin. La parcelle louée par la commune à l’association est composée de dix-sept hectares, douze en eau et cinq de terre autour de l’étang.

Plusieurs élèves de Vaxoncourt ont participé aux deux concerts donnés par la chorale de leur collège au Centre culturel de Nomexy sous la direction de leur professeur de musique Fabrice Guerre. Les répétitions se sont faites sur le temps de pause de midi, la situation sanitaire qu’on vient de vivre n’a pas facilité tout ce temps d’apprentissage qui s’est vécu longtemps en petits groupes puis en deux groupes. Les 110 choristes du collège Louis Pergaud étaient prêts pour leur entrée en scène, ils étaient accompagnés sur scène non seulement par leur professeur mais aussi par des musiciens professionnels. La présentation des chansons s’est faite sous une forme originale par des saynètes.

Le résultat final a été vraiment à la hauteur, les parents et autres spectateurs ont été vite conquis, les applaudissements l’ont bien montré. Un moment fort partagé par tous après deux années sans chanter à cause de la Covid.

Les élèves de Anne-Françoise Kopp et Sébastien Haschar, du CP au CM2, ont vécu une journée intense - coupée par un pique-nique - au Centre d'animation de la Préhistoire de Darney où ils ont été accueillis par un guide. Petits ou grands, chacun a visité le Musée et fabriqué une " pendeloque ", un petit bijou fait d'une pierre taillée par frottement sur du grès, percée avec un silex pointu puis traversée par une ficelle.

Selon leur classe, ils ont pu faire de la peinture pariétale sur un caillou utilisant un bâton pour peindre, du charbon noir et de l'ocre comme couleurs, ou fabriquer une poterie après avoir réduit la terre en poudre, ou un bracelet en peau de bête en utilisant un silex et un bois de renne comme outils ou encore fait des moulages de plâtre de pattes d'animaux. Allumer du feu avec de l'amadou et des silex a été bien motivant.
Pouvoir revenir à l'école avec les objets de leur fabrication a été particulièrement apprécié.

Le dimanche 5 juin, les Amis de l'école ont organisé le vide-greniers qui avait été supprimé comme toutes les manifestations depuis deux ans. Il avait habituellement lieu le deuxième dimanche du mois de mai, jour de la fête patronale, dans la rue principale. Mais cette année, les communes de Domèvre sur Durbion et Vaxoncourt ont souhaité qu'une fête foraine fasse son retour afin que les enfants du RPIC du Durbion soient pleinement associés à la manifestation ce qui a entraîné un changement de date et de lieu. Les deux communes n'ont pas hésité à offrir 200 tickets de manège à leurs jeunes habitants pour les parents intéressés.

Installés sur le terrain de foot avec leurs attractions (manège pour enfants, pêche aux canards et confiserie), les forains ont été satisfaits de ce geste. Une douzaine d'exposants avaient monté leur stand dans la cour de l'école.

Mais la météo incertaine a perturbé le bon déroulement de la journée avec des désistements de dernière minute. Les habitants du village ont bien répondu, la buvette et la restauration rapide ont bien fonctionné. Un flux continu de visiteurs a été observé jusqu'à ce que la pluie vienne perturber les festivités. A noter que pour la première fois, les organisateurs ont pu bénéficier des infrastructures du site qui leur ont permis d'être autonomes pour l'électricité, l'eau et les sanitaires.

La recette de la journée profitera aux élèves du RPIC du Durbion.

Bernard Morel et Frédéric Dulot, les maires de Domèvre sur Durbion et Vaxoncourt ont convié les douze familles dont les enfants feront leur rentrée en PS au Regroupement pédagogique intercommunal du Durbion en septembre prochain. Plus de la moitié d'entre elles ont répondu à l'invitation et ont pu découvrir l'école et tout ce qui sera le quotidien de leurs enfants dans quelques mois. Le fonctionnement des services périscolaires, tant garderie que cantine, a également été précisé sachant qu'un service de garderie fonctionne dans les deux communes avant et après l'école. Marie-José Lemercier Atsem est en charge de ce service à Domèvre et accompagne les enfants dans le bus qui assure le transport des élèves au RPIC matin et soir.

Chaque année, cette initiative des deux maires est très appréciée des parents et des enfants qui peuvent ainsi également faire un peu connaissance avec ceux qui deviendront vite leurs copains.
Très intimidés à leur arrivée, les futurs élèves se sont vite détendus pendant la visite des locaux. Ces familles ont eu la primeur de visiter le restaurant scolaire dont l'inauguration aura lieu le vendredi 8 juillet prochain à 18 h.

Michel Heinrich, président de la Communauté d’Agglomération d’Epinal, a travaillé ou travaille encore avec les quatre personnes qui ont été honorées récemment et qui totalisent 85 années de dévouement à leur commune. Au cours d’une cérémonie qui a retrouvé sa convivialité, il a remis la médaille d’honneur régionale, départementale et communale pour vingt années de service à Christian Noël, Jean-Luc Ferry, Valéry Duchaine et Frédéric Dulot maire actuel qui a retracé l’engagement de chacun :
Christian Noël a été adjoint de Jean-Paul Beretta puis maire pendant quatre ans, " le maintien et la préservation de l’école ont été une priorité. L’ancienne salle de classe du bâtiment-mairie a été repensée et une cuisine aménagée dans un vestiaire pour créer une cantine scolaire ce qui a permis de sauver l’école. En 1997, trois à cinq enfants y mangeaient, en 2022, ils sont plus d’une quarantaine. " C’est sous son mandat que l’acquisition d’un hangar Grand’rue a permis de créer un parking et que les travaux d’assainissement portés par la Communauté de Communes de la Moyenne Moselle ont débuté. Jean Luc Ferry a été élu de 1989 à 1997 et de 2008 à 2020 dont une partie en tant qu’adjoint. Valéry Duchaine est élu depuis 2001, il est adjoint de Frédéric Dulot depuis 2008. Frédéric Dulot est élu conseiller en 1997, Christian Noël puis Claude Lacroix étant maires, il devient maire à son tour en 2008.

Il a retracé quelques actions réalisées depuis : patrimoine (mise en accessibilité de l’église, réhabilitation et sécurisation du pont sur le Durbion propriété du département), urbanisme et habitat (élaboration d’un PLU, lutte contre l’habitat dégradé), école (création du RPIC avec Domèvre sur Durbion, réhabilitation et extension de l’école, construction d’un restaurant scolaire). Et également, renouvellement des canalisations et extension du réseau d’eau potable, amélioration de la desserte incendie, réhabilitation de l’éclairage public, création du site internet, adhésion au dispositif Voisins vigilants, déploiement de la fibre optique, amélioration de la téléphonie mobile, bourse au permis de conduire, mise en place de l’aide aux devoirs, intégration à la CAE, nombreux travaux de voirie…

" Chacun a consacré ou consacre encore beaucoup de temps pour l’intérêt commun. Etre élu est une tâche difficile. Si nous devons respecter le passé, il convient de forger ensemble l’avenir de notre village " a dit le maire.

Des projets sont en cours, aménagement d’un parking de 17 places place de la Mairie, réhabilitation et extension du bâtiment-mairie avec création d’un tiers-lieux…

23 enfants des classes de Laetitia Deruytter, Anne-Laurence Kopp et Sébastien Haschar participent aux activités manuelles dans le cadre des activités périscolaires avec, au programme, la fabrication d'un cadeau pour la fête des mamans du dimanche 29 mai. Répartis en trois groupes selon leur âge, ils sont encadrés par les employées communales et une maman Leslie Masson.

Cette activité périscolaire se déroule le mardi de 16 h 30 à 17 h 30, elle est facturée au prix de la garderie soit 1,10 € l'heure. 

Présidée par Sophie Remy, l'association " La forme sous toutes ses formes " se trouvait en sommeil depuis quelque temps. Mais l'évolution de la crise sanitaire le permettant, elle retrouve des activités.

Après sa participation à l'organisation des jeux intervillages de 2019 qui avaient vu la victoire de l'équipe de Frizon, elle s'est engagée, avec d'autres associations locales (l'amicale des Pêcheurs, la Médiévale, les Amis de l'école et Cheval débardage) dans l'organisation des jeux interrues qui se dérouleront le 18 juin prochain sur le terrain de sports attenant à l'école sur le thème de " la cuisine en folie ".
A ce jour, " La forme sous toutes ses formes " est pleine de projets qui ont été décidés lors de la dernière assemblée générale il y a quelques jours au cours de laquelle ont été élus présidente Sophie Remy, vice-présidente Solange Merrot, trésorier Serge Pinot et secrétaire Valérie Michel. La cotisation annuelle est fixée à 2 €.

A partir de la rentrée, elle organisera une marche chaque premier dimanche du mois, le premier rendez-vous est fixé sur le parking de l'école à 9h le 4 septembre. Elle prévoit également un nettoyage de printemps l'an prochain pour répondre à la demande de plusieurs habitants et un voyage d'une journée en mai 2023.

Une grosse manifestation à mettre à l'actif de l'association était la marche gourmande qui avait lieu tous les deux ans le dernier dimanche d'août. La dernière ayant eu lieu en 2016, beaucoup regrettaient son absence depuis lors. La septième édition est portée au calendrier, elle aura lieu le 27 août 2023.

Ce samedi 21 mai, le village a reçu la visite de François Vansson, président du Conseil départemental, Stéphane Viry député et conseiller départemental (accompagné de sa binôme Dominique Marquaire) et Véronique Marcot vice-présidente du Conseil départemental déléguée aux routes et au patrimoine. Comme de nombreux habitants, ils étaient là pour l'inauguration du pont datant de 1804 qui, enjambant le Durbion, est situé sur la RD 10 F.

Les services de transport scolaire avaient interpellé les collectivités sur les difficultés rencontrées pour desservir le village (RPIC, collège, lycée) et le devenir de la desserte.

François Vannson et Stéphane Viry se sont accordés pour reconnaître la nécessité d'adapter le pont aux contraintes de la circulation actuelle et à la sécurité tout en tenant compte de sa valeur patrimoniale et de l'attachement des habitants, ils ont confirmé le bien-fondé de la demande de la commune pour désenclaver le village et attirer des nouveaux habitants.

Le président a rappelé que la réfection de l'ouvrage a été entièrement financée, soit 277 077, 60 € TTC, et réalisée sous maîtrise d'ouvrage du Conseil départemental. " Tout en gardant son esprit patrimonial, il a une patte contemporaine, le travail est remarquable. " Il a insisté sur la volonté du Conseil départemental de continuer à aider les communes rurales. Effectués par l'entreprise Bonini pendant la crise sanitaire, les travaux ont duré quatre mois pendant lesquels chacun a dû s'adapter, particulièrement les parents pour emmener les enfants à l'école, la passerelle installée par l'entreprise a résolu le problème des piétons et cyclistes.
Stéphane Viry connaît bien Frédéric Dulot, " son attachement à sa commune et à la ruralité, son investissement, sa pugnacité. Il veut offrir le meilleur aux habitants et cette réalisation le montre. "
Véronique Marcot est ravie de l'aboutissement de ce chantier, chaque année, le Conseil départemental engage 2 500 000 € pour ses ouvrages d'art.

La période des saints de glace est passée sans déranger les jardiniers cette année. Quelques conseillers ont ensuite travaillé de concert avec Rémi Démoulin l'employé communal pour garnir les massifs disséminés d'un bout à l'autre de la commune. Les jardinières seront mises en place plus tard.

Depuis plusieurs années, la CAE finance la Compagnie des joli(e)s mômes pour animer plusieurs ateliers théâtre sur son territoire dont celui de Vaxoncourt. Seize enfants et ados âgés de 8 à 15 ans, venant de Vaxoncourt et d'ailleurs, y participent depuis la rentrée sous la conduite de Leni Gueusquin, artiste, metteur en scène, comédien et dramaturge. Il confie " les jeunes acteurs s'amusent, nous passons de bons moments, je les aide à ouvrir leur sens artistique. C'est un groupe mixte qui présente de grosses différentes d'âge et de niveau où on sent de la bienveillance et où de belles choses sont réalisées. " Toutes les séances hebdomadaires n'ont pas pu avoir lieu, une " séance de rattrapage " a donc eu lieu un samedi de 10 h à 15 h 30 avec un pique-nique partagé sur place.

Le travail est le thème choisi cette année. Les côtés positifs et négatifs du travail sont abordés à travers des textes, classiques, plus modernes, ou tirés de la mythlogie. D'autres ateliers travaillent également sur ce thème.
Le groupe de Vaxoncourt donnera deux spectacles, l'un dans le village le 13 juin et l'autre sur une vraie scène, celle du théâtre municipal d'Epinal le 25 juin avec un autre groupe.

Par deux fois pendant la pandémie qui empêchait tout rassemblement, le CCAS a proposé un repas gratuit livré à domicile aux personnes de plus de 65 ans pour remplacer le repas qui leur était offert traditionnellement le troisième dimanche de novembre. Cette année, a priori, elles pourront se retrouver pour partager ce repas.

Pour marquer le dimanche qui était celui de la fête patronale, le CCAS a proposé le même service à tous les habitants pour 20 €. Ainsi, dimanche, Martine, Vanessa et Grégory ont distribué 45 repas, fagot d’asperges fraîches, jambon cru et mâche, puis paleron de veau, gratin dauphinois et carottes Vichy et enfin fromage et assiette gourmande, accompagnés de Bordeaux et pain.
Frédéric Dulot explique la position du CCAS " nous proposons à ceux qui cuisinent toute l’année de se reposer et à ceux qui ne peuvent plus le faire d’inviter famille et amis ". Les repas ont été préparés par la Sarl Cuisine d’un jour de Pouxeux.

Les derniers jeux intervillages dans la commune se sont déroulés en juin 2019. Sophie Remy, Franck Bataille, Jean-Luc Ferry et Philippe Rousseau ont rapidement réfléchi à des jeux inter-rues dans le même esprit pour 2020 afin de fédérer tous les habitants, anciens et nouveaux, puis la Covid est arrivée.
Ces jeux restés dans les cartons sont finalement programmés pour le samedi 18 juin sur le terrain de foot à partir de 13 h 30. Demandant un esprit sportif plutôt que des qualités sportives, les huit jeux auront pour thème " la cuisine en folie ", la belote en sera le fil rouge. Le village a été découpé en six secteurs selon les quartiers avec, à la tête de chacun, un coach, Martine Jacobé, Laurence Sergent, Jean-Christophe Brendel, Virginie Crance, Coralie Protin et Maxime Duchaine. Chacune des six équipes sera composée de dix joueurs, adultes et enfants de plus de 8 ans.

Les organisateurs ont sollicité les associations locales pour l’organisation. Sont partie prenante pour l’instant Cheval débardage, l’amicale des Pêcheurs, la Forme sous toutes ses formes, la Médiévale et les Amis de l’école. Ils les ont invitées avec les coaches pour leur présenter l’après-midi, tirer au sort l’ordre de passage des équipes dans les jeux et expliquer les règles.

Les associations tiendront une buvette et un stand de restauration rapide, les Amis de l’école proposeront des jeux pour les enfants. Un repas champêtre clôturera la journée.

Les travaux de remplacement des abat-sons de l’église Saint-Martin n’ont duré qu’une semaine, les habitants ont vite retrouvé leurs repères avec la sonnerie des heures et des angélus. L’entreprise Houillon de Damas et Bettegney a l’habitude de ce genre de travail " quand nous changeons les abat-sons, c’est toujours à cause de la sécurité. "

Le clocher avait été touché lors de la tornade de 1984 et restauré. A raison de 21 lames par fenêtre, les huit fenêtres ont été changées, le même bois, du chêne, a été utilisé. De plus, un grillage rigide a été installé pour protéger le clocher de l’intrusion de volatiles.

Il fallait gravir près de cent marches, les six premières en pierre, les suivantes en bois pour accéder au chantier. Un système de poulie avait été installé le long de la façade principale pour transporter les morceaux de chêne et du matériel.

Le coût des travaux s’élève à 16 024 € HT. La commune bénéficie d’une aide de l’Etat sous forme de Dotation d’Équipement des Territoires Ruraux (DETR) et du plan de relance rural de la région " Grand Est ". Ainsi, cette opération bénéficie de plus de 70 % de subvention.

La cérémonie de la commémoration du 8 mai 1945 a été suivie par un large public. Elle s'est déroulée d'une manière classique avec le rappel des noms des victimes civiles et militaires, la lecture du message de la déléguée auprès de la ministre des Armées chargée de la mémoire et des anciens combattants et la Marseillaise.
Mais elle a également revêtu un caractère particulier en lien avec le conflit en Ukraine, on a entendu la chanson Nuit et Brouillard de Jean Ferrat qu'il a écrite en mémoire de son père juif d'origine russe déporté et mort à Auschwitz. Et Kiev étant jumelée avec Toulouse, Oksana Deveney, une Vaxoncurtienne originaire de Kiev, a lu la " lettre bouleversante d'une habitante de Kiev aux Toulousains " qui apporte son témoignage et finit par " Nous avons un dicton " On reconnaît ses amis dans les périodes difficiles." Aujourd'hui, nous voyons clairement que l'Ukraine a des amis fiables !

Vive l'Ukraine ! Vive la France ! ". Des applaudissements ont salué l'intervention d'Oksana.

Depuis 2016, le nombre de maisons vides augmentant et celui des habitants diminuant moins (12,5 % au recensement de 2016), les élus ont décidé de réagir afin d’inverser la tendance. Une première décision a consisté a instauré dès 2017 la Taxe d’Habitation sur les Logements Vacants. Après un recensement méticuleux des maisons vacantes, le maire a contacté leurs propriétaires afin de les sensibiliser sur le devenir de leur bien, leur donner une seconde vie par une réhabilitation, la location, la vente….  Petit à petit, cette démarche a porté ses fruits.

En 2018, la Préfecture s'est montrée intéressée par la démarche de la commune et un groupe de travail s'est constitué à l'échelle de la CAE sur trois communes-pilotes : Fontenoy le Château, Ubexy et Vaxoncourt. Des rencontres régulières ont permis de rechercher les voies et outils existants pour accompagner les propriétaires et les communes qui souhaitent reconquérir des biens vacants. La commune a été précurseur en matière de lutte contre l’habitat dégradé. Assistée par la Préfecture, elle a engagé une procédure de bien en état d’abandon manifeste qui a abouti au maintien dans le village d'une famille qui était auparavant en location, l'opération a quand même duré deux ans.

La CAE a étendu cette action de lutte contre les biens dégradés à d'autres communes comme Brantigny, Moriville... Par ailleurs, suite à la révision du Scot qui vise à réduire la consommation foncière et à l'élaboration du Plan local de l'habitat, ce sujet est devenu une priorité à l'échelle de la CAE qui accorde une aide financière pour réhabiliter ses biens vacants.

La commune a pris la décision d'apporter sa part également. Dans le cadre de la modification du PLU en cours, il est apparu qu’une vingtaine de maisons ont été remises sur le marché et vendues ce qui, selon le dernier recensement, porte la population de 443 (chiffre INSSE au 1^er janvier 2022) à 502 habitants. D'autres biens arrivent régulièrement sur le marché et cela demande une vigilance constante.

Venant de Girmont, une armada de motos pétaradantes s’est présentée aux nombreuses personnes qui patientaient devant la mairie. Les tirelires des motards ont reçu des euros en échange des roses qu’ils proposaient. Deux euros minimum contre une rose au profit de la lutte contre le cancer, un petit geste auquel avaient été sensibilisés les Vaxoncurtiens et qui a donc rencontré le succès.

Conclu en 2018, le " New Deal mobile " impose plusieurs objectifs d’aménagement numérique mobile du territoire dont celui de couvrir 5 000 nouvelles zones par opérateur d’ici 2026 aux opérateurs. Afin de résoudre les problèmes de couverture en téléphonique mobile observés sur la commune, le maire est intervenu après des Services de l’Etat pour les sensibiliser sur la situation de Vaxoncourt. Des essais ont effectivement confirmé l’absence de couverture mobile du village.

En décembre 2020, le Secrétaire d’Etat chargé de la Transition Numérique et des Communications électroniques a signé le décret qui impose aux opérateurs d’engager les travaux nécessaires à la mise en service d’au moins un nouveau site permettant d’améliorer la couverture en téléphonie mobile 4G sur le territoire communal dans un délai maximum de 24 mois. En mars 2021, le référent départemental a présenté le programme d’amélioration de la couverture mobile dont la commune allait pouvoir bénéficier.
SFR a été mandaté pour mener à bien cette opération, les autres opérateurs (Bouygues Telecom, Free Mobile, Orange) pourront ensuite bénéficier de ce support pour couvrir la zone. Dans le cadre de ses activités d’opérateur d’infrastructures, TDF a pris contact avec la mairie pour trouver un terrain communal susceptible d’accueillir une antenne-relais, une étude radio a ensuite permis de hiérarchiser les quatre secteurs qui avaient été identifiés. Finalement, il a été proposé d’implanter l’antenne-relais sur la parcelle communale A223 à la Poirouse et une surface de l’ordre de 160 m2 a été cédée à TDF.

Après l’intervention d’un géomètre pour la division foncière de la parcelle, une étude de sol a d’abord été réalisée. L’entreprise Giamberini et Guy venue d’Alsace a réalisé le massif de fondation (terrassement, coffrage, ferraillage, mise en œuvre du béton) dans l'attente de la mise en place du pylône. Dès maintenant, une clôture grillagée sécurise le site.

Créée en 1972 par Jacques et Chantal Debry, l'association du Vieux Châtel fêtera son jubilé le 2 juillet.

L’association a rapidement adhéré à l’Union Rempart et les travaux ont commencé en 1973 avec un premier chantier de bénévoles. Le château a été inscrit à l’inventaire des Monuments historiques puis classé en 1988. L’Etat, la Région, le Département et la CAE apportent une aide financière tandis que les travaux sont encadrés par la DRAC. Les chantiers ont lieu en été et de nombreux stages sont régulièrement organisés : sculpture sur pierre, vitrail, forge…

La CAE a conçu un programme d’aménagement sur plusieurs années qui comprendra un bâtiment d’accueil, un espace d’exposition et le musée. L’accueil des stagiaires et des bénévoles internationaux est également prévu. Le plan de développement touristique prévoit d’attirer environ 35 000 visiteurs par an d’ici 2030, actuellement, le site reçoit 4 000 scolaires et autant de visiteurs traditionnels, la fête médiévale bisannuelle avec des troupes professionnelles ou amateurs telle que La Médiévale amène 3 500 visiteurs. De nombreuses autres animations sont proposées : expositions, conférences, trails, randonnées cyclistes, visites aux torches, soirées Halloween, visites-repas… Un partenariat s’est développé avec la Médiévale qui organise des repas médiévaux, des démonstrations de tir à l’arc, des combats et des danses.
L’association souhaite que les Châtellois s’approprient le site et que le château redevienne un lieu de promenade prisé.

Les conseils municipaux de la CAE souhaitant faire une visite peuvent contacter l’association : 03 29 67 14 18 ou reservation@vieux-chatel.fr

Propriétaire du sentier de la Boutonnerie qui relie le parking du bas de la rue de la Côte au lavoir du chemin du Moulin, l’Entente Halieutique de la Moyenne Moselle l’entretient régulièrement. Comme ils le font chaque printemps, armés de leur débroussailleuse, Yvon Barbesant, Gilbert Vuillaume et Michel Balay, le président de la Fédération de pêche des Vosges, ont nettoyé les lieux tout en préparant l’ouverture aux carnassiers du 30 avril. Les promeneurs ont remarqué que les deux passerelles étaient en mauvais état, Michel Balay précise que " le remplacement des deux passerelles en bois abîmées par le temps et les inondations est prévu, pour rester nature, le même matériau sera utilisé ".

Dirigées par Coraline et Betty, des activités manuelles étaient au programme des Activités Temps Périscolaire pour la troisième période qui vient de s'achever avec l'arrivée des vacances de printemps. Durant six semaines, les enfants ont travaillé autour du thème de Pâques les amenant à découper, colorier, coller. Ils ont pu rapporter à la maison guirlandes et paniers remplis d'œufs de chocolat.

Le bus de l’emploi et de la formation est une action labellisée FACE Vosges et AFPA Grand Est en partenariat avec les élus du territoire du G8 composé des communes de Badménil aux Bois, Bayecourt, Châtel sur Moselle, Damas aux Bois, Domèvre sur Durbion, Frizon, Hadigny les Verrières, Igney, Moriville, Nomexy, Pallegney, Vaxoncourt, Villoncourt et Zincourt. Son concept est de permettre aux personnes en recherche d'emploi ou de formation ayant un projet professionnel de rencontrer des acteurs professionnels avec accès à de vrais entretiens d'embauche et découvrir des formations et des stages.

Le 30 mars, un bus les a acheminés gratuitement vers le RPIC du Durbion à Vaxoncourt où elles ont rencontré une trentaine de chefs d'entreprises, des artisans locaux et des organismes (CAP Emploi, Mission locale. Les échanges individuels ont été fructueux. Plusieurs candidatures ont été recueillies et quelques embauches ont eu lieu. Cette initiative innovante en matière de recrutement a pour objectif de palier à la pénurie de main d’œuvre observée sur le territoire.

 En fin de matinée, le bus les a ensuite reconduits aux divers points d'arrêt.

Maintenant que les restrictions sanitaires sont assouplies, une équipe de bénévoles se met en route avec les responsables de la Médiévale et la Forme sous toutes ses formes, deux associations locales qui ont pour objectif d’animer le village.

Le projet d’une fête sur le Moyen-Age était dans les tuyaux de la Médiévale depuis un moment. La date de la Pentecôte 2023 a été retenue pour cette manifestation d’une journée qui se déroulera sur plusieurs sites de la commune. Des stands accueilleront des artisans, des spectacles de danse et de combat seront donnés, une initiation au tir à l’arc sera possible, un campement sera organisé. Mais surtout, des saynètes retraceront la vie d’un jeune couple de paysans avec d’abord la rencontre des jeunes gens à la ferme, le mariage sur le parvis de l’église, le travail au lavoir des lavandières avec la légende du Rouge bonnet, la fenaison et le pique-nique qui en marque la fin, le départ à la guerre avec des combats sur l’île, et enfin le retour du mari dans sa famille. Côté restauration, une restauration rapide à midi et un repas médiéval le soir sont prévus.

Les personnes qui souhaitent apporter leur concours peuvent s’adresser à Alain Capella, le président de la Médiévale.

A Vaxoncourt, ils étaient 18 pour le concert qui était donné pour la quatrième fois sur le territoire. Simon Polin, le conseiller artistique de l’orchestre chargé de la programmation se dit " très fier que l’ensemble orchestral Epinal la belle image se développe. " et explique " L’orchestre se produit sous la baguette de jeunes chefs, à tour de rôle. Ce concert met à l’honneur la harpe, chaque fois un ou plusieurs instruments le sont. La harpiste, Lucie Delhaye, est une artiste de renommée internationale qui a commencé ses études de musique à Epinal, Lucie Leguay qui le dirige a également une carrière internationale en plein essor, l’assistance n’a qu’à se laisser guider par les présentations de Lucie Kayas-Maudot. " Il revenait à Pascal Hauller, maire de Vaudéville et vice-président délégué à la culture à la CAE de présenter le programme.

Le concert s’adressait à des non-initiés afin de leur faire découvrir des œuvres majeures du début du XXème siècle. Lucie Kayas-Maudot a présenté les différents morceaux à la première personne, prenant la parole au nom de Monsieur Croche, nom que s’était donné Claude Debussy (1862-1918) pour ses critiques musicales, lié aux trois autres musiciens, ses contemporains qui étaient au programme, Arthur Honegger, Albert Roussel et Maurice Ravel, Gabriel Fauré venant en complément pour le rappel. Elle a aussi présenté les différents instruments mis à l’honneur par des solos des musiciens concernés.
Les spectateurs venus en nombre ont été ravis comme le confie Elisabeth " C’était si beau, on a passé un bel après-midi, je l’ai dit aux musiciens. " Ils n’ont pas été avares d’applaudissements. Les musiciens, quant à eux, aiment " venir à la rencontre du public dans des lieux dont ils ne connaissaient même pas toujours le nom, comme Vaxoncourt. "

Frédéric Dulot, le maire, est satisfait " La culture vient à nous. C’est la première fois qu’un concert de musique classique est donné dans le village, notre église est belle, son acoustique est bonne et le public ne s’y est pas trompé, il est venu en nombre et a pris du plaisir. "

Les établissements recevant du public sont tenus de s’équiper d’un défibrillateur automatisé externe (DAE). Cette obligation est entrée en vigueur le 1er janvier 2020 pour les ERP de catégories 1 et 3, cela concerne l'église communale, le 1er janvier 2021 pour les ERP de catégorie 4, cela concerne le RPIC du Durbion, et le 1er janvier 2022 pour les ERP de catégorie 5 dont la mairie.
Un premier défibrillateur automatisé a été installé à l'arrière de la mairie en 2020 pour l'église et la salle communale. Un second vient d'être installé près de la porte d'entrée du restaurant scolaire. Accessible depuis la cour de l'école, il peut aussi être utilisé pour l'établissement scolaire. Le coût de l'opération s’élève à 1 416 € HT. Ce dernier équipement a fait l'objet d'une subvention de 50 % de la Région au titre de plan de relance rural.

Actuellement organisés par la Région Grand Est, les 2 lignes de transport dit « non urbains » (actuelles lignes Fluo 90 d’Epinal à Charmes et Fluo 77 d’Epinal à La Voge les Bains) et les 85 circuits de transport scolaire sur les 78 communes seront dès Septembre 2022 intégrées à l’offre Imagine sous la dénomination « Imagine, lignes de territoire ». Ces services seront accessibles à tous dans les mêmes conditions que le réseau urbain Imagine : carte à puce Simplicités, rechargement des abonnements en ligne, validation avec carte bancaire etc. et la correspondance avec le réseau urbain sera rendue possible et inclue dans les tarifs. D’ores et déjà, la CAE finance l’accès à toutes les lignes FLUO sur son périmètre au moyen d’un titre à 1 € (valable depuis janvier 2022).

La subvention d’achat de vélos à assistance électrique a été renouvelée pour 2022, chaque année depuis sa création en 2014, près de 1000 vélos sont subventionnés à hauteur de 20% du prix d’achat, plafonné à 200 €. Depuis 2021 sont également éligibles les kits d’électrification installés par un professionnel, les vélos reconditionnés vendus par un professionnel ainsi que les vélos cargo pour lesquels le plafond a été rehaussé à 300€. Ces subventions sont versées chaque année aux habitants d’une immense majorité des 78 communes. Très prisé également sur la plupart des communes le service de location longue durée de vélos à assistance électrique Vilvolt (3 mois renouvelable 3 fois, de 35 à 45€ par mois selon la saison). Environ 90 vélos sont disponibles et l’offre s’est récemment enrichies de vélos cargo pour les familles et les professionnels (même tarif, location au mois). De plus, depuis l’été 2021 Vilvolt libre-service et ses 150 vélos à assistance électrique en libre-service sur 36 stations rencontre un franc succès (près de 7 000 inscrits). Le service est d’ores et déjà implanté à Epinal, Golbey, Chantraine, Thaon les Vosges, Charmes et La Voge les Bains (ouverture 30 mars).

Enfin, la Communauté d’Agglomération soutient le développement du covoiturage depuis Novembre 2021 via l’application Klaxit et verse aux conducteurs 2€par passager et par trajet, pour tout trajet domicile-travail dont le départ ou l’arrivée se situe sur le périmètre de la CAE.

L’ensemble de la stratégie mobilité de la CAE a été arrêtée à travers le Plan de Mobilités adopté le 24 Janvier dernier par le Conseil Communautaire : les communes sont actuellement saisies par la CAE afin de formuler leur avis sur cette stratégie. Dès 2022 les premières actions du Plan de Mobilités seront déployées sur l’ensemble du territoire : tel que l’extension du service « Cap’Imagine » de transport à la demande des personnes handicapées et à mobilité réduite (au tarif du réseau Imagine).

A la demande de Frédéric Dulot vice-président de la CAE chargé de l'animation du secteur, Adrien Laroque, responsable du Service Public de l’Habitat et Roger Alemani, vice-président à la CAE en charge de l'habitat ont développé la thématique de l'habitat devant les élus des quatorze communes du G8.
Le service d’accompagnement à la rénovation a été présenté, il prend le relais de l’Agence Locale de l’Energie et du Climat (ALEC) dissoute au 31 décembre 2021. Ce service, encore situé dans les locaux de l’ALEC, 1 rue du Souvenir à Golbey, élira bientôt domicile à la nouvelle Maison de l’Habitat et du Territoire en cours d’achèvement avenue Dutac à Epinal qui centralisera divers services (CAE, SCOT, Pays d'Epinal). Sa mission est l'accompagnement des particuliers dans le projet de rénovation de leur habitation : conseils neutres, gratuits et indépendants et soutien indispensable pour s’y retrouver dans les méandres des règlementations, aides financières, solutions techniques et toute la partie administrative propres à la rénovation de l’habitat.

En parallèle, le vice-président à l’habitat a présenté les aides spécifiques qui seront offertes aux habitants de la CAE à compter du mois d’avril : aide à l’emploi de matériaux biosourcés et à la rénovation des logements vacants. Pour cette dernière aide, les personnes qui souhaitent rénover un logement vacant depuis au moins deux ans pourront bénéficier d’une aide allant jusqu’à 12 000 € sans condition de ressources, mais à condition que la commune de rattachement de l’habitation participe également au financement.
De quoi motiver les particuliers et les investisseurs pour se tourner vers le parc ancien délaissé plutôt que vers le neuf. C’est en tout cas ce que les élus espèrent afin, à la fois, de limiter la consommation foncière et redonner vie aux centres-bourgs. Dans le secteur, Moriville et Vaxoncourt sont déjà fortement engagées dans la lutte contre l'habitat dégradé.

Il restait à finaliser le chemin de 1,40 mètre de large qui mène au restaurant scolaire, c'est chose faite depuis mercredi. L'entreprise TRB a mis en œuvre environ 18 tonnes d'enrobés pour une soixantaine de mètres. Un travail exécuté avec minutie avec du petit matériel spécifique pour ce type de chantier.

La commune a fait appel aux bonnes volontés, en particulier chez les parents, pour animer les activités périscolaires qui ont repris depuis la rentrée des vacances de février. " Raconte-moi une histoire " est l'activité offerte aux petits et moyens de la classe de Mme Jacquot. Les élèves de plusieurs classes ne pouvant pas être mélangés en raison des contraintes sanitaires, les moyens et grands de la classe de Mme Deruytter ne peuvent y assister.

 C'est Charlène Oliveira, maman de Cassandra élève de petite section qui a bien voulu se charger de cette animation le vendredi après l'école.

Alors que les enfants profitaient des vacances, l’agent communal effectuait quelques travaux dans les locaux scolaires. Pour répondre à la demande des enseignants, Rémi DEMOULIN a effectué différents aménagements, en particulier la pose d’un meuble sous l’évier dans la classe de Delphine JACQUOT ainsi que dans la salle de motricité. Des étagères ont également été installées afin d’y ranger le matériel. 

Né de la volonté de la CAE de promouvoir la musique classique et de la rendre accessible au plus grand nombre, l’Ensemble Orchestral " Épinal la belle image " est un orchestre professionnel constitué de musiciens enseignant au Conservatoire Gautier-d’Épinal ou dans la région. Chaque concert met à l’honneur un ou plusieurs instruments emblématiques.

Avec ses sonorités enchanteresses, la harpe convient tout particulièrement au domaine du rêve et à l’esthétique impressionniste de la musique du début du siècle dernier. Sous les doigts de la superbe harpiste spinalienne Lucie Delhaye, le public aura une excellente occasion de découvrir le riche répertoire dédié à cet instrument et les liens qui l’unissent aux autres arts.

Organisé en partenariat avec la commune, un concert commenté sera donné en l’église de Vaxoncourt le dimanche 27 mars à 15 h, au programme, des œuvres de Claude Debussy, Arthur Honegger, Albert Roussel et Maurice Ravel.

Plein tarif 10 €, groupe (à partir de 10 personnes) 8 €, tarif réduit 5 € et -12 ans gratuit
Billetterie sur place avant le concert.

Pendant deux jours, la salle de la mairie a été ouverte pour recevoir les dons pour les Ukrainiens. Le message relayé par le journal, facebook et Voisins Vigilants et le bouche à oreille a été bien entendu. Les donateurs venus de Vaxoncourt mais aussi d’un plus large secteur ont apporté beaucoup de produits de toilette, de matériel de couchage, de nourriture et de vêtements. Cinq voyages ont été nécessaires pour tout transporter au point de collecte à Thaon les Vosges, ils ont été faits par Frédéric Dulot, Ghyslaine Joubert et Margaux Simon-Joubert. M. et Mme Mansuy de Moriville sont venus, tout comme Côme et Soline venus avec leur mamie porter leur couchage de bébé pour les enfants qui ont froid.

Dans le milieu rural qui est le leur, les élus veulent aller au-devant des personnes en recherche d'un travail, ou de formation ou celles qui ont des projets.

Des moyens sont donnés dans les villes de taille moyenne, mais tous les demandeurs d'emploi n'ont pas la possibilité de se déplacer. L'idée est d'affréter un " bus du recrutement et de la formation " qui conduira les personnes éloignées de l'emploi depuis leur domicile jusqu'à un lieu où elles pourront faire des entretiens individuels confidentiels sans sélection préalable, avec ou sans CV, avec des chefs d'entreprises, des artisans locaux et, le cas échéant, être recrutées directement. Elles pourront découvrir les offres de formation, les dispositifs d'accompagnement, l'alternance ou encore le développement des compétences.
Les élus intéressés par cette action se sont retrouvés à la salle de la mairie où Stéphane Viry, Thierry Poulet et François Cholez leur ont présenté l'opération qui s'adresse à tous les publics y compris handicapé, tous les âges, tous les métiers, toutes les qualifications. Les demandeurs d'emploi de chaque commune sont invités à prendre contact avec le maire. Le député explique " On va aller à leur porte dans les zones rurales, on va les mettre en relation avec les patrons, les artisans qui ne trouvent pas de personnel ", Thierry Poulet souhaite que l'offre et la demande se rejoignent, que les ruraux voient qu'on ne les oublie pas " François Cholez précise être en lien avec les autres organismes et peut servir d'intermédiaire.
L'enjeu est important : développer son réseau, découvrir les entreprises pour les personnes en recherche d'emploi, avoir des personnes motivées, proposer des immersions, accompagner, mettre en lien ceux qui offrent des emplois, qui recherchent du personnel et ceux qui à l'inverse peuvent offrir leurs services, leurs compétences.

Les activités périscolaires avaient été supprimées depuis le début de l'épidémie, elles reprennent doucement.

Durant la période qui va de la rentrée de février jusqu'aux vacances de printemps en avril, un atelier cuisine est organisé pour les enfants de CE2, CM1, CM2.

Martine Jacobé et Anny Morel encadrent les cinq enfants, Enzo, Jules, Léo, Romy et Soline qui se sont inscrits. Pour la première séance, ils ont fait des crêpes, ils en ont mangé une partie ensemble et ont rapporté le reste à la maison, tout contents de régaler les membres de leur famille avec leur cuisine. La semaine suivante, les beignets de carnaval seront à leur menu.

Lundi 21 février jour de la rentrée était le jour où les enfants mangeaient pour la première fois dans le nouveau restaurant scolaire construit à proximité de l’école. Les travaux ont duré plus longtemps que prévu, mais c’est fait, les enfants ne perdront plus de temps en trajet par tous les temps avec le danger que cela représentait pour aller à la cantine.

Les repas sont toujours livrés la veille par Api Restauration par un accès spécifique.
La salle est coupée en deux par une cloison en claustra pour permettre les deux services prévus selon les consignes sanitaires. Les enfants sont répartis par classe par tablée de six. Ceux de maternelle ont été les premiers à découvrir les lieux, passage aux toilettes, lavage des mains installation sur des sièges à leur hauteur avant de manger. Pendant ce temps, les plus grands sont accueillis dans la cour ou dans la salle de motricité pour des activités organisées par les employées communales dont l’emploi du temps et le rôle ont été redéfinis. Ensuite les rôles sont inversés.

Plus de confort, moins de bruit, les enfants sont contents, même si certains ont été déçus puisque, la salle étant équipée d’un écran encastré dans le plafond, ils croyaient pouvoir regarder la télévision en mangeant.

Ils viennent d’Epinal, de Golbey, de Xertigny et d’autres lieux et partagent la même passion, la pêche. Ils ont l’habitude de se retrouver au bord du canal des Vosges. Mais en raison des travaux en cours, ils ont dû chercher ailleurs et sont venus dans un endroit prisé des disciples de Saint-Pierre, le Durbion à Vaxoncourt. Profitant d’une belle journée ensoleillée de février qui leur a permis de partager le repas sur place, quelques copains ont passé une bonne journée à l’aval du pont. Des gardons, brèmes, esturgeons, goujons, ablettes, vairons, perches, hotus qui ont été remis à l’eau aussitôt pêchés ont fait leur bonheur.

Les pêcheurs connaissent bien cet endroit pour venir y prendre des brochets et des truites et l’école de la pêche de Nomexy y amène régulièrement les apprentis-pêcheurs.

Le dernier jour d'école avant les vacances d'hiver était également le dernier jour d'existence pour la cantine dans le bâtiment de la mairie ouverte en 1997 avec cinq enfants. C'était donc la dernière fois qu'on a vu les enfants parcourir la Grand'Rue en deux groupes. 42 enfants étaient inscrits ce jour-là. A la rentrée, le lundi 21 février, le nouveau restaurant scolaire à proximité de l'école sera opérationnel.  " Enfin " diront certains, en particulier les parents qui attendaient ce moment pour inscrire leur enfant.

Dans le cadre du plan de relance rurale déployé par la région " Grand Est ", la commune bénéficie, au titre des communes de moins de 500 habitants, d'une aide financière à hauteur de 50 % sur un programme de travaux d'investissement, cette aide étant toutefois plafonnée à 20 000 €. C'est ainsi que trois anciennes fenêtres viennent d'être remplacées à la sacristie de l'église pour 2 901 € HT(les deux autres l'avaient déjà été) ainsi que la porte d'entrée de l'ancien presbytère loué à une famille pour 1 775 € HT.
Avec cette aide, un défibrillateur extérieur a également été acheté pour le RPIC du Durbion et le nouveau restaurant scolaire pour 1 416 € HT et le remplacement des abat-sons de l'église pour 16 024 € HT est en attente de réalisation.

Cette opération permet également de financer la moitié le coût du diagnostic réalisé à l'église et sur le mur de soutènement de la rue de la Côte.

Ces différents travaux bénéficient aussi d'un fonds de concours de la CAE portant ainsi le montant des aides perçues par la commune à 70 %. De plus, une aide de l'Etat au titre de la DETR a été apportée à la commune pour le remplacement des abat-sons.

Dans la matinée de ce premier vendredi de vacances, pas moins de vingt cigognes ont fait une pause dans les prairies situées derrière des bâtiments du GAEC de la Rouge Côte offrant un spectacle aux automobilistes circulant en direction de Girmont. Ce passage aura-t-il un sens pour la natalité en 2022 dans la commune quand cinq naissances, dont des jumeaux, ont été enregistrées l’an passé.

Dans le respect des contraintes sanitaires, classe par classe, les écoliers ont visité le restaurant scolaire qui entrera en fonction à la rentrée des vacances d’hiver, le lundi 21 février. Ils l’ont vu, et c’est peu dire, il y a du changement : le bâtiment jouxte l’école et l’aire de jeux, les lavabos sont de différentes hauteurs, les toilettes garçons et filles sont séparées, le mobilier est adapté à leur taille. Et la salle de 80 m2 est lumineuse et aux normes acoustiques - ce qu’ils pourront vite apprécier -, mais aussi dotée d’un équipement multimédia (écran qui s’enroule dans le plafond, sono, vidéoprojecteur) ce qui a interpellé un enfant " On aura la télé pour manger ? " Le bâtiment est bien intégré dans le site et rappelle l’école.
Des subventions ont été octroyées : DETR (Etat) 186 857,00 €, Région Grand Est 140 282,00 €, Climaxion 3 312,00 €, Conseil Départemental des Vosges 34 190,00 €(cette aide complémentaire permettra d’atteindre un taux de subvention de 70 %, taux maximum pouvant être atteint). L’assurance " Dommages ouvrage et tous risques chantier " d’un coût de 8 344,72 € TTC n’est pas éligible aux subventions.

Bien sûr, tout est aux normes et fonctionnel, la cuisine est adaptée pour la liaison froide et le réchauffage (les plats sont livrés par Api Restauration la veille au soir avec un accès spécifique) mais également pour cuisiner, la plonge se fait selon la marche en avant (le sale et le propre ne se croisent pas), l’eau froide est produite à partir de panneaux solaires, le chauffage au sol est électrique, des toilettes PMR sont installées.
Cinq employées communales travaillent à la cantine. L’organisation avec deux services va être testée.
Un beau projet initié sous la précédente mandature des deux communes et soutenu par l’Etat se finalise enfin. Les deux maires se montrent satisfaits, en particulier Bernard Morel, celui de Domèvre sur Durbion " Les enfants restent sur le site pour le repas, cela évite aux parents de venir les chercher. "

Subventionnée à 70 %, l'opération menée par les deux communes du RPIC du Durbion, Domèvre sur Durbion et Vaxoncourt a coûté 467 143,01 € HT soit 560 571,61 € T.T.C.

A sa création en 1997, la cantine ne concernait que deux familles et cinq enfants. Cette année, le pic a été atteint avec 51 enfants, plus de 40 enfants y mangent chaque jour sur les 83 enfants scolarisés.

Le "Plan Relance Rural " mis en place par la Région Grand Est pour les communes de moins de 500 habitants a permis au conseil municipal de cibler plusieurs travaux à effectuer sur le patrimoine communal : remplacement des abats-sons et des deux fenêtres des sacristies à l’église ainsi que de la porte d’entrée de l’ancien presbytère de la Grand’rue. Pour ces travaux, la commune bénéficie ainsi d’une aide à hauteur de 50 % de la région " Grand Est ".

Les critères d’éligibilité ont permis également à la commune de réaliser deux diagnostics sur des ouvrages. L’un est fait sur la structure du balcon à l’église sur lequel on remarque une importante fissure, la pose de témoins permettra une surveillance mensuelle de son évolution afin de prévoir, si nécessaire, des travaux de sécurisation.

L’autre concerne le mur de soutènement de la rue de la Côte qui épaule la chaussée de la rue des Petits sabots, il subit des désordres dus aux infiltrations des eaux de pluie et aux poussées de terre. Des témoins avaient déjà été posés, une mesure mensuelle de l’aplomb du mur sur plusieurs mois permettra là aussi de suivre son évolution. Cet ouvrage a déjà fait l’objet d’une expertise en automne dernier par CEREMA dans le cadre du plan de relance " ouvrages d’art " qui a également permis de recenser et vérifier l’état des divers ponts communaux.

Les travaux du restaurant scolaire auront duré plus d'un an avec des réunions de chantier hebdomadaires. Semaine après semaine, à cause du contexte sanitaire, des délais d'approvisionnement rallongés pour les entreprises, des ouvriers atteints par la Covid ou encore des intempéries, la date initiale de mise en fonction (septembre 2021) a été reportée. La réception des travaux intérieurs a eu lieu ce vendredi, pour les abords extérieurs, ce sera plus tard.

Les conseillers municipaux et les délégués de parents d'élèves ont déjà eu l'occasion de visiter les locaux. Le prestataire, Api restauration, a visité le site pour voir comment se passera la livraison. Impatients de découvrir les lieux, les enfants, quant à eux, traverseront la cour mardi, classe par classe, pour faire connaissance avec l'espace.

Les enfants de Domèvre sur Durbion et Vaxoncourt seront accueillis dans les meilleures conditions à la rentrée des vacances d'hiver. Une nouvelle organisation avec deux services sera mise en place.

Suite à la participation à la grève de deux enseignants du RPIC du Durbion jeudi, les communes de Domèvre sur Durbion et Vaxoncourt ont mis en place un système d'accueil pour leurs élèves. Ainsi, six élèves ont été accueillis en deux groupes afin de respecter le protocole sanitaire. Marie-José Lemercier, ATSEM et Corinne Pierron stagiaire ont accueilli les enfants d'une classe ainsi que Claire Lambert et Océane Pupier, employées communales pour l'autre classe. Elles ont organisé des activités adaptées aux enfants : bricolage, activités motrices, comptines, chansons, jeu de mémoire, devinettes, contes... Les enfants ne se sont pas ennuyés.

Les services périscolaires, garderie et cantine ont fonctionné normalement.

A l’issue de l’assemblée générale, le trophée du challenge « Jean-Paul Valentin » a été remis à Guillaume Valentin. Créé suite au décès, en janvier 2020, de Jean-Paul Valentin qui fut président de l’association pendant une dizaine d’années, le challenge récompense l’amicaliste qui a pêché le plus gros brochet. L’an dernier, Sébastien Fayolle était le premier récompensé avec un brochet de 104 cm pris en octobre 2020. Il a transmis le trophée à Guillaume Valentin pour une belle prise de 100 cm sortie de l’eau en octobre dernier. Pêcheur expérimenté, Guillaume avait déjà fait des envieux avec deux brochets de 80 et 82 cm le jour de l’ouverture aux carnassiers.

Habitué du site des étangs communaux « Jean-Paul Valentin », Guillaume fait honneur à son père, Jean-Paul Valentin.

C’est dans le respect des gestes barrières que l’Amicale des pêcheurs de Vaxoncourt a tenu son assemblée générale. Michel Fayolle, le président, a mené la réunion.

Le trésorier, Philippe Leromain, annonce avec satisfaction que trente-six cartes ont été vendues, une progression de quatre cartes. Mais la Moselle traversant les étangs, les pêcheurs doivent posséder également la carte fédérale qu’ils peuvent trouver dans les magasins de pêche du secteur. Des cartes à la journée sont également vendues à 5 €. Les dames qui pêchent avec leur mari pêchent gratuitement si elles possèdent la carte découverte féminines. La décision est prise de renouveler les cartes chaque année, elles comporteront le règlement.

Les pêcheurs viennent de Girmont, Igney, Châtel, Thaon ou de plus loin, Grandvillers, Mirecourt ou Gérardmer. Ils disent apprécier le site, le calme qui y règne, à l’entrée du site, des panneaux indiquent le règlement et les numéros de téléphone à joindre.

De nombreuses pièces ont été sorties de l’eau au cours de l’année : plusieurs brochets de 80 - 90 cm, un de 100 cm par Guillaume Valentin ce qui lui a permis de prendre la première place du challenge Jean-Paul Valentin et un de 102 cm pour un pêcheur qui avait pris une carte à la journée.

Si la pêche est ouverte toute l’année, celle aux carnassiers ne le sera que le premier samedi de juin et il n’y aura pas d’alevinage, mais il y en eu un l’an passé. Il sera fait appel aux pêcheurs pour l’opération habituelle de nettoyage du site.

Toute embarcation est interdite, même pour l’essayer, argument donné parfois. Certains des bribeurs qui ont été surpris ont fini par prendre une carte pour pouvoir pêcher légalement.
Une discussion s’est engagée au moment de programmer des manifestations en 2022. La Covid a changé le calendrier habituel, le repas sous chapiteau estival avec cochon grillé qui remportait toujours un grand succès n’a plus lieu. Différentes pistes sont évoquées pour créer de l’animation sur le site, le sujet est à suivre avec Sébastien Fayolle.

On peut trouver les cartes auprès de Michel Fayolle, le président, joignable au 06 11 40 29 30, Sébastien Fayolle au 06 16 36 75 49, Maxime Fayolle au 07 81 31 34 61 ou Jean-Claude Mougeot au 06 77 37 16 52. Le prix est maintenu à 40 €.

Le Regroupement Pédagogique Intercommunal Concentré, RPIC, du Durbion accueille deux stagiaires en maternelle.
Corinne Pierron est originaire de Nomexy et habite à Vincey. Après vingt années de travail à Nomexy dans l’entreprise Innothera, elle a envie de changer de métier. Depuis quelques mois, elle prépare le CAP Petite enfance, alors, tout en suivant des cours au CNED, elle effectue des stages, le premier s’est déroulé à la crèche de Thaon les Vosges, le deuxième à l’école de Vincey et le troisième, actuellement à Vaxoncourt. Elle ne regrette pas " Ces stages qui durent un mois à chaque fois m’apportent beaucoup, c’est toujours une belle expérience qui me conforte dans mon envie de changement. "

Marine Jacquey est une jeune fille du village, elle effectue son stage de classe de troisième durant trois jours à l’école. Elle n’a pas encore d’idée précise de la profession qu’elle souhaite exercer, mais elle a toujours aimé les activités avec les enfants précise-t-elle.

Souhaitons à l’une et à l’autre que ces moments passés en situation avec les enfants leur permettent de trouver leur voie.

On voit que la période des fêtes est derrière nous. Actuellement, Rémi Démoulin démonte les décorations de Noël et, comme pour leur installation, le démontage des guirlandes se fait en partenariat avec la commune de Golbey.