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Bernard Morel et Frédéric Dulot respectivement maire de Domèvre sur Durbion et Vaxoncourt, les deux communes du RPIC du Durbion - regroupement pédagogique intercommunal concentré - ont invité leurs conseillers municipaux et les délégués de parents d'élèves à une visite de la nouvelle cantine alors que les travaux subventionnés à hauteur de 70 % se terminent. Les locaux sont lumineux, fonctionnels d'une belle hauteur et aux normes acoustiques, sanitaires avec lavabos et toilettes PMR (accessibles depuis la cour également), thermiques avec économie d'énergie et sur le plan hygiène avec zones propre et sale. Munie d'un écran encastré dans le plafond et de brise-soleil, la salle qu'il sera possible de cloisonner pourra être utilisée également comme salle de projection pour les activités scolaires ou périscolaires. Les travaux de construction du nouveau bâtiment ont pris du retard à cause de la Covid et à l'absence de personnel, également à cause aux difficultés d'approvisionnement des entreprises, mais les enfants pourront prendre possession des lieux avant la fin du mois. Fini de parcourir les rues pour se rendre jusqu'à la mairie avec la fatigue des allers retours, les conditions météorologiques et l'insécurité, ils n'auront plus qu'à traverser la cour. A sa création en 1997, la cantine aménagée dans le couloir de l'ancienne classe du bâtiment-mairie (salle polyvalente actuelle) n'accueillait que six ou sept enfants, à l'heure actuelle, elle en accueille environ cinquante chaque jour et ils devraient être plus nombreux dans les nouveaux locaux puisque plusieurs parents hésitaient à inscrire leurs enfants à cause des trajets. Le gain de temps sera de plus de 30 mn ce qui permet d'envisager d'organiser deux services sous la responsabilité de Betty Le Banner.
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Le "Plan Relance Rural " mis en place par la Région Grand Est pour les communes de moins de 500 habitants a permis au conseil municipal de cibler plusieurs travaux à effectuer sur le patrimoine communal : remplacement des abats-sons et des deux fenêtres des sacristies à l’église ainsi que de la porte d’entrée de l’ancien presbytère de la Grand’rue. Pour ces travaux, la commune bénéficie ainsi d’une aide à hauteur de 50 % de la région " Grand Est ". Les critères d’éligibilité ont permis également à la commune de réaliser deux diagnostics sur des ouvrages. L’un est fait sur la structure du balcon à l’église sur lequel on remarque une importante fissure, la pose de témoins permettra une surveillance mensuelle de son évolution afin de prévoir, si nécessaire, des travaux de sécurisation. L’autre concerne le mur de soutènement de la rue de la Côte qui épaule la chaussée de la rue des Petits sabots, il subit des désordres dus aux infiltrations des eaux de pluie et aux poussées de terre. Des témoins avaient déjà été posés, une mesure mensuelle de l’aplomb du mur sur plusieurs mois permettra là aussi de suivre son évolution. Cet ouvrage a déjà fait l’objet d’une expertise en automne dernier par CEREMA dans le cadre du plan de relance " ouvrages d’art " qui a également permis de recenser et vérifier l’état des divers ponts communaux.
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Lucie Bataille, conseillère municipale, a créé un jeu qui a été distribué aux personnes de plus de 65 ans avec le repas offert par le CCAS le dimanche 5 décembre. Offert " faute de repas en commun, une petite distraction ", il s'agissait d'un rallye-photos : 31 photos demandant plus ou moins de recherches étaient à situer à l'aide des lieux pécisés sur la carte du village fournie. Plusieurs personnes ont rendu le jeu en mairie avec quelques fautes ou manques, mais Martine Forterre a tout retrouvé et a été la première à rapporter son bulletin dans le temps imparti.
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Chaque année, par l’intermédiaire du Centre
communal d’action sociale, le doyen et à la
doyenne du village reçoivent un cadeau. D’abord
donné à l’occasion des fêtes de fin d’année, il
l’est maintenant au moment de leur anniversaire.
Pour 2021, Frédéric Dulot avait offert un
bouquet de fleurs à la doyenne, Mme Suzanne
Jacquot, née en avril et il vient de remettre un
panier garni de bonnes choses de circonstance en
ce moment de l’année à M. André Keltz né en
décembre.
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Depuis 2015, le canton de Châtel sur Moselle a
été supprimé, les 23 communes qui le composaient
ont intégré le canton de Bruyères pour
certaines, ou, pour les autres, celui de Charmes
ou celui de Golbey. Mais l'amicale qui
réunissait les maires et adjoints du canton de
Châtel sur Moselle existe toujours. Comptant une
cinquantaine de membres à l'heure actuelle, elle
a été conservée afin de MAINTENIR les liens
entre les élus (ex et nouveaux maires et
adjoints) avec un apect convivial, ainsi un
repas et une sortie étaient organisés chaque
année. Mais, en cette période de crise
sanitaire, les élus n'ont pas pu encore se
retrouver depuis leur sortie-croisière à
Besançon avec visite de la Citadelle en
septembre 2019.
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C’est dans le respect des gestes barrières que
Valéry Duchaine, adjoint au maire, a procédé à
la distribution des lots de bois de chauffage.
Sept affouagistes se sont inscrits en mairie
cette année, ce chiffre est stable par rapport à
l’an passé. Les lots d’une dizaine de stères
sont à faire dans la parcelle 15, dans le ban
forestier de " Les Fourches ". Des arrhes de
50 € ont été demandées lors de la délivrance des
lots, elles viendront en déduction de la facture
éditée après le cubage, le prix du stère ayant
été fixé à 10 € TTC. Pour répondre à la demande des affouagistes, un second lot pourra leur être attribué quand ils auront terminé le premier.
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Après une année sans, le marché de Saint-Nicolas était de retour ce dimanche à la salle de la mairie. Sur les stands des deux associations locales - le club de couture de Châtel dont la responsable répondait sur place aux demandes avec sa machine à broder et le Secours Catholique de Nomexy - et des particuliers de la commune ou du secteur, le choix était vaste et il était facile de trouver son bonheur pour, en particulier, décorer sa maison à l’occasion des fêtes de Noël. On voyait que, après avoir avoir fait contrôler leur pass sanitaire, les gens étaient heureux de se retrouver.
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Juste avant les vacances, dans l’attente du père Noël, la conteuse Roseline Voix est venue à la rencontre des plus jeunes élèves du RPIC du Durbion. Confortablement installés sur des tapis, ils ont écouté avec intérêt les histoires se rapportant aux saisons qu’elle leur racontait. Ils l’ont accompagnée avec beaucoup d’entrain dans les comptines qui entrecoupaient les histoires qu’elle tirait de son panier à histoires, histoires d’animaux, histoires d’amitié, histoires de Noël. Comme c’était rigolo de partir à la chasse à l’ours et de montrer qu’on n’avait pas peur.
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La
crise sanitaire a obligé les membres du Centre
communal d'action sociale à prendre certaines
décisions à contre cœur. Frédéric Dulot explique la position du CCAS " Je sais que beaucoup de nos aînés attendent cette journée conviviale traditionnelle mais la situation actuelle ne nous permet pas de maintenir le repas convivial habituel où tout le monde se retrouverait dans une salle trop petite. Mais il est important de conserver un lien social, le portage à domicile avec possibilité de repas supplémentaires me semble un bon compromis, il permet à ceux qui ont des difficultés à cuisiner ou qui ne veulent pas être seuls ce jour-là d'inviter leur famille ou leurs amis. Lucie Bataille a créé un jeu pour, peut-être, prolonger la rencontre. L'an dernier, c'était une grille de mots croisés sur le village, cette année, c'est un rallye-photos, avec 31 photos plus ou moins faciles à identifier, toujours sur le village. On ne connaît pas l'avenir, mais le conseil municipal a décidé la rénovation du bâtiment-mairie qui débutera en 2022, nos aînés pourront y être accuis dans de meilleures conditions pour ce repas traditionnel quand la situation sanitaire l'autorisera. "
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Dans le cadre de sa délégation de service public, Véolia contrôle chaque année tous les poteaux incendie du village (pression et débit). Cela permet de s'assurer de la conformité de la défense incendie, le coût est à la charge de la collectivité. Les travaux réalisés depuis quelques années ont amélioré la situation puisque des canalisations ont déjà été renouvelées dans plusieurs rues par le Syndicat des eaux de la région de Nomexy puis par la Communauté d'Agglomération d'Epinal. Des poteaux ont déjà été changés rue la Moselle, rue du Moulin et rue du Pont, celui de la rue de la Côte a été supprimé, un accès ayant été aménagé au Durbion, deux nouveaux ont été posés sur la route de Châtel. Le dernier contrôle a montré que celui près de l'école était défaillant, la municipalité a pris la décision de le remplacer pour un coût de 2 378,69 € H.T., malgré la présence d'une citerne-incendie derrière l'ancien presbytère. Ces travaux ne bénéficient pas de subvention, aussi la commune a demandé un fonds de concours à la CAE à un taux de 70 %.
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Si beaucoup d'habitations sont illuminées, la commune elle aussi donne des airs de fête aux rues. Depuis plusieurs années, elle bénéficie de l'assistance des services techniques de la ville de Golbey qui met à disposition un agent et un camion-nacelle pour installer sur les candélabres les décorations lumineuses que l'agent communal, Rémi Demoulin, a préparées. Stéphane Michel a coordonné ce travail avec celui d'une équipe constituée de conseillers municipaux anciens ou actuels, lui-même, Valérie son épouse, Gilles Colardé et Valéry Duchaine. D'autres décors lumineux ou au sol ont été installés d'un bout à l'autre du village, en particulier au Trial, devant l'école, la mairie et l'église.
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Durant toute la semaine, l'entreprise Bonini a travaillé sur le pont de la RD10F qui enjambe le Durbion. Ils ont remplacé les rambardes provisoires bleues par les garde-corps définitifs : après avoir posé les 88 éléments, ils ont fixé environ 400 boulons et ont procédé ensuite pendant plusieurs jours aux réglages, phase qui prend le plus de temps. L'entreprise de Vincey a effectué tout le chantier, du début à la fin, seules la galvanisation et la peinture ont été faites ailleurs.
Rappelons que les travaux, réalisés en concertation avec la commune, sont pris en charge par le Conseil Départemental dans le cadre de sa politique de maintien en état de son patrimoine routier.
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Frédéric Dulot a envoyé un courrier aux parents des nouveaux élèves de 6ème " La municipalité, en partenariat avec le Conseil Départemental des Vosges, offre depuis plusieurs années aux collégiens qui font leur entrée au collège un brassard fluorescent. En le portant, vos enfants pourront être mieux vus des automobilistes, diminuant ainsi le risque d’être renversés. La sécurité sur le chemin de l’école est l’affaire de tous ! " Les neuf jeunes concernés étaient invités à venir retirer l’objet en mairie un samedi matin. Seuls deux d’entre eux sont venus le jour convenu… Mais il n’est pas trop tard, les autres peuvent encore venir le retirer.
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Durant la dernière année scolaire, les quatre classes de l’école auraient dû participer à une sortie au Planétarium d’Epinal, mais en raison du contexte sanitaire, l’animation a été annulée et reportée à cette année, cependant, seuls les élèves de Anne-Françoise Kopp et ceux de Sébastien Haschar, donc les CP, CE1, CE2, CM1 et CM2, ont pu vivre cette journée, ce fut en novembre.
Ils ont d’abord visionné un film " La terre, le
soleil et la lune ", puis ils se sont répartis
en ateliers. Par deux, les plus jeunes ont
travaillé sur le magnétisme et l’électricité et
ont fabriqué des petits circuits électriques
tandis que les plus grands ont travaillé sur
l’espace ce qui a abouti à la fabrication d’une
fusée en papier. Ils ont pu faire un concours
entre eux, à savoir laquelle irait le plus haut,
même les plus sceptiques ont constaté que toutes
se sont envolées. Maintenant, ils peuvent
renouveler l’expérience à l’école puisque le
matériel de lancement et toutes les fusées ont
été rapportés à l’issue de la journée.
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A l’invitation de Frédéric Dulot, de nombreux habitants ont repris le chemin du monument aux morts pour la cérémonie de commémoration de l’Armistice du 11 novembre 1918. Durant le confinement, ils avaient seulement pu suivre la cérémonie sur les réseaux sociaux grâce à Grégory Gillard, conseiller municipal. Cette année, Stéphane Michel, autre conseiller municipal, a installé une lanterne rappelant la flamme du souvenir et un décor bleu, blanc, rouge. Le maire a lu la lettre de la ministre déléguée aux Anciens combattants avant un dépôt de fleurs au pied du monument. Le nom des morts de Vaxoncourt durant la première guerre mondiale et celui des militaires morts pour la France en 2020 et 2021 lors d’opérations extérieures a été cité. Une délégation de gendarmes et des anciens sapeurs-pompiers du village étaient présents également.
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A l'initiative du Centre Communal d'Action Sociale et afin de recréer du lien social dans le village, Pierre Bouaziz, un habitant de la rue du Faubourg organise des rencontres conviviales dans la salle de la mairie autour d'activités partagées telles que jeux de société, jeux de cartes avec goûter à la fin de chaque séance. La première a eu lieu le jeudi 4 novembre. Les joueurs se sont affrontés à la belote et au Scrabble, mais d'autres jeux étaient à disposition. Il était prévu des rencontres mensuelles, mais pour répondre aux souhaits des participants, les séances seront bimensuelles, la prochaine aura donc lieu le jeudi 18 novembre. De même, les horaires sont changés, elles se dérouleront de 14 h 30 à 17 h 30. Les personnes de l’extérieur sont bien sûr les bienvenues.
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A Vaxoncourt comme dans beaucoup de communes, les enfants se sont retrouvés pendant les vacances pour fêter « Halloween ». Par petits groupes déguisés et grimés comme il se devait, petits et grands accompagnés d’adultes ont parcouru le village demandant des bonbons aux habitants sous peine de mauvais sort. Les Vaxoncurtiens ont joué le jeu, la récolte a été fructeuse.
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L'habitude avait été prise de partager un moment convivial à l'occasion de la sortie du Beaujolais nouveau. Cette année encore, en raison des conditions sanitaires il n'y aura pas de manifestation en l'honneur des mains vertes, la taille de la salle de la mairie ne permet pas d'accueillir tant de personnes. Les habitants qui ont été distingués suite au passage du jury (Valéry Duchaine, Nathalie Boulay et Ghyslaine Joubert) dans les rues du village au mois d'août ont reçu un cyclamen à leur domicile des mains de Frédéric Dulot, Valéry Duchaine ou Stéphane Michel.
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Dans le cadre de la mise en compatibilité avec le SCoT (Schéma de Cohérence Territoriale), la commune doit procéder à la modification de son Plan local d'urbanisme édifié en septembre 2012. Il a fait l’objet d’une modification simplifiée qui a été approuvée en septembre 2016. Trois réunions publiques ont été organisées en amont de la procédure en 2019. Elles étaient destinées à expliquer la procédure et l’évolution réglementaire, recueillir les avis des habitants sur les règlements de zonages actuellement appliqués et répondre à leurs questions. La procédure a fait l'objet d'une délibération en septembre 2020 et plusieurs réunions ont permis aux élus de travailler avec le bureau d'études « Initiative aménagement et développement » de Vesoul. Les personnes publiques associées (PPA) ont été concertées (CAE, SCoT, DDT, Chambre d'agriculture). Le projet de modification prévoit une évolution des zonages : le déclassement d'une zone 1AU à urbaniser de plus d'un hectare en zone 2AU qui devient non ouverte à l'urbanisme, une évolution des espaces réservés, des modifications des règlements des différentes zones… Avant la consultation officielle des PPA, Frédéric Dulot a souhaité organiser trois réunions de présentation, non obligatoires dans cette procédure, pour que les habitants puissent prendre connaissance du projet, une douzaine de personnes seulement ont participé à ces rencontres. Elles ont pu constater que les remarques qu'ils avaient formulées ont été étudiées et souvent prises en compte, comme la surface des annexes qui a doublé passant ainsi de 20 m2 à 40, la surface des piscines qui passe également à 40 m2, la fixation réglementaire de la distance entre deux annexes, la possibilité de mettre des tuiles de couleur anthracite en zone UB... A ce stade, il s’agit d’un projet de modification qui doit encore recevoir l’avis des diverses PPA. Il sera ensuite soumis à enquête publique dans quelques semaines avant d’être définitivement approuvé et être opposable à tous.
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Le paysage a déjà changé dans le secteur de la
mairie. La SARL Bernardi, une entreprise
familiale thaonnaise dans laquelle travaillent
le père et ses trois fils, a démonté le hangar
qui deviendra une partie du parking (avec un
ancien jardin contigu) idéalement situé en plein
centre du village, à proximité de la mairie et
de l'église. Les matériaux ont été triés au fur
et à mesure de la démolition, les matériaux durs
seront concassés par les soins de l'entreprise à
son dépôt, les autres ont été acheminés en
déchetterie.
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La Médiévale a tenu son assemblée générale au siège de l’association, au 50 place de la mairie à Vaxoncourt en présence de Frédéric Dulot et d’Olivier Clément trésorier de l’association du Vieux Châtel qui a remercié La Médiévale pour sa participation aux évènements organisés sur le site. La Covid a bien sûr perturbé la vie de l’association comme l’a souligné Alain Capella, le président " La conjoncture de ces deux années ne nous a pas permis de nous voir beaucoup, nous avons quand même pu faire quelques petites choses qui n’ont pas renfloué nos finances mais nous ont donné l’occasion de nous réunir et de nous entraîner. " Il a souligné la bonne entente avec l’association du Vieux Châtel qui permet de participer aux manifestations organisées sur le site de la forteresse et a permis une nouvelle activité, le tir à l’arc. Il a motivé ses troupes : " Il faut savoir donner pour mieux recevoir. Si l’on peut avancer, ce sera bien sûr tous ensemble et c’est grâce à tous que nous pouvons faire quelque chose. On a besoin les uns des autres pour avancer. " Présentés par la trésorière Yannick Argency, les comptes sont positifs, ils sont approuvés à l’unanimité. Le bureau est réélu : Alain Capella président, Yannick Argency trésorière, Chantal Bellavista secrétaire et Marie-Louise Scubla responsable communication. Les recherches pour la fabrication d’un drakkar continuent, l’organisation d’une fête médiévale sur la commune de Vaxoncourt est envisagée pour 2023. L’établissement d’un calendrier pour les entraînements (danse, combats, tir à l’arc), et les repas est souhaitable pour plus de visibilité sur l’année. Pour finir, le calendrier des festivités 2022 a été établi : Fête Médiévale à Châtel les 5 et 6 Juin, participation aux 50 ans de l’Association du vieux Châtel et à des défilés de la saint-Nicolas, repas trimestriels sur le site de la forteresse à partir d’avril pour 30 à 40 personnes, ateliers cuir, bijoux, campement…
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Avec un groupe d’élus dont les trois conseillers délégués (David Bourquin adjoint au maire de La Chapelle aux Bois, Thierry Gaillot maire de Vincey, Didier Mathis ex-responsable du syndicat des eaux de l’Avière), Frédéric Dulot vice-président chargé de l’eau potable et de l’assainissement à la CAE a été invité par Suez pour découvrir les équipements du système d’assainissement. Après une présentation générale sur Suez région Nord Est, le groupe s’est vu présenter le fonctionnement d’ouvrages majeurs du réseau de collecte des eaux usées. C’est notamment le poste de refoulement qui à l’aide de pompes permet de relever et transférer sous pression les eaux usées, ou le déversoir d’orage dont le rôle est de sécuriser le réseau lors des fortes pluies d’orage. Ensuite, le groupe d’élus a visité le point de convergence du réseau de collecte des eaux usées : la station de traitement des eaux. L’installation présentée aux élus était une technologie nommée « traitement par boues activées ». Les différentes phases du processus de traitement des effluents ont été expliquées aux élus : les prétraitements, la file eau et la file boue. L’ensemble de ces phases permettent d’obtenir une eau limpide débarrassée des pollutions carbonées, azotées et phosphorées qui ont été captées par des bactéries. L’eau est restituée au milieu naturel tandis que les bactéries chargées en pollution sont extraites. Elles sont " essorées " par des filtres presses pour les rendre les plus sèches possible afin d’être stockées et transportées par camion vers un site de compostage ou d’incinération.
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Installé sur le parking de la Grand’Rue, Gigipizza propose ses pizzas le vendredi tous les quinze jours. Le food truck acheté à Toulon sera à nouveau là le 22 octobre, de 18 h à 21 h, avec possibilité de passer commande dès 16 h. Après avoir vendu leur boulangerie de Charmes, Gilbert (d’où Gigipizza) et Céline Viry ont totalement changé de profession. Mais trois fois par semaine, ils ont cette activité complémentaire qui leur permet de rester un peu dans le domaine de la restauration. Leur venue est appréciée dans le village et au-delà.
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Dans le cadre du Plan Relance, l'Etat propose aux communes d'effectuer un recensement gratuit de leurs ouvrages d'art en participant au programme de recensement et de reconnaissance des ponts et des murs de soutènement du réseau communal. Il a affecté 40 millions d'€ à ce programme qui est coordonné à l'échelle nationale par le CEREMA (ancien laboratoire de l'Equipement, à Nancy), organisme public en charge de l'expertise des infrastructures de transport. Dans la Région Grand Est, 35 % des communes, dont Vaxoncourt, ayant répondu favorablement présentent les critères de sélection. Pour mener à bien cette mission, le CERMA mobilise, à travers des accords-cadres nationaux, des bureaux d’études privés. Parmi les quatre bureaux d’études retenus pour la région " Grand Est ", c'est l'organisme Ginger qui est d'intervenu dans la commune. Sur le domaine public, quatre ponts et un mur sont concernés. M. Bengougam et Mme Abidi de Ginger ont réalisé toutes les investigations nécessaires en présence de MM. Benouiazza et Neiers de Cerema. Les ouvrages ont été recensés. Il s'agissait de les localiser, évaluer leur état et alerter le maire en cas de danger immédiat. Ce diagnostic nécessite plus d'une heure de travail par ouvrage. Pour chacun d'eux, un " carnet de santé " sera transmis à la commune. Dans un second temps, en cas de besoin, des études complémentaires pourront être menées au cas par cas et des préconisations de travaux pourront alors être données à la commune. Les techniciens adresseront leur rapport à la commune, Frédéric Dulot se dit satisfait d'avoir pu bénéficier de l'étude lancée par l'Etat.
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Frédéric Dulot est en charge de l'assainissement et de l'eau potable à la Communauté d'agglomération d'Epinal. A ce titre, l’Agence Lorraine de Suez lui a proposé de faire visiter plusieurs infrastructures aux élus des communes dont le service de l’eau potable lui est confié.
Après une présentation générale sur Suez région
Nord Est, le groupe dont deux conseillers
délégués, David Bourquin adjoint au maire de La
Chapelle aux Bois et Thierry Gaillot maire de
Vincey, a découvert les équipements du système
de production d’eau potable : captage de
sources, puits, stations de production. Frédéric Dulot explique l'initiative de Suez " Les élus ont vu comment cela fonctionne, ils ont été sensibilisés aux difficultés qu'ils peuvent rencontrer et ils ont maintenant une meilleure approche des structures de ressource en eau. Les échanges avec les techniciens ont permis de se rendre compte du travail et de la technicité à mettre en œuvre au quotidien pour offrir à chaque usager de l’eau potable de qualité à tout moment et partout. "
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A l'initiative de Emilie Didierjean adjointe au maire de Zincourt, déléguée du secteur au Pays d'Epinal) et Frédéric Dulot, Sylvain Michel, son directeur, ont présenté la structure aux élus (maires et adjoints) du G8 (communes issues de l'ex-communauté de la Moyenne Moselle auxquelles se sont jointes d'autres communes du secteur).
Le PETR propose des interventions qui se
structurent principalement en trois volets : les
services aux populations (animation du réseau
France Service, ateliers sur les usages
numériques…), l'aménagement et la promotion du
territoire (animation des démarches Pays d’Art
et d’Histoire (PAH), Plan Alimentaire
Territorial (PAT), la politique vélo (circuits
VTT…) et l'ingénierie aux communes (recherche de
financement et aide au montage de dossiers),
suivi de dispositifs comme LEADER (fonds
européens…).
Chaque commune a été informée des fonds de
concours disponibles pour les travaux qu'elle
réalise et de l'existence du Contrat territorial
d'éducation artistique et culturelle (CTEAC), un
programme d'actions d’éducation et de
sensibilisation aux arts et à la culture pour
favoriser l’émancipation artistique et
culturelle, coordonner le développement
d’actions artistiques, culturelles, éducatives
et scolaires.
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Une seconde phase de sondages a eu lieu où sera créé le parking au centre du village et où sera construite l'extension du bâtiment-mairie. Après les premiers essais réalisés pour voir la perméabilité du sol, la société de Ludres " Fondasol " a fait des essais pressio-métriques à plusieurs endroits et à trois profondeurs différentes pour éprouver, cette fois, la résistance du sol au poids. Ceux effectués à l'arrière de la mairie permettront de déterminer les fondations du bâtiment qui y sera construit.
La démolition du hangar en bois est prévue pour
les prochains jours. Les travaux de maçonnerie
visant à assurer l'étanchéité du mur de la ferme
laissé "nu" (crépis) suivront. La construction
du parking et celle de l'extension auront lieu
l'année prochaine. La consultation des
entreprises est prévue d'ici quelques semaines.
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Heureusement, les propriétaires des deux vignes de la Poirouse, Michel Antoine de Vaxoncourt et les frères Vauthier de Moyemont, avaient pris leurs précautions en posant des filets sur les rangées de ceps, sinon les oiseaux auraient fait beaucoup de dégâts dans les grappes de raisin.
Un samedi matin, la famille et les amis de
Michel et Ghyslaine Antoine se sont retrouvés
sous le soleil pour couper les grappes et
remplir les seaux puis la cuve, elles donneront
un vin qui sera bu dans le cercle restreint de
la famille et des amis. La cueillette s’est
clôturée, comme toujours, par un repas
convivial.
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La reprise a sonné pour les acteurs. La
Compagnie des Joli(e) s Mômes reprend pour la
troisième année son atelier-théâtre
intergénérationnel à la salle de la mairie.
Mardi, quatorze
enfants et adolescents ont fait connaissance
avec un nouvel intervenant, Jeni Gueusquin.
Parmi eux, certains sont des " anciens ", mais
beaucoup sont des nouveaux : Savannah, Lisa,
Mathilde, Océane, Jules, Enzo et Nolann. Ils
viennent de Vaxoncourt, mais aussi de Domèvre
sur Durbion, de Dogneville ou encore de Nomexy. Renseignements : contact@compagniedesjoliesmomes.fr ou tél. 06 88 47 89 29.
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En raison du contexte sanitaire, le traditionnel repas du Plus bel âge offert en novembre aux habitants à partir de 65 ans par le CCAS n’a pas eu lieu en 2020. Mais avec la campagne de vaccination et la diminution des risques sanitaires, les membres du CCAS ont décidé de livrer à eux qui le souhaitaient un repas préparé par " Cuisine d’un jour " le traiteur de Pouxeux. Il était possible de prendre des repas supplémentaires moyennant une participation financière, ce qui leur a permis de partager ce repas en famille ou entre amis, 95 ont été livrés dont 28 supplémentaires. Cette formule a été proposée le jour de la fête patronale, le deuxième dimanche de mai qui célèbre Jeanne d’Arc. Pour accompagner le repas, Lucie Bataille, conseillère municipale et membre du CCAS a proposé une grille de mots croisés de sa création sur le village. Deux personnes, Marie-Claire Boulanger et Pierrette Fairise, ont rendu leur grille avec 20 définitions trouvées sur les 27 à identifier. Récemment, Lucie Bataille s’est rendue à leur domicile dans le respect des consignes sanitaires et leur a offert, au nom de la commune, un magnifique bouquet de fleurs, un petit geste qu’elles ont apprécié.
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Frédéric Dulot, Ghyslaine Joubert et Jean-Luc Weber pour les mairies de Vaxoncourt et Domèvre sur Durbion ont assisté à la dernière réunion de chantier à la cantine avec l'architecte Joël Raze de Vosges architecture et les entreprises concernées. Elle a permis de faire le point en ce temps de rentrée. Les trois élus ont choisi les carrelages "sols et murs" qui seront posés par l'entreprise Europ'Revêtement de Dounoux. Pendant les vacances, la toiture a été posée par l'entreprise MAZZUCCO de Detord et les travaux d'étancheité ont été assurés par l'entreprise VANNSON de Le Thillot, les portes et fenêtres ont été posées par l'entreprise Claude. L'entreprise Accorsi d'Épinal fait actuellement tous les travaux de plâtrerie et isolation. Il a été également question des abords avec l'entreprise Valdenaire des Forges qui a fait les terrassements et est chargée des aménagements extérieurs, et des accès aux bâtiments.
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Ils ont quitté le CM2 et un environnement
familier en juillet pour entrer, en septembre,
au collège. Avant la Covid, les futurs 6èmes
pouvaient passer une journée au collège Louis
Pergaud à Châtel au cours de leur année de CM2.
Mais cette année, ils n’ont pu visiter leur
futur lieu de vie que d’une manière virtuelle.
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Les enfants de Vaxoncourt et Domèvre sur Durbion ont été contents de se retrouver à l'école et de revoir leurs enseignants. Les règles sanitaires étant toujours de circonstance, ils ont vite repris les bons gestes. Pour beaucoup d'entre eux, la cantine fait partie de la journée scolaire. Jeudi, jour de rentrée, ils étaient 33 et vendredi, ils étaient 46 à manger ensemble. Pour la semaine prochaine, en cumulé, ce sont 167 enfants qui sont inscrits (entre 37 et 46). Comme l'an passé, les trajets jusqu'à la salle de la mairie se font en deux temps, d'abord les élèves de maternelle, puis ceux du CP jusqu'aux CM2, les enfants sont accompagnés par Marie-José Lemercier et selon les jours, par Coraline Lamboley, Océane Pupier et Claire Lambert alors que Betty Le Banner a la responsabilité du service cantine. Les nouveaux locaux devraient entrer en fonction à la rentrée de janvier.
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Le RPIC du Durbion a répondu à un appel à projet pour un socle numérique dans les écoles élémentaires. Ce plan de relance lui a permis d'acquérir différents matériels et équipements informatiques, notamment un tableau numérique interactif d'un coût global de 10 638 € TTC mais aussi des portables pour les enseignants et un ordinateur pour le bureau de la direction. Le montant de l'aide octroyée par le Ministère de l'Education Nationale, de la Jeunesse et des Sports s'élève à 7 350 €. Le plan prévoit également l'accès à des ressources numériques pour les enseignants. L'école est bien pourvue en équipement informatique : en 2012, elle avait été dotée d'un jeu de dix ordinateurs portables, en 2017, le regroupement pédagogique intercommunal de Domèvre sur Durbion et Vaxoncourt l'avait équipée de deux classes mobiles soit deux jeux de quinze tablettes. En outre, depuis plusieurs années déjà, deux salles de classes sont munies de vidéo-projecteurs. Les enseignants sont, bien sûr, satisfaits des investissements réalisés par les deux communes pendant les vacances. De plus, depuis quelques jours, l'école bénéficie de la fibre.
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Monique Ferry, Muriel Fransot, l’une signe " MF ", l’autre " FM ", et Renée Verfaillie ont exposé quelques-unes de leurs œuvres à la salle de la mairie. Au nom des trois, Monique livre ses impressions " Nous remercions Frédéric Dulot qui a proposé de faire cette exposition pour développer la culture en milieu rural, la mairie a mis gracieusement la salle à notre disposition, tout était bien organisé. Nous avons essayé de montrer notre culture artistique, de faire découvrir notre travail mais aussi d’éveiller la curiosité. Nous avons exposé trois techniques, trois recherches totalement différentes : l’aquarelle avec les paysages pour Renée, l’acrylique avec le temps qui passe pour Muriel et l’acrylique, le pastel avec le visage sous toutes ses formes pour moi. C’est une expérience positive. "
Frédéric Dulot, quant à lui, se déclare satisfait, d’autant plus que voilà de longs mois que rien n’avait été organisé dans le village.
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Frédéric Dulot a réuni les enseignants et le personnel communal affecté à l'école à la veille de la rentrée des élèves. Il s'est félicité de la stabilité de l'équipe enseignante : Delphine Jacquot, la directrice, effectue sa 16ème rentrée, Anne-Françoise Kopp et Laetitia Derruyter leur 9ème et Sébastien Haschar sa 5ème. Une nouvelle enseignante, Cécile Hauviller, sera présente le lundi et le jeudi au titre de la " brigade d'intervention ruralité ". Marie-José Lemercier effectue sa 32ème rentrée, elle assure la garderie du matin et du soir à Domèvre sur Durbion, accompagne les élèves de Domèvre dans le bus et assiste Delphine Jacquot dans la classe maternelle. Après le départ en retraite de Martine Jacobé, c'est Betty le Banner qui a en charge la garderie du matin et la cantine. Coraline Lambolley est là pour sa seconde rentrée. Deux nouvelles venues, Océane Pupier qui vient de Charmes et Claire Lambert qui vient d'Ortoncourt complètent l'effectif de l'équipe affectée à l'école. Agents polyvalents, elles travaillent 21 heures par semaine, elles sont chargées de la cantine, du ménage, de la garderie et assistent les enseignantes.
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La commune a acquis un terrain à proximité de la
mairie et de l'église pour y aménager un
parking. Cette réalisation sera la bienvenue
dans un endroit, au centre du village, où les
places de stationnement sont insuffisantes.
En même temps, par souci d'économie, l'entreprise a procédé à des sondages pour l'extension du bâtiment-mairie à l'arrière de celui-ci. Pour ces deux dossiers, la commune bénéficie de l'aide appréciable de la CAE dans le cadre de l'assistance à maîtrise d'ouvrage.
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Monique Ferry, résidant dans la village et
Muriel Fransot demeurant à Gircourt les Viéville
sont amies depuis qu’elles se sont rencontrées à
l’association " Arts à Tantimont " à Hergugney
qui développe l’art sous toutes ses formes en
milieu rural. C’est là que l’artiste Wafa les a
initiées à différentes techniques. " Chacune de
nous a évolué dans son travail, mais nous sommes
complémentaires et nous avons déjà réalisé
ensemble plusieurs fresques que ce soit dans des
lieux publics ou privés. " disent-elles en
chœur.
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Les travaux sur le pont ont repris le lundi 16 août après une interruption due aux congés de l’entreprise Bonini, des feux tricolores règlent la circulation. Dans le souci de préserver le patrimoine, les voûtes ont été conservées et elles font actuellement l’objet d’un traitement, aspect et joints, de la part de l’entreprise. Le puits a été rehaussé et la sculpture de cheval qui avait été extraite avec soin au-dessus de l’arche du canal de la boutonnerie a été encastrée, au même endroit qu’auparavant. La circulation sera à nouveau interdite du lundi 23 au vendredi 27 inclus, le temps de la mise en œuvre des enrobés. Il ne manquera plus que les garde-corps qui sont actuellement en cours de fabrication et devraient être installés en fin d’année. On ne vivra bientôt plus au rythme des travaux sur le pont et des désagréments qu’ils ont engendrés.
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Composé de Ghyslaine Joubert, adjointe au maire, Nathalie Boulay, conseillère municipale, et Valéry Duchaine, adjoint au patrimoine et à l'environnement, et emmené par ce dernier, le jury des maisons fleuries a parcouru les rues du village à la recherche des maisons fleuries. L'été 2021 a été morose, plutôt tristounet à cause de la Covid et de la météo. Les pluies ont profité aux forêts et à la nature en général, mais pas à notre moral ! Les fleurs apportent de la gaieté et participent au mieux-être. Cette année, le pont n'a pas pu être fleuri à cause des travaux.
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Les plus anciens habitants en ont gardé le
souvenir, il existait un point d'eau sur une
petite parcelle communale entre la Boutonnerie
et le pont sur le Durbion. Il était alimenté par
les eaux qui venaient des hauteurs, sur la
roche, une canalisation traversait la RD 10 F
pour le relier à un puits situé dans une
propriété privée, en bas de la rue « Sur la
roche ». On allait encore y puiser de l'eau dans
les années 50. La volonté de la municipalité est de lui redonner de la visibilité pour garder l'histoire du village. Malheureusement, il semble plus compliqué de lui rendre son eau.
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Durant l'année scolaire qui vient de se terminer, 44 enfants, en moyenne, ont fréquenté la cantine chaque jour. Lorsque le projet de rénovation de la cantine a vu le jour, la question de son emplacement s'est posée : la laisser dans la salle de la mairie où elle a été aménagée en 1997 avec les déplacements que ça implique ou en construire une nouvelle à proximité de l'école. Les services de l'Etat ont soutenu la seconde option.
L'ancienne salle de classe avait alors été
transformée en salle de restauration et le
vestiaire en cuisine. Depuis longtemps, on n'y a
fait que des travaux d'entretien. Mais à l'heure
actuelle, il s'avère que la salle est
énergivore, le système de chauffage et
l'isolation ne sont plus performants, les
huisseries sont à remplacer. De plus, le
bâtiment n'est pas aux normes que ce soit pour
les personnes à mobilité réduite, l'électricité
ou l'incendie. Le projet prévoit la réhabilitation du bâtiment : isolation du sol et des murs par l'intérieur pour préserver son cachet, remplacement des huisseries, du système de chauffage électricité et gaz par une chaudière à granulés. Le rez de chaussée sera réaménagé avec extension à l'arrière. Ainsi des sanitaires seront créés et la cuisine sera déplacée ce qui apportera une vingtaine de m2 de plus à la salle. Dans l'extension, une salle sera dédiée aux activités culturelles avec un réseau de lecture, un espace informatique, de nouveaux services seront ainsi offerts aux habitants. Le projet est estimé à 515 000 € et bénéficie déjà de subventions : Etat (DETR, dotation d'équipement des territoires ruraux, et DSIL, dotation de solidarité à l'investissement local), Région et Département (subvention exceptionnelle pour le mobilier et divers équipements). Suite à un appel d'offres, le cabinet Vosges Architecture a été retenu. Joël Raze, architecte, a présenté le projet aux élus. Le permis de construire est déposé.
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Les travaux sur le pont sont interrompus du lundi 2 août au vendredi 13 août, la circulation est de nouveau possible sous alternat par feux tricolores depuis ce vendredi 30 juillet à 17 h. Chacun appréciera de pouvoir reprendre son itinéraire habituel après trois mois de fermeture.
Les travaux de finition de chaussée et de
trottoir avec mise en œuvre d’enrobés se
dérouleront la semaine du 23 au 27 août mais à
nouveau en route barrée. L’ouvrage sera rendu à
la circulation pour la rentrée scolaire. Les travaux sont financés par le Conseil Départemental dans le cadre de sa politique de maintien en état de son patrimoine routier. Les collectes des ordures ménagères et des sacs de tri restent inchangées pour ces prochaines semaines, tant que les enrobés ne sont pas mis en œuvre. Les bacs de collecte collective installés provisoirement restent disponibles aux mêmes endroits.
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Initié en 2011, le projet de restauration du Durbion (37 km pour le Durbion et 51 km pour ses affluents) a fait l’objet d’une réunion en mairie animée par Viviane Claudel de la Communauté de communes Bruyères-Vallons des Vosges (CCB2V) chargée de mission environnement, en charge du projet de restauration du Durbion. Y ont participé Frédéric Dulot et des conseillers municipaux, Michel Balay président de la Fédération de pêche 88 et Yohan Vatageot Technicien GEMAPI (Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations) à la CAE. Le programme est coordonné par la CCB2V sur l’ensemble du bassin-versant grâce à un groupement de commande avec la CAE. Le premier objectif de l'opération est d’améliorer l’état écologique, non satisfaisant à cause de l’assainissement dans certaines communes, du mauvais état des berges, des curages passés dans le fond du lit. La disparition des zones humides riveraines du cours d’eau, les remembrements agricoles (fréquents drainages) sont également en cause.
La première tranche a porté sur le Durbion, de
Méménil jusqu'à la limite entre Villoncourt et
Bayecourt. Le projet a été arrêté le temps d'une
étude faune-flore, permettant d'adapter les
travaux à la présence de plusieurs espèces
protégées. Des inventaires complémentaires des
espèces protégées sont en cours. Ont été évoqués également les canaux de la Boutonnerie et des Pâquis, la passerelle des puits de captage, le ruisseau des Etangs et le site de confluence avec la Moselle.
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La passerelle mise en place par l’entreprise Bonini au printemps pour permettre de relier les deux parties du village avec un passage piétonnier d’une rive à l’autre du Durbion pendant les travaux de réhabilitation du pont a été emportée par les eaux. L’entreprise a toutefois rétabli le passage pour piétons sur le pont.
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Frédéric Dulot avait invité la Communauté
d’Agglomération d’Epinal à présenter Présentation particulière du réseau de lecture publique. Composé à son origine en 2009 des bibliothèques d’Epinal et Golbey puis s’est étendu aux bibliothèques de Thaon les Vosges, Deyvillers, Bains les Bains (elle-même tête de réseau de bibliothèques municipales du Val de Vôge). A ce jour, le territoire dispose de 33 bibliothèques municipales. Intercommunales ou communales, elles sont informatisées et mises en réseau pour celles qui le souhaitent grâce à un logiciel mis à disposition par la CAE.
Pour le territoire, l'abonnement est de 11,60 €
par an, gratuit jusqu’à 14 ans. Avec trois
passages par semaine, une navette permet de
réserver des livres d’une autre bibliothèque du
réseau.
La CAE souhaite élaborer un projet de
développement culturel équilibré à l’échelle du
territoire avec notamment des projets et des
actions " hors les murs ". Inscrite dans un
Contrat Territorial d’Education Artistique et
Culturelle, elle travaille à la construction Déjà, la compagnie des joli(e)s mômes anime des ateliers et propose des spectacles en milieu rural. Durant la saison 2021-2022, l’ensemble orchestral " La belle image " donnera deux concerts dans le secteur du G8, à Nomexy et Vaxoncourt.
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L’année a été encore perturbée pour les élèves du RPIC du Durbion. Sébastien Haschar l’enseignant des plus grands le confie " La vie s’est encore une fois un peu arrêtée. Certes, c’est mieux que l’an dernier puisque les enfants sont venus en classe, mais les masques ont encore compliqué les choses. Comme les années passées, les CM2 ont reçu un livre de fables dans le cadre de l’opération " 1 livre pour les vacances ", ils n’ont toujours pas pu se rendre dans leur futur collège, nous avons seulement pu faire une visite virtuelle des locaux. Heureusement, la sortie de fin d’année a pu avoir lieu, toute l’école a participé à une sortie à " l’eaudici " aux Voivres, nous y avons passé une bonne journée avec de nombreuses activités. " Quinze CM2 quittent l’école. Treize nouveaux sont inscrits : 11 en petite section, un en grande section et enfin un en CE2.
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Chaque semaine, la Compagnie des joli(e) s mômes anime un atelier théâtre destiné aux enfants, aux adolescents et aux adultes venus de divers lieux. L’an dernier, les participants préparaient un spectacle pour la fin de l’année, les séances se sont arrêtées à cause de la Covid, bien avant la date prévue. Cette année, la saison n’a repris qu’au printemps, toujours dans le respect des consignes sanitaires, et uniquement pour les enfants et les adolescents.
Avec leur intervenante Romane Kraemer, ils ont
préparé leur spectacle, leur " Cabaret Zinzin ".
Ils ont repris et adapté leur travail précédent
afin d’intégrer les nouveaux arrivants et
pallier l’absence des adultes. Ils ont laissé
parler leur imagination sur " Zinzin " une
chanson de Hugues Lebars. Quelques séances ont
permis de mettre bout à bout leurs idées pour
créer une suite de saynètes, sans fil
conducteur. Les artistes en herbe ont joué deux fois, la première devant un public inconnu, à Frizon, où ils ont rencontré un autre atelier qui a travaillé sur la même musique, la seconde sous le préau de l’école, devant leur public. Sherlanka, Ameline, Julia, Eden, Antoine, Jana, Julie, Thomas ont montré quelques scènes familières, toutes reliées entre elles par la musique " se mettre d’accord pour la télé, poser des questions à maman quand elle n’a pas le temps, rêver, discuter entre copines, assister à un spectacle… ". Le meilleur spectateur était assurément Louis, un petit garçon de 4 ans, qui après avoir beaucoup applaudi sa grande sœur s’est écrié " J’espère que ça va recommencer ! ". Comme lui, le public a été conquis et la soirée s’est poursuivie avec des gâteaux.
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Martine Jacobé qui a décidé de faire valoir ses droits à la retraite en cette fin d'année scolaire s'était préparée à vivre une journée remplie d'émotion. Des cadeaux lui ont été offerts par les enseignants et ses collègues sur ses lieux de travail. En fin d'après-midi, une réception avait été préparée pour elle par les municipalités de Domèvre sur Durbion et Vaxoncourt. Les parents avaient été invités à les accompagner pour lui exprimer leur reconnaissance pour toutes les années qu'elle a passées au service des enfants et des familles que ce soit à la garderie ou à la cantine. La " cérémonie " s'est déroulée dans la cour de l'école dans le respect des règles sanitaires. Sa gentillesse, sa disponibilité, son professionnalisme ont été salués par les deux maires. La toute nouvelle retraitée a reçu des fleurs des mains de Bernard Morel et Frédéric Dulot et de nombreux cadeaux de la part des enfants et leurs parents.
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Julien Rousseau a un peu plus de 18 ans. Il a voté pour la première fois de sa vie lors des élections départementales et régionales. Enfant du village, il a exercé avec fierté son devoir civique. Nous ne pouvons que l’encourager pour sa future vie de citoyen.
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L’association " Les amis de l’école " est une association de parents. Elle a pour but d’organiser des actions en faveur des élèves du RPIC du Durbion. Le bureau de l’association est constitué de Margaux Simon - Joubert, présidente, Aurélie Jacobé trésorière et Lucie Bataille secrétaire. Durant ces deux années de pandémie, l’association n’a pas pu organiser les mercredis récréatifs, la chasse aux œufs, la baby-bourse et surtout le vide-greniers. Des paniers garnis ont tout de fois été vendus. La Covid n’a toutefois pas empêché l’association d’œuvrer au profit des enfants et les classes continuent à profiter de l’aide de l’association (financièrement de la sortie de fin d’année sur le site de l’Eaudici aux Voivres et achat d’une calculatrice aux quinze CM2). Des dons sont fait à chaque classe en concertation avec les enseignants. Tous les élèves profitent donc toujours de l’aide de l’association. Les nouvelles adhésions sont les bienvenues…
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Une première prédalle a été posée puis sa dalle a été coulée ces dernières semaines sur la partie droite du bâtiment de la cantine c'est à dire la partie technique (cuisine et sanitaires). La même chose vient de se faire sur la seconde partie, la partie restauration. Les dalles du sol sont coulées également. Les entreprises vont se succéder pendant les vacances, leur planning est établi. Le projet de construction du bâtiment à vocation principale de cantine scolaire a été découpé en quinze lots. Après les terrassements - VRD et le gros-oeuvre déjà réalisés, il reste les lots bardage, étanchéité, menuiserie extérieures et serrurerie, plâtrerie-isolation et faux plafond, électricité, plomberie et sanitaire, revêtements de sol, peinture, les trois derniers concernant le mobilier et le matériel de la cuisine. Les entreprises qui ont été retenues sont pour la plupart vosgiennes et en tout cas lorraines.
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En cette période un peu compliquée, la commune n'a pas pu communiquer comme elle l'aurait souhaité sur le projet de construction d'un bâtiment à vocation principale de cantine scolaire à proximité de l'école. Les travaux ont débuté en ce début d'année et lors de la dernière réunion de la commission scolaire, il a été décidé d'exposer les plans et des photos prises montrant l'évolution du chantier. Ils sont visibles, en accès libre, dans le couloir de la mairie lors des heures d'ouverture de la mairie, du lundi au vendredi de 8 h 30 à 11 h, le vendredi de 14 h à 16 h et lors de la permanence du maire, le samedi de 9 h à 11h. Frédéric Dulot peut donner des explications et répondre aux questions. Le projet est porté par les communes de Vaxoncourt et Domèvre sur Durbion puisque le RPIC du Durbion accueille les enfants de ces deux communes. Il a reçu des subventions du Conseil départemental, du Conseil régional et de l'Etat et bénéficie de l'assistance technique de la CAE.
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Cette année, le sentier du canal de la Boutonnerie a été nettoyé en deux fois. D’abord, Rémi Démoulin, l’employé communal en poste actuellement et Duncan qui terminait son deuxième stage à la commune ont commencé le travail puis Michel Balay, président de l’Entente halieutique de la Moyenne Moselle, et deux stagiaires ont terminé le nettoyage du site qui, maintenant, est rendu aux promeneurs.
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Ce jeudi, le village était concerné par les championnats de France de cyclisme, les coureurs hommes sont passés sur la route de Châtel venant de Girmont via Pallegney et se dirigeant vers Châtel. Ainsi, la circulation était interdite autour de Vaxoncourt de 12 h 30 à 18 h. Des Vaxoncurtiens n’ont pas manqué de venir applaudir les coureurs de l’épreuve contre la montre au niveau du Trial au la sécurité était assurée par deux bénévoles venus de Girecourt sur Durbion. Accompagnés de leur maîtresse Laetitia Deruytter et de Betty Le Banner, les élèves de Grande Section et CP ont encouragé les coureurs. Certains ont été impressionnés par le nombre de policiers, mais ils n’ont pas été avares d’encouragements. Au retour, un arrêt à la fontaine dans la côte leur a permis de faire une pause à l’ombre et de remplir leur gourde car il faisait bien chaud. Au niveau du RPIC, les communes de Domèvre sur Durbion et Vaxoncourt ont dû prendre des dispositions pour la cantine et le transport du soir. Avec l’impossibilité de se rendre à l’école l’après-midi pour les élèves de Domèvre qui ne mangent pas à la cantine et les difficultés pour ceux résidant " route de Châtel " du fait de la fermeture du pont, la cantine a été annulée et il a été proposé aux enfants d’apporter un pique-nique. De même, ne pouvant être assuré à 16 h 30, le service de transport pour le retour à Domèvre a été différé à 18 h 30. Seul le site de Vaxoncourt a accueilli les enfants à la garderie du soir. La garderie du temps de midi et celle du soir ne seront pas facturées aux parents.
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Michel Fayolle, président de l’Amicale des pêcheurs locale, a appris à pêcher à ses deux fils Maxime et Sébastien. Le samedi 5 juin, jour de l’ouverture aux carnassiers aux étangs Jean-Paul Valentin, Maxime a eu le plaisir de faire un beau doublé en sortant deux belles pièces de l’eau, en effet il a pêché deux brochets, l’un de 80 cm et l’autre de 82 cm tandis que les autres pêcheurs, ils étaient une quinzaine, n’ont pris que des poissons qui n’avaient pas la taille réglementaire ! Les deux brochets ont été remis à l’eau, l’espoir de les retrouver au bout de sa ligne peut être partagé par tous les pêcheurs.
Pour avoir le droit de pêcher dans les étangs de
Vaxoncourt, un pêcheur doit posséder deux
cartes : la carte piscicole de la Fédération de
pêche des Vosges puisque la Moselle traverse les
étangs et la carte de pêche de l’amicale (40 €
pour les adultes, 10 € pour les mineurs, 5 €
pour une journée, gratuite pour les épouses qui
pêchent en même temps que leur mari). On peut
rencontrer autour des étangs ou joindre par
téléphone les quatre personnes qui vendent les
cartes. Ce sont Michel Fayolle au
06 11 40 29 30, Maxime Fayolle au
07 81 31 34 61, Sébastien Fayolle au
06 16 36 75 43, Philippe Leromain au
06 23 78 65 75.
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En moins d’une semaine, des cigognes ont été aperçues à deux reprises autour du village. Elles étaient plus de quinze à faire une escale derrière la cantine et le Gaec de la Tour parmi des aigrettes et des hérons puis, moins nombreuses, on les a vues derrière le Gaec de la Côte rouge. Un spectacle qu’on apprécie toujours autant à chaque fois.
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Les beaux jours sont là, les plantations sont faites, l’herbe pousse, le travail ne manque pas dans la commune. En l’absence de l’employé communal, les élus - dans un premier temps, Frédéric Dulot, Pascaline Cholley, Valéry Duchaine, Grégory Gillard, Ghyslaine Joubert et Stéphane Michel - se mobilisent, les uns pour tondre, les autres pour arroser les fleurs, sortir les poubelles ou nettoyer le cimetière, d’autres prendront aussi leur part de travail. Mais le maire précise un point de l’Info Mairie de juin " Le règlement sanitaire départemental précise que les propriétaires et occupants d’immeubles sont tenus dans le cadre de leurs obligations respectives d’un entretien satisfaisant des bâtiments et de leurs abords. Les habitants sont invités à participer à l’effort collectif d’entretien des rues en maintenant leur partie de trottoir et de caniveau en bon état de propreté, sur toute la largeur, au droit de la façade et en limite de propriété. Merci à toutes celles et tous ceux qui participent déjà à l’embellissement et à la valorisation de notre village. " A chacun de suivre son invitation pour le bien-être de tous, Vaxoncurtiens et gens de passage…
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La pêche aux carnassiers est ouverte
officiellement depuis le 27 avril. Mais elle ne
sera ouverte à l’étang Jean-Paul Valentin qu’à
partir de ce samedi 5 juin, car le bureau de
l’Amicale des pêcheurs a choisi de décaler la
date de quelques semaines pour préserver le
temps de fraie des sandres et des brochets.
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Après une longue interruption due à la Covid 19,
Jana, Jelia, Améline, Julia, Sherlanka, Thomas,
Eden et Antoine se retrouvent à nouveau autour
de Romane Kraemer, l’intervenante de la
Compagnie des joli(e) s mômes. Le plaisir est à
nouveau là pour ces jeunes acteurs qui viennent
de Vaxoncourt mais aussi de Nomexy, Domèvre sur
Durbion ou encore Dogneville. Les adultes quant
à eux n’ont pas encore repris leurs rencontres. Trois ateliers se déroulent dans trois lieux différents, un à Frizon, un autre à Bains les Bains et le troisième à Vaxoncourt. Chacun d’eux prépare un spectacle " Cabaret Zinzin " qui sera constitué de plusieurs courtes scènes évoquées par une musique imposée. Les jeunes ont appris leur texte par petits bouts depuis l’an dernier, ils le complètent avec des idées nouvelles. Ils se produiront deux fois, l’une devant leur public, les personnes qui leur sont familières, et l’autre dans un second lieu avec un public qu’ils ne connaissent pas, ils pourront voir ce que les autres ont fait sur la même musique qu’eux.
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Le chantier du pont avance bien. Les réunions de chantier sont hebdomadaires. Le mauvais temps n'a pas empêché l'entreprise Bonini de continuer son travail, le béton de propreté a pu être effectué au bon moment, ainsi les voûtes ont toujours été au sec. Et maintenant que le soleil est revenu, le travail avance bien. En moyenne, quatre personnes travaillent chaque jour, au fur et à mesure de l'avancée du chantier et selon les besoins, l'équipe peut être renforcée. On peut avoir une idée du futur, on voit déjà à quoi ressemblera la nouvelle chaussée avec ses 5 m de large et ses trottoirs sécurisés, l'un de 1,20 m et l'autre de 0,80 m. On se rend compte des élargissements, de l'ouverture des entrées et sorties. Le miroir n'aura plus lieu d'être, un lampadaire sera posé à sa place pour supprimer un trou noir. Nombreux sont ceux qui viennent voir l'évolution des travaux. On peut rappeler que la passerelle installée pour relier les deux rives du Durbion et les deux parties du village dès le début du chantier est une passerelle piétonne. Et pourtant des jeunes à scooter sont tentés de l'emprunter ! De plus, chaque soir, une pelleteuse empêche l'accès sur le pont.
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Samedi, Bernard Morel, Frédéric Dulot et Ghyslaine Joubert pour les deux communes du RPIC, Delphine Jacquot directrice de l'école du Durbion et enseignante dans la classe maternelle et Marie-José Lemercier, ATSEM (agent territorial spécialisé des écoles maternelles) ont accueilli les enfants qui vont rentrer en Petite section en septembre prochain avec leurs parents. La formule plaît, toutes les familles répondent à l'invitation. A l'heure actuelle, onze enfants sont inscrits. Deux autres élèves, plus grands, arriveront aussi à l'école.
Les élus se sont adressés aux parents pour leur
présenter le fonctionnement de l'école, les
locaux et les services périscolaires (cantine et
garderie du matin et du soir) tandis que les
enfants ont fait connaissance avec leur future
maîtresse et Marie-José qui ont su les mettre à
l'aise.
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Un mercredi, donc en absence des enfants dans la cour, une grue de 60 tonnes, c'est à dire capable de porter jusque 60 tonnes, a mis en place des pré-dalles sur la zone technique (cuisine, sanitaires) de la cantine, elles serviront d'assise pour la dalle en béton. Le conducteur de la grue de l'entreprise Rollot a effectué de nombreuses manipulations délicates, la première consistant à franchir les portes et pénétrer dans la cour pour s'approcher au plus près du bâtiment. Compte-tenu des travaux actuels sur le pont, la grue a dû être acheminée par la route de Girmont. Les automobilistes circulant en sens inverse ont été stoppés et invités à attendre l'arrivée de l'engin sur le chantier avant de pouvoir emprunter cette voie. Une seconde intervention est prévue dans les prochains jours pour la pose de la dalle en béton. La partie restauration sera couverte plus tard.
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Les beaux jours sont là, les plantations sont faites, l'herbe pousse, le travail ne manque pas dans la commune. En l'absence de l'employé communal, les élus - dans un premier temps, Frédéric Dulot, Pascaline Cholley, Valéry Duchaine, Grégory Gillard, Ghyslaine Joubert et Stéphane Michel - se mobilisent, les uns pour tondre, les autres pour arroser les fleurs, sortir les poubelles ou nettoyer le cimetière, d'autres prendront aussi leur part de travail.
Mais le maire précise un point précis dans
l'Info Mairie de juin " Le règlement sanitaire
départemental précise que les propriétaires et
occupants d’immeubles sont tenus dans le cadre
de leurs obligations respectives d’un entretien
satisfaisant des bâtiments et de leurs abords.
Les habitants sont invités à participer à
l’effort collectif d’entretien des rues en
maintenant leur partie de trottoir et de
caniveau en bon état de propreté, sur toute la
largeur, au droit de la façade et en limite de
propriété. Merci à toutes celles et tous ceux
qui participent déjà à l’embellissement et à la
valorisation de notre village. "
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Le Plan Local d’Urbanisme a été approuvé en 2012 et modifié une première fois en 2016. Afin de le rendre compatible avec le SCOT des Vosges Centrales, le conseil municipal a décidé d’engager une seconde modification le 25 septembre 2020. Le bureau d’étude " Initiative, Aménagement et Développement " de Vesoul a été retenu pour accompagner la commune dans la procédure. Une enquête publique précédera l’approbation finale du document qui entrera alors en vigueur et sera opposable à tous. Une réunion de cadrage a été organisée en présence des partenaires publics associés (SCOT des Vosges Centrales, Direction Départementale des Territoires et Chambre d’Agriculture des Vosges). Chacun a rappelé les éléments à prendre en compte dans la procédure de modification qui prévoit notamment le déclassement des zones U ou 1AU situées en extension en zones 2AU bloquées à l’urbanisme.
Plusieurs séances de travail ont ensuite été organisées avec les élus en présence du bureau d’étude. Elles ont permis de recenser les dents creuses (espaces non construits entre des parcelles construites), les maisons vacantes (immeubles inoccupées depuis 2 ans), les logements vacants récupérés depuis 2016, les projets d’urbanisme en cours (permis de construire et certificat d’urbanisme délivrés).
Le travail sur l’évolution du plan de zonage se poursuit. Si certaines parcelles seront déclassées, celles situées dans la partie urbanisée (enveloppe urbaine) seront préservées pour accueillir quelques constructions dans les années à venir afin de maintenir la population en accueillant de nouvelles familles.
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Quelques conseillers se sont retrouvés autour de Valéry Duchaine, l'adjoint chargé de l'environnement pour planter les fleurs dans les massifs et les vasques disséminés dans le village. Après avoir préparé la terre la semaine dernière, Jean Claude Bas, était là pour assurer les premiers arrosages. Au fil du temps, en raison des longues périodes de sécheresse estivale, le choix des variétés de fleurs a évolué, les vivaces sont de plus en plus privilégiées, ce qui conduit à des économies. Les jardinières seront mises en place un peu plus tard. Elles seront moins nombreuses car le pont est encore en travaux pour des semaines et l'an prochain, il faudra innover puisqu'il n'aura plus le même aspect.
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Le maire est responsable de la défense incendie dans sa commune. Tous les ans, Veolia contrôle le débit et la pression de tous les poteaux incendie. Ils sont au nombre de onze. Cette vérification annuelle permet aux sapeurs-pompiers de connaître la capacité de chacun d'eux. Le renouvellement d’une partie du réseau a permis d’améliorer nettement la capacité de chacun d’eux.
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Ce dimanche 9 mai, des membres du Centre communal d’action sociale sont venus à la rencontre des aînés de la commune, mais bien sûr dans le respect des règles sanitaires. En effet, faute d’avoir pu organiser le traditionnel " repas du plus bel âge " en novembre dernier à cause de la Covid, le CCAS a décidé d’offrir un repas aux habitants ayant 65 ans révolus en ce deuxième dimanche de mai, date de la fête patronale puis, plus récemment, du vide-greniers. Deux tournées simultanées avaient été organisées pour couvrir le village. Chacune au volant d’un véhicule réfrigéré, deux personnes de " Cuisine d’un jour " le traiteur de Pouxeux ont accompagné Lucie Bataille, Nathalie Boulay, Marielle Marulier, Grégory Gillard et Frédéric Dulot au domicile des aînés qui leur ont tous réservé un accueil chaleureux. 67 des 89 des habitants concernés avaient commandé un repas, mais 95 repas ont été livrés, la formule choisie par le CCAS ayant permis de prendre plus de repas pour se retrouver en famille ou entre amis. Pour l’occasion, Lucie Bataille a imaginé une grille de mots croisés relatifs au village, chacun en a reçu un exemplaire, de quoi s’occuper pour terminer la journée. Le CCAS ayant décidé depuis plusieurs années d’offrir un cadeau au doyen et à la doyenne de la commune au moment de leur anniversaire, Frédéric Dulot a saisi cette occasion pour donner un bouquet de fleurs à Suzanne Jacquot, la doyenne, qui vient de fêter son anniversaire.
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Dans le cadre de l'aménagement du centre-bourg et de la lutte contre l'habitat dégradé, la commune a eu l'opportunité d'acquérir deux parcelles d'environ 600 m2 proches de la mairie et de l'église. L'ancien jardin et le vieux hangar en bois deviendront un parking d'une quinzaine de places dont une réservée aux personnes à mobilité réduite. Il sera aménagé dans le respect du patrimoine et de l'environnement, l’espace de stationnement comportera des pavés enherbés pour permettre l'infiltration des eaux de pluie et des espaces verts, les luminaires seront munis d'ampoules à led. La voie centrale avec un double accès dont l’un débouchant sur la rue des Petits Sabots permettra d’améliorer la desserte de cette impasse. Ce projet d'aménagement du centre du village répond donc à un réel besoin. La commune a été accompagnée par le service « Assistance à maîtrise d'ouvrage » de la Communauté d'agglomération d'Epinal dans la conception du projet, l'élaboration de l'avant-projet et le chiffrage des travaux qui sont nécessaires pour établir les dossiers de demandes de subvention. Le coût des travaux est estimé à 160 000 € H.T. L'Etat, au titre de la DETR (dotation d'équipement des territoires ruraux), la région " Grand-Est ", le Conseil départemental des Vosges apportent leur soutien financier et la commune peut également aspirer à une aide de l'Agence de l'eau dans le cadre de la gestion intégrée des eaux de pluie. Pour prétendre au versement de l’aide du Conseil départemental, le montant global des aides ne doit pas excéder 70 % du coût des travaux H.T. La maîtrise d'œuvre est confiée à IDP Consult de Nancy. La démolition du hangar va faire prochainement l’objet d’une consultation des entreprises. Par ailleurs, une étude de sol va être menée. Elle sera étendue à la partie arrière de la mairie attenante au futur parking et concernée par le projet d'extension et de réhabilitation du rez-de-chaussée du bâtiment.
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Du 17 au 20 juin, en partenariat avec la CAE, le Département des Vosges et la région Grand Est, Epinal accueillera les championnats de France de cyclisme sur route où s'affronteront plus de 600 compétiteurs hommes et femmes, l'élite du cyclisme national.
Le jeudi 17 juin, Vaxoncourt est concerné par
l'épreuve contre la montre qui partira de la
Rotonde à Thaon les Vosges, à 13 h pour les
femmes et 14 h pour les hommes, l'arrivée étant
à Epinal. Marc Muhar de la ville d'Epinal et Jean Claude CLAUDEL, bénévole, ex-Président de la Ligue régionale de cyclisme ont rencontré Frédéric Dulot pour présenter la manifestation ainsi que sur les moyens humains et matériels qui seront déployés sur la commune pour garantir la sécurité de tous (participants, automobilistes et public). L'évènement profitera d'une couverture médiatique très importante puisqu'il sera couvert par plus de 100 journalistes et sera retransmis sur la chaîne Eurosport. C'est pourquoi la municipalité prépare une présentation du village qui sera diffusée par la télévision lors du passage des coureurs sur notre territoire. A l’initiative des panneaux qui relatent l’histoire de la commune, Christiane Vermeulen a été sollicitée. La mairie donnera plus tard des informations aux habitants pour qu'ils puissent profiter de cet évènement. Enfin une manifestation dans le village...
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L'entreprise Bonini a débuté les travaux sur le pont comme prévu le 26 avril. Le Conseil départemental, propriétaire de l'ouvrage, travaille de concert avec la commune. Ils sont attentifs à la conservation du site. Dès le départ, il a été décidé que les arches seraient conservées et, afin de répondre au souhait de la municipalité, les pierres de couverture, les " couvertines " sont démontées une à une, récupérées et entreposées avec soin. Soucieuse de préserver une partie de l’Histoire du village, la municipalité a prévu de les réutiliser ailleurs. On peut remarquer que la passerelle installée en aval du pont qui permet une liaison douce entre les deux parties du village est bien fréquentée. Elle est empruntée par les piétons et les cyclistes. Les habitants du village, anciennes et nouvelles familles, suivent avec beaucoup d’attention les travaux.
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Le Centre communal d'action sociale est formé de Lucie Bataille, Pascaline Cholley, Danielle Gauger (vice-présidente), Grégory Gillard et Damien Richard pour le conseil municipal et de Ghyslaine Antoine, Marielle Marulier, Laetitia Pichard, Jean-Luc Ferry et Georges Graff nommés par Frédéric Dulot, le maire qui en est le président.
La municipalité a pris la décision d'annuler
toutes les manifestations depuis le début de la
Covid. Ainsi le repas des aînés a été annulé en
2020 pour préserver les habitants et notamment
des plus âgés et, conformément aux directives
préfectorales, les visites en porte à porte ont
été Le CCAS avait envisagé de remplacer le repas du dernier dimanche de novembre de 2020 par un goûter quand les conditions le permettraient afin de conserver l'esprit convivial et l'aspect festif d'une journée de retrouvailles. Compte tenu du contexte sanitaire actuel, un goûter ne peut être envisagé, mais la situation ayant évolué, notamment en raison des vaccinations, il a été décidé d'offrir un repas élaboré par un traiteur qui sera livré à domicile. La date choisie pour cette action n'est pas anodine, ce sera le deuxième dimanche de mai qui a marqué le village puisque c'était le jour de la fête patronale puis du vide-greniers. Plus de 90 personnes ont reçu un courrier avec un coupon-réponse à rendre pour le 1er mai. A noter que le repas pourra être partagé en famille, puisqu'il est possible de commander des repas supplémentaires, mais ceux-ci seront payants.
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Certains se souviennent que Vaxoncourt comptait il n'y a pas si longtemps trois cafés au centre du village, dont l'un d'eux, celui des oiseaux, connu pour ses collections d'oiseaux empaillés et d'insectes. Dans le cadre de la redynamisation du village, le conseil municipal étudie avec attention comment l’Opération 1000 cafés pourrait bénéficier à Vaxoncourt. Car ce que propose l’association qui porte l’initiative, ce n'est pas un café classique, c’est également un lieu offrant des services de proximité, mis en place pour répondre besoins exprimés par les habitants. L’avantage de cette opération est que l’association qui la porte accompagne la mairie et les gérants en amont de l’ouverture du café et pendant toute la durée de vie de l’exploitation, en étant garante de la pérennité du lieu et de l’adéquation de l’offre proposée par rapport aux besoins exprimés par le village. L’association a ainsi comme objectif l’ouverture et/ou la reprise de 1000 Cafés dans des petites communes qui ne disposent plus de lieux de convivialité sur leur territoire. 17 ont ouvert au cours de la dernière année, dont un sur le territoire de la Communauté d’Agglomération d’Epinal. Averti de cette opportunité, le conseil municipal a engagé une réflexion sur le sujet. Un questionnaire a ainsi été adressé à chaque foyer pour recenser les besoins en matière de services de proximité. Sur les 206 distribués, 85 ont été retournés en mairie. Les réponses ont été analysées par Frédéric Dulot, Evelyne Seguin de la CCI, Hélène Labrunie responsable du Pôle développement du programme 1000 cafés et en charge du territoire du Grand-Est et Florence Maire de la CAE. Le Conseil départemental, la région et l'Etat suivent très attentivement ce projet. Plus de 40 % des familles ont répondu au questionnaire. Parmi elles, la majorité trouve l'idée excellente. Ces familles habitent pour la plupart dans le centre-bourg et sont surtout intéressées par, outre l’activité bar, un relais colis, une épicerie, un dépôt de pain et de presse, un point Poste, de la restauration rapide, des services à la population, la vente de tabac et de jeux. Plus de 50 % se disent prêtes à fréquenter le lieu régulièrement, les 26 à 50 ans ont bien répondu. Frédéric Dulot insiste sur le fait que " ce type d'activité dans le village ne peut fonctionner que si les habitants jouent le jeu, le café peut être un point de vente des produits locaux. La commune ne peut agir ni s'engager seule, elle a besoin du soutien des habitants. " Précisons que ce lieu pourrait devenir un lieu de rencontre des habitants. Tout comme à Dounoux, Girancourt, Mattaincourt, la réflexion se poursuit au sein du conseil municipal avec, désormais, les partenaires. Il s’agit maintenant d’identifier un lieu qui pourra accueillir un tel service.
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Les travaux de construction du bâtiment à vocation principale de cantine scolaire ont débuté en janvier, ils ont repris un rythme normal après une interruption due aux conditions météorologiques. Chaque semaine, une réunion de chantier a lieu sur le site avec les représentants des deux communes du RPIC du Durbion (Vaxoncourt et Domèvre sur Durbion), l'architecte Joël Raze et les entreprises au fur et à mesure de leur intervention, actuellement on note la présence des entreprises Mazzuco de Destord pour le gros œuvre et Valdenaire TP des Forges pour les terrassements et les VRD (voirie réseaux divers). La dernière réunion a permis de constater que Valdenaire TP préparait la pose des canalisations des réseaux humides afin d'acheminer l'eau potable et de mettre en place les différentes sorties des eaux usées (WC et ménagères) et des eaux pluviales conformément aux emplacements déterminés au projet. Puis ce sera la réalisation de la dalle en béton. La nouvelle cantine sera toute proche de l'école, ce qui explique que, au moment des récréations, les travaux sont suivis avec intérêt par de nombreux jeunes curieux.
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Il faut le faire régulièrement. La signalisation routière au sol dans l'agglomération a été remise en peinture par Jean-Claude Bas et Duncan, le jeune stagiaire. Avant de peindre, il faut faire quelques préparatifs, il faut une heure pour peindre un passage piétons. Les bandes stop, les passages piétons, les places de parking, les emplacements d'arrêt de bus sont plus visibles maintenant. Rappelons que pendant la durée des travaux de rénovation du pont, l'arrêt de bus de la Grand'rue est supprimé, les collégiens et les lycéens devront rejoindre l'arrêt de la rue du Pont au Trial.
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Au sein de la Communauté d’Agglomération d’Epinal, Frédéric Dulot a un rôle d'animateur de secteur. Pour la dernière réunion trimestrielle, il a réuni les élus (maires et adjoints) des communes du G8 dont ceux de Hadigny les Verrières qui vient de rejoindre ce secteur. Deux thématiques ont fait l’objet d’une présentation par les agents de la CAE. D'abord, Bertrand Perrin est venu présenter le service urbanisme mis en place en 2015 pour pallier à la cessation de l'instruction des demandes de travaux par l'Etat pour les communes disposant d'un document d'urbanisme. Pour les autres soumises au Règlement national d'urbanisme (elles sont 20 pour la CAE), c'est toujours l'Etat, la DDT, qui instruit. Toutefois, certaines de ces communes, soumises au RNU, font partie des 55 communes conventionnées avec le Service Urbanisme. Les deux instructrices des communes du secteur, Catherine Gaillard et Françoise Gény, étaient également présentes pour répondre aux questions des élus. Le nombre des permis de construire déposés a augmenté en 2020, environ 450 dossiers et 1 850 actes ont été traités par les services de la CAE, mais certaines communes ont leur propre service d’instruction. Une évolution aura lieu au 1er janvier 2022 puisque la réglementation prévoit la transmission des demandes d'urbanisme par voie dématérialisée. Dans la seconde intervention, Jocelyne Bray a présenté les dispositifs mis en place par la CAE en matière d'insertion professionnelle dont peuvent profiter les communes dans leurs projets. En effet, elles peuvent inclure des clauses d'insertion dans les marchés publics pour insérer des personnes en recherche d'emploi lors des appels d'offre, celles-ci seront intégrées au personnel des entreprises. Les communes peuvent avoir recours à des entreprises d'insertion telles que AMI ou Action. Différents points ont ensuite été discutés : les orientations à prendre à court, moyen et long terme, le plan climat, la mobilité, la lutte contre l'illectronisme, les transferts de compétence, le canal des Vosges (avec la Véloroute), l'économie circulaire (recyclage), sociale, solidaire... Ces réunions permettent aussi aux élus de réagir et d'exprimer leurs idées qui seront transmises au bureau de la CAE.
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Cette année, la commune innove en faisant participer deux enfants à l'élaboration de son bulletin annuel créé sous la mandature de Jean-Paul Beretta en 1989. Depuis janvier, deux élèves de CM1, Léo Joubert et Lisa Laurent, " travaillent " aux côtés de Gyslaine Joubert, Nathalie Boulay, Danielle Gauger et Stéphane Michel. En accord avec leur enseignant Sébastien Haschar qui prend les photos, ils sont chargés de rapporter les événements qui se passent à l'école et de créer de toutes pièces une page de jeux destinée aux enfants. Quand la situation sanitaire permettra à nouveau des manifestations dans le village, ils assureront des mini-reportages. Deux nouveaux élèves qu'ils auront parrainés participeront à l'élaboration de l'édition 2022 dès janvier prochain. Les rédacteurs se retrouvent chaque mois dans le respect des mesures sanitaires. Les enfants se montrent assidus, ils font la synthèse de ce qu'ils ont noté lors des moments forts vécus à l'école et travaillent en semi-autonomie avec le soutien de Gyslaine Joubert. Depuis longtemps, la commune propose deux autres moyens de communication : une formule papier mensuelle, " l'info mairie " qui a vu le jour en 2001 avec Claude Lacroix, la dernière reçue par les habitants porte déjà le numéro 231 et une formule numérique avec le site " vaxoncourt.free " créé en 2009 par Frédéric Dulot et géré par Grégory Gillard, conseiller municipal.
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Les travaux prévus par le Conseil Départemental des Vosges sur le pont de la RD10 F qui enjambe le Durbion doivent débuter le lundi 26 avril et se poursuivre sur trois mois et demi. Ils seront exécutés par l'entreprise Bonini de Vincey. Une chaussée d’une largeur de 5 mètres sera aménagée et des trottoirs seront créés afin d'améliorer la desserte routière et sécuriser le cheminement des piétons. Pendant une grande partie de la durée du chantier, la RD10 F sera totalement interdite à la circulation à hauteur de l’ouvrage. C'est en concertation avec les services du Conseil Départemental que deux déviations seront mises en place, l'une par la route de Girmont et l'autre, dans le sens sortant uniquement, par la voie communale qui relie Vaxoncourt à Pallegney (traversée du Bois de Fourches). Sur ces deux voies communales, la vitesse devra être adaptée selon le flux de circulation. L’arrêt de bus " Grand' rue " sera supprimé pendant la durée des travaux. Les collégiens et les lycéens devront se rendre à l’arrêt de bus du Trial au 172, rue du Pont.
La collecte des ordures ménagères et des sacs
jaunes ne pourra pas être effectuée dans
plusieurs rues. Des bacs seront mis en place par
le SICOVAD sur le parking communal de la Grande
rue (à hauteur du n°54) pour les habitants de la
rue de la Côte, du chemin sur la Roche et de la
rue du Faubourg ainsi que face au 74, rue du
Pont pour ceux de la rive droite du Durbion
(pour les N°10,
18, 26, 30, 34, 50,
54 et 64).
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La commune a récemment entamé une procédure de modification de son Plan Local d’Urbanisme. Dans son approche, elle considère qu’un bien immobilier est " vacant " s’il est inoccupé depuis plus de deux ans. Or, lors du dernier recensement, effectué en 2016, la vacance avait significativement augmenté. Dès lors, la municipalité a engagé une réflexion sur la situation et l'évolution démographique négative du village pour en comprendre les raisons. Il est rapidement apparu que le taux de vacance était majoritairement lié à des décès, des départs en maison de retraite, des déménagements. Plus de vingt biens était concernés. Une réflexion a débuté pour tenter d'insuffler une dynamique propre à inverser la tendance. Les maisons vacantes ont été recensées et, en 2017, le conseil municipal a instauré une taxe sur celles-ci. " Nous voulions éviter que les rues se meurent et pallier dans la mesure du possible à la baisse démographique. Nous avons donc réfléchi aux actions à mener pour y parvenir. Nous avons voulu revaloriser et redynamiser notre bourg" explique Frédéric Dulot. Un travail de fond a été mené avec les propriétaires des biens vacants afin de leur présenter les avantages de louer ou vendre leurs biens. La commune travaille en parallèle avec des agences immobilières locales pour qu'elles s'imprègnent des atouts du village afin de favoriser les ventes quand elles se voient confier des biens. Dans un partenariat avec la CAE et l’Etat, Vaxoncourt a été retenu comme commune-pilote (ainsi que Fontenoy le Château, Moriville et Ubexy) pour un accompagnement spécifique sur le devenir des biens dégradés en milieu rural. Grâce aux efforts de la commune, plusieurs situations se sont débloquées en quelques mois. Dernièrement, les services de l'Etat ont accompagné la commune dans une procédure de reprise d’un bien en état d’abandon manifeste. Au terme de cette procédure qui a duré deux ans, la remise sur le marché de ce bien vient de se concrétiser, permettant ainsi à une famille de rester dans le village. Depuis le début de l'opération, pas moins de 17 logements vacants ont été, soit loués, soit vendus. A ce jour, le Maire déplore qu'il y ait encore plus de dix logements inoccupés soit environ 5 % du parc immobilier sur la commune.
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Agé de 19 ans, Duncan Formet, un nouvel habitant du village effectue actuellement un stage de trois semaines à la commune. Il envisage de se tourner vers un métier en lien avec la nature, il aimerait devenir bûcheron et souhaite entrer dans une école agricole avec, si possible, un apprentissage en alternance qui l'amènerait jusqu'au diplôme. Pour trouver sa voie et l'aider à s'insérer professionnellement, il a déjà été accueilli à " l'école de la seconde chance " et maintenant il l'est à " Garantie jeunes ". Pour son premier stage, il fait des travaux en extérieur avec Jean-Claude Bas, son maître de stage tels que l'entretien des espaces verts et des jeux de l'espace jeux, la peinture des grilles devant la mairie, la taille des massifs, le marquage au sol... Mais son souci à l'heure actuelle est déjà de passer son permis. Jean-Claude Bas est satisfait du travail de son stagiaire.
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Au sein de la Communauté d’Agglomération d’Epinal, Frédéric Dulot a un rôle d'animateur de secteur. Pour la réunion trimestrielle, il a réuni les élus des communes du G8 dont celle de Hadigny les Verrières qui vient de rejoindre ce secteur. Deux thématiques ont fait l’objet d’une présentation par les agents de la CAE. Bertrand Perrin est venu présenter le service urbanisme mis en place en 2015 pour pallier à la cessation de l'instruction des demandes de travaux par l'Etat pour les communes disposant d'un document d'urbanisme. Pour les autres soumises au Règlement national d'urbanisme (elles sont 20 pour la CAE), c'est toujours l'Etat, la DDT, qui instruit. Toutefois, certaines de ces communes, soumises au RNU, font partie des 55 communes conventionnées avec le Service Urbanisme. Les deux instructrices des communes du secteur, Catherine Gaillard et Françoise Gény, étaient également présentes pour répondre aux questions des élus. Le nombre des permis de construire déposés a augmenté en 2020, environ 450 dossiers et 1 850 actes ont été traités par les services de la CAE. Certaines communes ont leur propre service d’instruction. Une évolution aura eu lieu au 1er janvier 2022 puisque la réglementation prévoit la transmission des demandes d'urbanisme par voie dématérialisée.
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Visible depuis la route qui va à Girmont, un bien joli spectacle s'est offert la semaine passée aux usagers avec plus de trente cigognes qui faisaient une pause dans les prés. On a l'habitude de voir à cet endroit de nombreuses aigrettes fidèles aux lieux, mais également, souvent, un couple de cygnes rejoint, cette année, par un second couple.
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Les travaux d’accessibilité à l’église ont débuté il y a plusieurs mois, le changement a déjà été apprécié lors des offices religieux. S’ils ont été interrompus par la mauvaise saison, une nouvelle étape vient d’être franchie. Après la rampe d’accès installée depuis la rue du Moulin qui a remplacé des escaliers, la peinture blanche sur les contremarches des premières et dernières marches, des bandes podotactiles viennent d’être mises en place par une entreprise spécialisée. Elles sont destinées à éveiller la vigilance des déficients visuels et les avertiront qu’ils ont posé le pied en haut des escaliers de part et d’autre des marronniers et de ceux du parvis. Il reste encore à poser de nouvelles rampes le long des grands escaliers depuis l’accès dans la côte jusqu’au parvis puisque les actuelles ne sont plus aux normes. Le coût de l’ensemble des travaux se monte à 19 404 € HT, ils sont subventionnés à 70 % par l’Etat au travers de la TDIL (travaux divers d’intérêt local) et la DETR (Dotation d’Equipement des Territoires Ruraux), par le Conseil départemental et par la CAE avec un fonds de concours.
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Covid oblige, cette année, les habitants n’ont pas pu admirer le cortège carnavalesque des écoliers. Un après-midi, les enfants ont été invités à venir déguisés à l’école. Ils ont fêté carnaval sur le thème des animaux en fin de journée, mais sans sortir de l’école, dans leur classe. Seuls les petits et moyens ont défilé, à distance, devant leurs copains de grande section et les CP. Malgré le contexte, les enfants ont vécu un vrai moment festif, ils se sont bien amusés et les beignets de carnaval préparés en famille ont été bien appréciés.
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Avec le retour des beaux jours, Jean-Claude Bas, l'agent communal, réalise des travaux d'extérieur dans différents endroits de la commune. Récemment, on l'a vu travailler dans les escaliers qui donnent directement accès de la Côte à la rue des Petits sabots. Plusieurs contremarches avaient bougé et des plaques étaient descellées. Les désordres ayant été réparés par ses soins, l'accès est à nouveau autorisé et les escaliers peuvent être empruntés en toute sécurité. Ces travaux ont également permis de réappropier le site par un bon coup de nettoyage à haute pression.
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A peine le jour levé, de nombreux pêcheurs ont jeté leur ligne dans le Durbion à l’aval du pont. Le vent et le froid n’ont pas aidé pour capturer des truites en ce samedi d’ouverture, mais les plus fervents sont cependant restés des heures au bord de l’eau à l’image des deux copains venus de Châtel, Gérald Etienne et Daniel Chardin qui font toujours les ouvertures ensemble et qui pêchent depuis de longues années. " Après plusieurs heures, nous sommes bredouilles, tout ce que nous avons pêché, nous l’avons rejeté à l’eau, les truites ne mordent pas ce matin. Mais le plaisir est toujours là, nous attendons l’ouverture aux carnassiers, plus tard, ce sera la chasse. "
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Depuis 2018, l'Etat a accéléré sa politique d'amélioration de la couverture mobile et pour réduire la fracture numérique sur tout le territoire, sans frais pour les communes, un accord dit "New Deal ", a été conclu entre l'Etat et les opérateurs. Sur les cartes des opérateurs de téléphonie, la commune semblait couverte de façon satisfaisante. Pourtant, Frédéric Dulot était régulièrement alerté par les habitants : selon l'endroit où on se trouve dans le village et à l'intérieur d'une maison ou à l'extérieur, la réception est plus ou moins bonne voire nulle. Il s'est tourné vers les services de l'Etat pour connaître les possibilités de remédier au problème. Nicolas Coste, Référent aménagement numérique et téléphonie de l'Etat, basé à la Direction départementale des territoires, a un rôle de médiateur et de facilitateur entre les différents opérateurs et les communes. Avec le maire, il a parcouru les rues et il a pu constater les difficultés de réception rencontrées par les habitants. Une étude radio réalisée sur le village a montré que la couverture mobile réelle ne correspondait pas aux données théoriques des opérateurs. Bonne nouvelle, la situation va s'améliorer puisque le Ministère de l'économie, des finances et de la relance a publié un arrêté en décembre 2020 indiquant que Vaxoncourt fera l'objet d'une couverture en téléphonie mobile par les quatre opérateurs d'ici deux ans dans le cadre du dispositif de couverture ciblée du "New Deal". Dans cette optique, le Référent a présenté la politique du "New Deal" et le déroulement de l'installation à venir au conseil municipal, il a également répondu à toutes les questions. Une visite du village se déroulera prochainement pour déterminer l'emplacement du pylône nécessaire pour couvrir la commune. L'installation sera réalisée par l'opérateur leader SFR : un seul opérateur est chargé de la réalisation de l'ouvrage mais il apportera aussi la couverture pour Bouygues, Orange et Free.
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La partie pratique de la formation en un an des 11 élèves du Centre de formation professionnel et de promotion agricole et forestier de Mirecourt se passe dans la forêt des Fourches en accord avec l'ONF (Office national des forêts) qui gère la forêt communale (55, 29 hectares pour le Bois du Trial et celui des Fourches). Ce sont des adultes, dont trois Vosgiens, en reconversion professionnelle issus de différents milieux, ils étudient la sylviculture, la botanique, l'exploitation et la valorisation des bois, les documents de gestion et la législation avec le Droit forestier avec deux enseignants co-responsables du projet, MM Jussy et Schouver. Ils préparent un BTS en gestion forestière qui conduit, entre autres métiers, à technicien en gestion forestière. Pendant une semaine, ils ont passé leurs journées dans le Ban de Fourches. Répartis en petits groupes, ils ont étudié la forêt détruite par la tornade de 1984. Ils ont mesuré et analysé la forêt, la hauteur, le diamètre, la densité des arbres, l'état sanitaire, recensé les essences. Ils se sont également intéressés au sol, aux plantes. M. Jussy constate " Les chênes rouges sont beaux, les peuplements sont de même taille, les épicéas sont malades, comme partout à cause d'un parasite, le scolyte. " Le document actuel de gestion de la forêt est arrivé à son terme en 2019. Les élèves vont communiquer leurs mesures à l'ONF et simuler une rédaction à partir de ces données, elle servira à l'ONF à formuler un nouveau document qui permet d'établir le programme d'aménagement forestier sur quinze ans proposé aux élus.
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Profitant d’une météo clémente, l’agent communal, Jean-Claude Bas, a déjà nettoyé les différents massifs de la commune et taillé les arbustes. En attendant l’éclosion des bulbes de printemps, puis les plantations de fleurs quand le moment sera venu, Jean-Claude Bas a lavé à haute pression les pavés de la cour devant la mairie, le mur de soutènement et les escaliers de la côte, les jeux de l’aire de jeux leur redonnant un coup de fraîcheur et ravivant leurs couleurs. On peut voir la différence !
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Comme chaque année, la commune a fait procéder à la vérification des équipements sportifs, que ce soit ceux de l'espace multisports dans la cour de l'école, ceux de l'aire de jeux ou encore les buts du terrain de sports. La société Sagalab de la région lyonnaise a tout contrôlé visuellement et mécaniquement. Les usagers, et notamment les plus jeunes, peuvent y aller en toute sécurité. Alors que les beaux jours et les vacances arrivent, il convient à tous de rappeler qu'il est indispensable de garder ce lieu propre, des poubelles sont à disposition sur le site et que, en cette période de crise sanitaire, il est important de respecter les gestes barrières, même quand on se détend...
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La commune poursuit l’entretien de son patrimoine communal. Depuis la fin des années 70 et le départ du dernier prêtre résidant au village, l’ancienne cure dans la Grand’rue est louée à des particuliers. Une nouvelle famille vient d’ailleurs de s’y installer. Depuis quelques mois, des problèmes d’évacuation des eaux usées avaient été remarqués. L’hydrocurage et une inspection télévisée à l’aide d’une caméra ont montré l’origine du dysfonctionnement, une contre-pente et plusieurs autres défauts qui amenaient peu à peu à l’obturation du réseau. C’est le délégataire, Suez, qui a remédié au problème en reprenant l’intégralité du branchement.
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Avant d'être transférée à la CAE, la gestion de l’eau potable était assurée par le syndicat des eaux de la région de Nomexy (SIERN). A l'initiative de Veolia, délégataire de service, une visite des puits de captage et de la station de traitement, ouvrages situés sur la commune, a été organisée en présence de Frédéric Dulot vice-président en charge de la compétence eau potable et assainissement à la CAE et Céline Brégier la directrice du service. C'est Céline Jacob, manager service local, qui a dirigé la visite. Jean-Charles Kech le responsable d'exploitation de l'eau potable, Patrick Lallement le directeur de l’agence Veolia de Charmes, Maxime Thierry et Alexandre Parisse deux agents de Veolia se sont retrouvés avec eux sur le site de Vaxoncourt qui alimente 14 communes pour 8 450 habitants représentant 158 km de réseau. 8 réservoirs assurent ce maillage de distribution (Dignonville, Domèvre sur Durbion, Frizon, Igney, Moriville, Vaxoncourt, Villoncourt et Zincourt). A l'origine, en 1951, trois puits de forage fonctionnaient, mais l'un d'eux a été abandonné depuis. Ils pompent à 6 mètres de profondeur, le débit des pompes est de 40 m3 / h. Tandis que les puits sont situés sur la rive gauche du Durbion, la station de pompage se trouve sur la rive droite. Les prés aux alentours sont loués à des agriculteurs du village qui doivent respecter les règles de protection des périmètres de captage pour assurer la préservation de la qualité de la ressource en eau. Pour les mettre hors eau en cas de crue du Durbion, les puits de captage ont été rehaussés et, il y a quelques années, ils ont fait l’objet de travaux de protection grâce à des enrochements et de la végétalisation des rives de la rivière décidés par le SIERN. Après la visite extérieure, les visiteurs se sont rendus dans l'usine où des systèmes anti-intrusion et de surveillance sont installés et une nouvelle pompe avec économie d'énergie a été mise en service récemment, ils ont pu y suivre " le fil de l'eau ".
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Lors de leur récente assemblée générale, les
pêcheurs ont pris la décision d’aleviner les
étangs Jean-Paul Valentin qu’ils louent à la
commune. Ils ont eu l’opportunité de
profiter du vidage d’un étang en Meurthe et
Moselle pour acheter 10 kg de gardons et
20 kg de brochets d’une taille supérieure à
60 cm. Un dimanche matin, les poissons ont
changé d’étang puisque six membres de
l’amicale des pêcheurs de Vaxoncourt se sont
retrouvés pour aller les chercher puis les
déverser dans l’eau de Vaxoncourt. Pour rappel : Les cartes de l’amicale (40 €, 5 € la journée et 10 € pour un mineur) sont en vente auprès de Michel Fayolle (06 11 40 29 30), Maxime Fayolle (07 81 31 34 61), Sébastien Fayolle (06 16 36 75 49) et Philippe Leromain (06 23 78 65 75). Les pêcheurs doivent posséder la carte piscicole de la Fédération de pêche des Vosges puisque les étangs sont traversés par la Moselle.
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Dans le cadre du plan de relance de l'Etat,
la commune entend poursuivre ses efforts
pour la revitalisation du centre-bourg et
donner une nouvelle dynamique au village.
L'arrivée de la fibre optique et
l'inscription de la commune au programme
"New Deal 2021" pour la téléphonie mobile
répondent déjà aux demandes des habitants.
Ces actions s'inscrivent dans le cadre de la
lutte contre la désertification rurale. Une réunion s'est déroulée récemment en mairie dans le cadre de la lutte contre les biens dégradés dans la commune. Préfecture, DDT (Direction départementale des territoires), CAE et mairie étudient l'opportunité de créer un " point muli-services " : presse, épicerie, dépôt de pain, démarches administratives... qui pourrait devenir réalité avec " l'opération Mille cafés " qui a pour but de revitaliser les communes rurales en reprenant des commerces menacés de fermeture ou en les créant pour favoriser l'attractivité d'un village et le lien social. "L'initiative Mille cafés " est un succès à Girancourt. Cela ne peut aboutir, et survivre, sans un soutien fort de la population, elle doit répondre à un réel besoin. C'est pourquoi les habitants viennent de recevoir un questionnaire à propos de ce projet, ils sont invités à donner leur avis, favorable ou défavorable. Le questionnaire permet d'identifier les besoins réels en fonction de divers critères socio-démographiques (âge, composition du foyer, lieu de travail...) afin de se projeter à court et moyen termes sur la viabilité d'un tel projet en milieu rural. Le questionnaire est disponible sur papier ou sur le site.
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Frédéric Dulot a accueilli ses hôtes devant la mairie où il a présenté le projet d'aménagement du centre-bourg avec la création d'un parking tout proche. Ce premier cas concret montre la nécessité pour une commune rurale d'être accompagnée par les services de l'Etat.
Puis à l'aide d'un powerpoint bien documenté, il
a présenté des projets montés avec le soutien de
l'Etat : déjà réalisés (réhabilitation et
extension du RPIC du Durbion avec Domèvre sur
Durbion), en cours (cantine scolaire) ou sur le
point d'aboutir grâce au plan de relance
(réhabilitation et extension de la mairie avec
création de services dédiés à la culture).
Actuellement, les habitants sont consultés sur
leurs besoins de services, la commune pourrait
profiter de " l'opération 1000 cafés ", avec le
soutien de l'Etat.
Le maire a rappelé combien le soutien technique
de l'AMO de la CAE demeure capital pour les
villages. Ce service dynamique et compétent
permet d'étudier les projets en amont avec les
élus pour les études de faisabilité
indispensables à la consultation des financeurs,
point de départ d'un projet. Le développement de
la culture en milieu rural porté par la CAE
(Orchestre " La Belle Image " qui devait se
produire à l'église, la Compagnie des jolies
mômes qui a dû suspendre son activité théâtre) a
également été évoqué.
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En mémoire de leur ami et président pendant une dizaine d’années, les membres de l’amicale des Pêcheurs de Vaxoncourt ont créé en 2020 le trophée Jean-Paul Valentin destiné à récompenser le pêcheur qui aura pris le plus brochet dans l’année. Le concours a débuté le 6 juin, jour de l’ouverture du brochet aux étangs communaux Jean-Paul Valentin. " Petit poisson deviendra grand "disait Jean de La Fontaine. C’est un fidèle disciple de Saint-Pierre, Sébastien Fayolle qui vient de recevoir le trophée pour un brochet de 104 cm qu’il a pêché le 29 septembre avant de le remettre à l’eau ensuite, peut-être fera-t-il le bonheur d’un pêcheur cette année… Une carte de pêche (valeur 40 €) lui a été offerte par l’amicale. Le trophée sera remis en jeu chaque année et le pêcheur qui l’emportera trois années consécutives le conservera. " C’est mon père, Michel, président de l’amicale, qui m’a donné la passion de la pêche, je pêche depuis tout gamin mais je me suis calmé à l’adolescence avant de reprendre plus tard. J’ai une carte nationale, je pêche dans les Vosges, en Meurthe et Moselle, en Moselle, même quand je pars en vacances, je vais à la pêche. Je suis honoré d’être le premier à recevoir ce trophée, il figurera en bonne place chez moi. " confie-t-il.
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Les pêcheurs ont tenu leur assemblée
générale dans des conditions particulières
puisque respect des règles sanitaires
oblige, ils n’ont pu vivre le moment
convivial du partage de la galette après la
réunion. Ils ont eu une pensée pour
Jean-Paul Valentin, leur ami, ancien
président de l’association décédé l’an
dernier. Au chapitre des dépenses, figurent principalement la location des " étangs Jean-Paul Valentin " à la commune et la prime d’assurance. Le règlement ne change pas. Les prix restent les mêmes, la carte 40 €, la journée 5 € et 10 € pour un mineur, les femmes ne la paient pas si elles pêchent en présence de leur mari possesseur d’une carte. Les étangs de 12 ha étant traversés par la Moselle, le règlement de la Moselle y est appliqué, les pêcheurs doivent donc posséder la carte piscicole de la Fédération de pêche des Vosges avant d’acheter celle de Vaxoncourt. Il est interdit de pêcher depuis les portes d’alimentation du canal et au pied de la centrale électrique. La taille des brochets doit être supérieure à 60 cm, celle des perches à 20 cm, des sandres à 50 cm et des carpes inférieure à 50 cm. Les cartes sont en vente auprès de Michel Fayolle (06 11 40 29 30), Maxime Fayolle (07 81 31 34 61), Sébastien Fayolle (06 16 36 75 49) et Philippe Leromain (06 23 78 65 75). Bureau : Michel Fayolle président, Jean-Claude Mougeot vice-président, Guillaume Valentin secrétaire et Philippe Leromain trésorier.
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Matin et soir durant les périodes scolaires, trois bus viennent à Vaxoncourt et en repartent par le seul accès qui leur est autorisé, celui des lycéens, celui des collégiens et celui des enfants de Domèvre sur Durbion pour le RPIC du Durbion, soit autant de passages sur le pont qui enjambe le Durbion. Un garage et deux Gaec étant installés au village, de nombreux camions l'empruntent aussi. Frédéric Dulot a été interpellé par les transporteurs sur la difficulté pour les chauffeurs d'aborder l’ouvrage, son franchissement devenant plus difficile avec le renouvellement du parc et des bus plus longs.
Situé sur la RD 10 F qui va du carrefour du
Trial au centre du village, il est de la
compétence du département. Suite à une rencontre
sur site entre les différents partenaires
(transporteurs, région, département, CAE et
commune), des travaux sont à l'étude au Conseil
départemental des Vosges. Après le travail du
géomètre, plusieurs agents du Conseil
départemental se sont retrouvés sur place autour
de Laurent Fournier responsable du pôle ouvrages
d'art pour le secteur et Frédéric Dulot. Certes, le pont a un certain cachet, il a été construit en 1804 en remplacement d'un vieux pont en bois. La plupart des Vaxoncurtiens y sont attachés, il a été l'objet de nombreuses photographies, combien de peintres en ont reproduit le charme ! Pourtant, ils sont conscients qu'il faut assurer le confort des usagers, des véhicules de toutes sortes, et en même temps la sécurité des piétons. Les travaux sont prévus pour le printemps et s'étaleront sur environ trois mois. Ils nécessiteront bien entendu une déviation de circulation, les véhicules devront transiter par les voies communales. Les usagers devront donc faire preuve de prudence et de patience !
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Suite au décès en intervention du sergent-chef
Laurent Delbreil, Vosges Matin a relayé un appel
de Pascal Parmentelat, commandant des
sapeurs-pompiers à la direction du SDIS 88,
vice-président des maires ruraux et maire de
Laveline du Houx, il adressait plusieurs
demandes aux 506 maires des Vosges. Frédéric
Dulot a fait suivre à l'école le message "
J'aimerais que les enseignants et leurs élèves
fassent un dessin qui sera envoyé à la caserne
de Mirecourt pour être affiché sur le mur ", les
quatre enseignants ont sollicité leurs élèves
qui ont fait un dessin avec leur coeur. Le maire
apportera les dessins à la caserne de Mirecourt.
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La lame de déneigement a été remplacée durant l’hiver 2017-2018 mais elle n’avait pas encore beaucoup servi, l’an dernier, un seul sac de sel de déneigement a été utilisé. Cet hiver, Jean-Claude Bas a déjà eu plus à faire que les années passées avec la neige. Le tracteur est équipé également d’une saleuse dotée d’une bâche pour protéger le sel et d’un lève-sac automatique pour transvider le sel livré en big-bag de 500 kg. Par convention, la commune traite la RD 10F, depuis le Trial jusqu’au carrefour au centre du village, considérée comme non-prioritaire par le Conseil départemental qui fournit 2,5 tonnes de sel en compensation à la commune.
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La nouvelle cantine sera située près du préau.
Les travaux sont divisés en quinze lots. Fin
décembre, les entreprises retenues, vosgiennes
pour la plupart en tout cas lorraines, se sont
réunies en mairie pour signer les actes
d'engagement et recevoir les consignes avant de
se rendre sur le site en présence de Joël Raze,
de Vosges architecture auteur du projet, et
Frédéric Dulot et Bernard Morel, les deux
maires.
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Le piquetage a eu lieu fin décembre, l'agence de Lunéville de Ineo Réseaux-Est effectue les travaux actuellement, comme prévu. Des feux tricolores implantés avant et après le cimetière règlent la circulation sur une courte distance. La traversée de chaussée depuis le transformateur a été réalisée en une petite journée, la ligne pour amener la basse tension jusqu'au droit de la parcelle est en cours d'enfouissement sous le trottoir côté terrain de foot. Les entreprises retenues pour la construction d'un bâtiment neuf à vocation principale de cantine scolaire qui sera enrichi d'un équipement mutlimédia et relié à la fibre optique se sont retrouvées récemment en mairie pour signer les actes d'engagement et recevoir les consignes avant une visite sur les lieux en présence de Joël Raze, architecte de Vosges Architecture auteur du projet et Bernard Morel et Frédéric Dulot respectivement maire de Domèvre sur Durbion et Vaxoncourt pour le RPIC du Durbion (Regroupement pédagogique intercommunal concentré. Rappelons que le service est très utile puisque 40 à 50 enfants fréquentent chaque jour la cantine. A l'heure actuelle, ils se rendent de l'école au bâtiment de la mairie où sont servis les repas, l'année prochaine, ils traverseront seulement la cour.
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